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  • Dans mon iPod ce weekend... Spécial Bohemian Rhapsody

    Un "dans mon iPod" spécial consacré aux multiples versions de cet incroyable standard de Queen, Bohemian Rhapsody. Je suis tombé en arrêt devant cette incroyavble version solo interprétée par Richie Castellano, actuel guitariste de la mouture actuelle de Blue Öyster Cult. Le garçon est incroyablement doué, et multi-instrumentiste de surcroit. Un exploit.

    Dans la suite de la note, des versions instrumentales, hip-hop, chorales, country, canto-pop... Que du bonheur, plus ou moins à l'état brut!!!

     

    Evidemment, impossible d'oublier la version originale ilustrant une scène mythique du mythique film de Penelope Spheeris, Wayne's World.

    Sans oublier la version des Muppets... Grand moment de cinéma...

    Une version hip-hop des années 90 par un duo féminin, The Braids, un peu écourtée, mais classieuse.

    Pour faire bonne mesure, une version canto-pop par Faye Wong, popstar en Asie, et vue dans 2046 de Wong Kar-Wai.

    Une version ukulele japonaise instrumentale par l'incroyable Jake Shimabukuro... Très calme.

    Une improbable version country par Hayseed Dixie... Hallucinante dans son genre...

    Une version mariachi parfaitement... comment dire...

    Version chorale...

    Et pour finir Elton John, Axl Rose (qui s'est rêvé en réincarnation de Freddy Mercury, malgré les lyrics de One in a Million...), Brian May & co...

    Et voila...

    A part ça, j'adore ce morceau. Je l'ai massacré un soir dans un bar-karaoke de Tokyo, du côté d'Asakusa... Freddy, si tu m'a entendu... Pardon!

    Enjoy!

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  • Bloc-note express #150

    Wooooo! Dé-bor-dé le Dubuc. Même pas le temps de faire en temps et en heure un beau 150ème bloc-note express. 150, soit 3 années de compils hebdomadaires, de petits riens livrés en vrac. Il s'en est passé des choses en trois ans. Ma fin du Monde, mon entrée dans le joyeux monde des entrepreneurs, des lectures, des sons, des rencontres, des projets...Ne parlons pas bilan, ne regardons pas le futur dans le rétroviseur (comme disait MacLuhan)! Hey Ho, Let's Go!!L'agence prend son essor. Le livre poursuit sa gestation, un peu trop lente à mon goût. Le Dubuc tente de rester zen. Côté rock'n'roll, j'oscille de l'album de Jamaica aux Tokyo Tapes de Scorpions. 35 années d'écart. Côté toiles, la fin d'année est gore! Outrages de Kitano. Violence froide, clinique. Machete de Robert Rodriguez. Violence tellement extrême, humour jubilatoire. J'en reparlerai.Tout comme je reviendrai sur une rencontre avec les Cohn-Bendit Brothers, Dany et Gaby, comme ça, autour d'un couscous. Tout comme je parlerai du bouquin de l'ex-Madame Besson, le Manuel de Guérilla à l'usage des femmes. Lecture un peu décevante.Mais il fait froid, et les virées en scooter sous la neige, si elles n'entament pas la foi du biker, déclenchent des envies d'Arizona et de grands espaces ensoleillés.C'est tout pour le 150ème. Enjoy!Envoyé de mon iPhone

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  • Absence

    Note d'hommage. A un ami, un poto, un confrère. Qui a eu le mauvais goût ou l'élégance suprême, qui sait, de décider de nous fausser compagnie, définitivement. Fatalement. Appelons-le JB, JiBi, JayBee, on n'est pas loin de la vérité. Appelons-le Oliver Niven, son double. Disons que c'était un pro de l'international. De la pub internationale. Nous faisions le même job, dans la vie vraie. Dans des titres concurrents. Et complémentaires. Dans nos métiers, loin de la blogosphère, nous sommes peu nombreux, sur la place de Paris. Dans les médias français. A commercialiser l'espace publicitaire de nos titres de presse auprès de marques internationales. Nous sommes peu nombreux. A la limite de la secte... Un groupuscule qui parcours la planète. Qui aime l'odeur de kérosène des aéroports, le goût du saké bu à Tokyo, les bas-fonds de Hong Kong, les retards de l'Eurostar, les programmes de fidélité des compagnies aériennes... Un réseau social à part entière. Quelque chose de réel. D'humain aussi.
    Parlons du double, d'Oliver Niven, fils spirituel de l'acteur dandy britannique. Journaliste pour Senso, Série Limitée. Passionné de belles choses. Esthète. Avec qui, chaque déjeuner était un happening permanent... Où l'on cause publicité, quelques minutes, puis où l'on compare les qualités des interprétations des chansons de Burt Baccharach, de Dusty Springfield à Elvis Costello... Des choses essentielles... Des moments où l'interessé d'une voix de stentor réinterprétait le scat de Michel Legrand, entre un verre de sancerre rouge et le café gourmand... Inoubliables instants.
    So long, man.
     

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  • Bloc-note express N°179

    Le weekend dernier fut belge. Bruxellois pour être précis. La précision est importante. Bruxellois ET culturel. Objectif: éviter les trucs touristiques, le Manneken Pis par exemple. Se dire qu'on va visiter le musée de la BD. Et ne pas le visiter. Se focaliser sur la Villa Empain, qui abrite la Fondation Boghossian, laquelle a organisé une belle exposition sur les femmes. Moins militante que l'expo Elles du Centre Georges Pompidou. Plus fine. Des femmes sous le regard des femmes, et de quelques hommes. Sublime et épurée.

    La Centrale Electrique, un lieu entre Palais de Tokyo, Fondation Cartier et Tate Modern miniature... Jane Alexander met en scène son Afrique du Sud, avec d'étranges créatures hybrides, des gants de caoutchouc rouge, quelque chose d'obscur, même dans l'explication de l'artiste...

    Bozar, lieu consacré aux bozars... Plusieurs expos, un choix, celui de se consacrer aux phtographes belges. Etonnantes natures mortes, bunkers renversés, vies de familles...

    Plus loin, Louvain la Neuve, et son Musée Hergé. Je craignais le pire, malgré tout. Essentiellement de découvrir une sorte de Disneyland purement marchand. Le résultat est étonnant, une pure plongée dans l'univers de Tintin, de la ligne claire. Fascination devant les planches originales, devant le coup de crayon, la technique unique et le travail d'équipe incroyable qu'était devenue l'élaboration d'un album de Tintin.

    Mention spéciale, et envie de péter les genoux, voire pire, à l'abruti qui a fracassé la vitre avant de la voiture pour piquer, le minable, un sac posé certes un peu trop en évidence. La prise de contact avec la police belge a été agréable.

    Un point important: toujours partir en voyage avec un copain ayant été chef déco dans le cinéma. C'est fou comment avec un bout de carton et un rouleau de gaffer, il t'improvise une solution de remplacement à ton prpblème de vitre brisée. Avoir avec soi aussi un copain équipé d'un Laguiole, bricoleur de surcroit. Résultat: un ersatz de vitre avant qui protège du vent...

    Voila, quoi. Et on écoute de la new wave belge des années 80. Et quelques raretés, dénichées chez un disquaire local.

    Retour à Paris sans histoires...

    Enjoy!


    Envoyé de mon iPad

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