Versailles est pop. Évidemment, la formulation interroge. Max Gomart est versaillais. Et fait de la pop. Une belle pop d'inspiration 70s revendiquée. Il a été bercé par l'album rouge des Beatles et par AC/DC. Il a écoute du prog rock, du metal progressif. Nous avons parlé de Porcupine Tree, de Storm Corrosion, le projet parallèle de Steven Wilson (de Porcupine Tree), de Star Wars et aussi du kif d'écouter Abba. J'ai découvert au cours de la conversation, Lewis Baloue, crooner pop des 80s largement oublié. Un entretien à découvrir dans ce nouvel épisode du Volume sur 11. 

Max Gomart sort son second EP, The Fooling, le 23 septembre. Release party le même jour au Supersonic (Paris).

Épisode disponible sur Deezer, Spotify, Amazon Music, etc.

Marquis de Sade a fait l'un de ses tous premiers concerts en ouverture du groupe de Sergeï Papail, Frakture. Il a brièvement fait partie de Marquis de Sade, il a été de l'aventure Marc Seberg. Il y a quelques semaines, il a sorti un album solo, très personnel, Native (Coop Breizh). Rencontre avec un artiste en bouillonnement créatif permanent. Nous avons parlé bien évidemment de Frank Darcel et Philippe Pascal, le socle de la scène musicale rennaise. Nous avons évoqué le Velvet, Nico et plein d'autres choses!

Un nouvel épisode du Volume sur 11 accessible aussi sur Deezer, Spotify, Amazon Music, etc.

En fouinant dans mes archives, je constate que j'avais découvert ce duo parisien il y a 3 ans. En plein confinement, période funeste s'il en est, propre à l'introspection, et surtout à l'ennui. Privés de spectacles vivants, de moments de convivialité autour d'un verre, nous avions redécouvert l'ennui profond du temps qui passe trop lentement. Typical Light, Hélène et Hakim m'ont recontactés à l'occasion de la sortie de leur premier album, Imaginary Ride, sorti sur le label H1 Massive. Séduit par leur synthpop aux accents 80s revendiqués, par une pop atmosphérique, éthérée rappelant certains climats des Cocteau Twins ou des réminiscences lointaines de Japan ou Simple Minds, j'ai eu envie de les rencontrer. 

Olivier Popincourt est une exception dans le paysage musical français. Il fait de la pop, une pop d'inspiration très anglaise. Dans ses titres, il parle de l'amour, des sa complexité et de ses complications. Dans son adolescence, il a écouté The Clash, Joe Jackson et aussi The Jam et The Style Council. Il en a conçu une passion pour Paul Weller, LE Modfather, dont il ne manque aucun des passages. Avec ses complices de French Boutik ou avec Olivier Rocabois, il a élaboré un album hautement recommandable, We Were Bound To Meet (Milano Records), sorti il y a quelques semaines.

J'ai voulu en savoir plus sur lui, sa vie, son oeuvre, et je l'ai reçu dans le Volume sur 11 :

Un épisode  disponible aussi sur Deezer, Amazon Music, etc.

Enjoy!!