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Vu au Japon
Vu au Japon et testé!!! La carte de paiement instantané. Passmo ou Suica. Qui permet de prendre les transports en commun. Ad lib. Tant qu'elle est chargée. Bref, me direz-vous, quelle différence avec le Pass Navigo, de la RATP?Imaginez aussi pouvoir procéder à de menus achats, boissons dans des distributeurs automatiques, un café-croissants dans votre rade favori, ou des journaux, magazines, chewing-gums directement au kiosque... Bref, une carte Moneo qui serait acceptée presque partout... Pas de code à taper, pas d'insertion dans une machine, juste un contact avec le capteur. Rapide, facile d'utilisation.A noter aussi que dans certains cas, certains modèles de téléphone mobile peuvent servir de moyen de paiement. Etonnant, non...Enjoy! -
Tokyo - choses vues
Tokyo, ville moderne. Architecture épurée, façades lisses, pierre et verre. Ville minérale. Foideur des buildings, en plein jour, sans néons chatoyants. Croisement de lignes verticales et horizontales. Recherche d'une forme de minimalisme zen? D'une forme d'harmonie? Peu de vestiges du Japon traditionnel subsistent au coeur de la ville, à proximité du Palais Impérial.
Tokyo
Enjoy! -
Nos dessins animés 70-80
C'est un grand livre coloré, comme un livre d'enfant. Un livre dont la ouverture est illustrée des héros de nos enfances, tous ces personnages sucrés qui ont le goût des mercredi après-midi, de la grenadine et du pain au chocolat. Le livre qui vous accroche l'oeil, que vous ouvrez et qui vous fait remonter le temps. Le temps de l'innocence. Le Manège Enchanté, Colargol, Kiri le Clown, pour les plus anciens, ceux qui avaient 5 ans dans la France de Pompidou, celle d'avant le choc pétrolier, du vomi sur le siège arrière de la DS, des départs en vacances vers Cabourg en Simca 1100.
"Nos Dessins animés 70-80" de Florence Sandis. Nos héros d'enfance. Il y a Satanas et Diabolo, les Fous du Volant, tout ces dessins animés en 2D, à la technique et aux scénarios sommaires. Plus tard il y eut Goldorak, Candy... Mais là, j'avais décroché. Je n'ai pas connu - trop âgé - la période Club Dorothée, le déferlement des dessins animés japonais, à l'animation sommaire, à la violence dénoncée par les ligues de vertu, les joyeux censeurs. Il est vrai que les codes graphiques contrastaient avec l'univers feutré des productions Disney. Match impitoyable. L'oeil de Bambi se remplissant de larmes après que le chasseur eût... A non! C'est trop triste, même 40 ans après!!! L'oeil de Bambi, donc, vs un guttural AstéroHache! FulguroPoing! L'alpha et l'oméga.
L'univers manga me sauta à la gorge, un soir de virée à Tokyo, il y a quelques années. Dans un de ces petits rades du côté d'Asakusa, où l'on pratique le karaoke et où mon représentant local avait ses habitudes vespérales et sa bouteille de Jack Daniel's. Après avoir massacré, bière et saké aidant, les grands classiques d'Yves Montand, en français, devant un maigre public assemblé autour du zinc, et récolté les applaudissements, je méditais mon prochain attentat musical. La mama-san, taulière du lieu, prit le micro et chanta un air qui me parut familier. Au payyyyyys de Candyyyyyyy... Candy-Candy... OMG! Le truc qui tue. Dix minutes plus tard j'exécutais au sens propre du terme Bohemian Rhapsody, et prenais mon vol Narita-Charles de Gaulle dans un état comateux.
Enjoy!
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Retour à Tokyo
Quand on remonte l'historique de ce blog, on peut y déceler les traces d'une passion ancienne pour le Japon. Une passion encouragée par une quinzaine de voyages professionnels, toujours très/trop courts, entamés en 1995... En 2008, dernier trip. Dernières impressions. Et ce sentiment diffus que la prochaine visite sera dans longtemps, voire même totalement improbable. Tant de choses à voir.
Et ce projet un peu fou, discussion de vieux potes, un retour possible, une virée de mecs. Un truc unique. 100% fun et tourisme.
Hey Ho, Let's Go!
Etre à nouveau lost in translation, traîner à Asakusa, Roppongi, Harajuku. Retrouver les sons d'Akihabara. Revoir le luxe glacé d'Omote-sando. Se plonger dans la foule de Shinjuku. Marcher dans les traces de Bill, Sofia et Scarlett. Humer l'encens des sanctuaires shinto. Etre ébloui par les néons des enseignes lumineuses. Se perdre dans les ruelles de Shibuya. Se choper des crampes infernales en tentant de dîner assis en tailleur sur un tatami. Passer de la verticalité minérale des buildings au calme des jardins. Bref, vivre Tokyo.
Pour ce trip 2016, un plus, la location d'un hébergement inédit. Pas d'hôtel de luxe, pas de coûteux ryokan, mais le choix d'une petite maison dans un quartier résidentiel. Expérience inédite, avec futons et tatamis, salle de bains traditionnelle, sabres et katanas partout...
Les premières photos sont là, des impressions glanées ça et là, au fil des balades.
Enjoy!