Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

synthpop

  • Mes invités dans Le Volume sur 11 : Typical Light

    En fouinant dans mes archives, je constate que j'avais découvert ce duo parisien il y a 3 ans. En plein confinement, période funeste s'il en est, propre à l'introspection, et surtout à l'ennui. Privés de spectacles vivants, de moments de convivialité autour d'un verre, nous avions redécouvert l'ennui profond du temps qui passe trop lentement. Typical Light, Hélène et Hakim m'ont recontactés à l'occasion de la sortie de leur premier album, Imaginary Ride, sorti sur le label H1 Massive. Séduit par leur synthpop aux accents 80s revendiqués, par une pop atmosphérique, éthérée rappelant certains climats des Cocteau Twins ou des réminiscences lointaines de Japan ou Simple Minds, j'ai eu envie de les rencontrer. 

     

    Catégories : Musiques, Podcast Lien permanent
  • Nezick au calme

    Il y a des titres sur lesquels tu tombes en arrêt à la première écoute. Qui te scotchent, et que tu écoute en boucle en te demandant pourquoi le morceau est si court, pourquoi il n'y en pas d'autres. C'est le cas de Calm ce titre pop envoutant de Nezick. Un gars discret dont le talent de compositeur mérite d'être exposé au grand jour. Il a inauguré la série des interviews express ici-même. On ne désespère pas un jour de boire une bière ensemble histoire de discuter musique. Il a un double musical, Project [N]. Sur ce titre, les deux se sont confrontés. Joli exemple de dédoublement de la personnalité musicale. 


    Catégories : Découvertes, Musiques Lien permanent
  • Interview Express : Partenaire Particulier

    Éric Fettweis est un pote, on ne se voit pas souvent, mais j'aime bien l'artiste, le gars sur qui est tombé le succès il y a maintenant un paquet d'années et qui est poursuivi par un titre, emblématique d'une époque. Partenaire particulier, cherche partenaire particulière... On connait les paroles par coeur, le genre de chose que tu entonnes dans une soirée, chargé en alcool ou pas d'ailleurs... Ça rappelle d'ailleurs cette période insouciante où... Putain, tout ça parait si loin après des semaines de confinement/déconfinement/reconfinement/couvre-feu... Bref. Hasard des plateformes de streaming, je tombe sur un album de reprises de tubes de synthpop des années 80. Partenaire Particulier reprenant Depeche Mode, Yazoo, Orchestral Manoeuvres in the Dark, New Order. Relectures respectueuses. Et ma foi fort plaisantes. On y trouve le même plaisir qu'en écoutant une compil qu'avait réalisée le sieur Beigbeder Frédéric il y a quelques années, en rassemblant la bande originale de sa jeunesse. Ces sons qui ont bercé nos soirées, en école de commerce pour certains, en rallye pour les z'autres. Avec rock "essuie-glace" à la clé. Ceux qui savent verront parfaitement de quoi je cause. Pas de nostalgie de l'époque, n'oublions pas que Peter et Sloane et Licence IV eurent un succès phénoménal à l'époque. À chacun son sale (voire très sale en l'occurence) goût. Le beau pays de France, celui des Gaulois réfractaires, a des goûts de masse que je qualifierai tout de go de goûts de chiottes. Ce n'est pas nouveau. Pardonnez-moi de ne pas m'extasier devant les chansons à message de Vianney. Ni devant celles d'Aya Nakamura (dans ce cas d'ailleurs, je préfère écouter du rap japonais ou du death metal russe... Quitte à ne rien comprendre, autant préserver son snobisme!). Mais bon, le commerce étant ce qu'il est, si ça se vend, "Frankly my dear, I don't give a damn", aurait dit Rhett. Keep calm and don't give a fucking fuck.  Mais revenons à nos Partenaires Particulier. Pas de cover d'Isabelle a les yeux bleus. Ni de L'Aventurier. Au 36ème degré, ça aurait pu être marrant. En attendant, j'écoute à fond la cover de Blue Monday et celle d'Enola Gay. Et puis celle d'Amoureux Solitaires, en duo avec Lio. Et je souris bêtement. Et ça fait du bien!! Merci, amigo!

    Allez hop, interview express! 

    Lire la suite

    Catégories : Interview express, Musiques Lien permanent
  • Interview Express : BT93

    Improbable. Le genre de truc qui tombe dans ta boîte mail et que tu écoutes le sourcil froncé d'abord, avec le doute raisonnable qui sied à toute confrontation à une situation inédite. Et puis tu te détends. Et tu accroches. Peut-être est-ce générationnel. BT93 parle d'un monde auquel plus personne ne croit aujourd'hui. Mais qui, pour ceux qui sont entrés sur le marché, qui ont rejoint la course du rat dans les années 80-90, signifie quelque chose. L'époque des super-winners, l'époque des entrepreneurs vénérant Bernard Tapie, lecteurs de Paul-Loup Sulitzer le soir et de L'Expansion à l'heure du déj. Tous ceux qui se sont étranglés chaque matin avec une cravate, et ont eu des demi-molles dans l'ascenseur les conduisant au somment de leur tour de La Défense après un parcours en RER, leur d'attaché-case à la main... La belle époque où l'on y croyait encore... BT93, l'artiste, a dépeint cette vie merveilleuse, contemporaine de celle des héros désabusés de L'Extension du domaine de la lutte décrite par Houellebecq. Les bandes sont restées dans les tiroirs. Pendant plus de 25 ans. Et elle réapparaissent en 2020. Avec l'intervention de Frédéric Lo. Un phénomène surprenant. 

    J'ai voulu en savoir plus, et percer le mystère BT93. Interview express!!! 

    Lire la suite

    Catégories : Interview express, Musiques Lien permanent