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LE VOLUME SUR 11 - Page 237

  • Bloc-note express N°119

    Impression du matin... Il fait froid à nouveau. Miles Davis, Ascenseur pour l'Echaffaud sur TSF Jazz pendant la douche. La trompette de Miles, excellente entrée en matière pour entamer une nouvelle semaine. Ce jazz cool et confortable. Moelleux.

    anvil2.jpgRock'n'roll weekend en réécoutant les Who, Tommy, Who's Next, Quadrophenia. Avec un faible pour les deux premiers. Quadrophenia est prétentieux. Loin des racines quintessentielles du rock. Rock'n'roll toujours en allant voir samedi soir "The Story of Anvil". Documentaire, ou plutôt rockumentaire sur un groupe de hard rock oublié du début des années 80. Deux copains d'enfance, Lips Kudlow et Robb Reiner. Des débuts fracassants. Puis plus rien pendant 30 ans sinon la galère. Les petits boulots. Et cette flamme qui les anime, qui leur a donné l'envie de continuer. Jusqu'à revenir dans la lumière à 50 ans passés. Avec les témoignages émus de Lars Ulrich (Metallica), Slash (Guns'n'Roses) qui ont eu l'envie de se lancer dans la carrière grâce à Anvil. Injustice du showbiz? Aléas. L'histoire d'Anvil, rappelle celle de Spinal Tap, en plus vrai que nature. L'authenticité en plus. Kudlow et Reiner sont émouvants dans leur fraicheur, leur simplicité et cette croyance inouïe en un succès qui tarde à venir mais est toujours possible. A voir.

    Des nouvelles de ROSE (Return On Social Experiment). Site opérationnel, page fan Facebook opérationnelle, fil Twitter opérationnel. Premiers clients. C'est parti. Je vous en dirai plus, un de ces jours, sur mon associée, Agnès Laurent, qui a initié le projet après plusieurs années passées en agence. Démarrage en duo. Esprit de conquête. Affaire à suivre.

    Enjoy!

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  • Dans mon iPod ce weekend... The Who

    Un album de 1971 qui tourne en boucle dans mon iPod depuis le début de la semaine: Who's next. Un des sommets créatifs des Who. Truffé de tubes, Baba O'Riley, Won't Get Fooled Again et la ballade, Behind Blue Eyes. Synthés, guitares saturées, voix hallucinée d'un Roger Daltrey au top de sa forme. Daltrey d'ailleurs en pleine période crinière au vent et veste à franges, façon Spinal Tap. La pochette de l'album reste mythique, le bloc de béton portant les empreintes des quatre hurluberlus venant de s'y soulager. Sommet pour les Who qui remplissent les stades, font hurler de murs d'amplis Marshall. Concerts homériques avec destructions systématiques de matériel, guitares, batteries... Bastons dans la foule. Une violence, une attitude qui va inspirer le hard rock naissant.

     

    Enjoy!

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  • Numericable, c'est de la merde!

    numericable.jpgNumericable, c'est de la merde. Disons-le tout de go. Prestations minables, hotline incompétente, foutage de gueule permanent.

    Dialogue avec la hotline...

    - Mais non, Monsieur, votre ligne téléphonique fonctionne...

    - Bien sûr Ducon, puisqu'à cet instant par une chance inouïe, je peux appeler avec mon fixe... Mais la ligne est rarement opérationnelle.

    - Je vois des déconnexions, le 31 janvier, le 3 février...

    - Evidemment Ducon, nous devons redémarrer le routeur pour que le téléphone fonctionne.

    - Mais vous me dites qu'Internet et la télévision sont OK. C'est pas normal. C'est pas possible qu'un seul truc ne fonctionne pas.

    - Donc c'est ma parole de client pas content contre votre parole...

    - Z'avez essayé avec un autre téléphone? Et z'avez redémarré le routeur...

    -Ben oui, il me semble que ça fait deux ans que vous nous faites la même réponse et que le téléphone est toujours en rade...

    Bref, ça sent le désabonnement à plein nez.

    Parce que j'en ai marre de ce mépris du client et de l'incompétence.

    Parce quand je paie une offre triple play, je ne peux pas me contenter d'une offre 2/3 play.

    Parce que quand on est une entreprise de service, le service DOIT être opérationnel 24h/24 et 7jours/7.

    Parce qu'on doit faire des gestes commerciaux significatifs ne serait-ce que pour laisser penser au client qu'il compte vraiment et pas uniquement parce qu'il fait un virement automatique chaque mois.

    Parce qu'une marque a un engagement vis à vis de son client.

    Parce que l'approche cynique "take the money and run" n'est plus acceptable pour une entreprise responsable.

    Parce que le consommateur a le pouvoir. Entre autre celui de partager son retour d'expérience négative. Et que si la marque ne réagit pas, c'est qu'elle n'a aucune considération pour son client.

    Parce que MOI, client, je n'aime pas ne pas être considéré. Qu'il FAUT me brosser dans le sens du poil. Me fidéliser. Me parler. Me démontrer que je suis important.

    C'est dit. Gens de Numericable, à vous de jouer. Mais sachez que je n'attendrai pas longtemps avant de vous montrer que MOI client, je peux aller voir ailleurs.

     

    Enjoy!

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  • Bloc-note express N°118

    Galouzeau de V. vs Nico S. Est-ce intéressant? Bof... L'Histoire jugera.

    Pernaud de Téheffun et Nico S. Etait-ce intéressant? Bof... 32% de part d'audience... Imaginons Napoléon III s'exprimant sur la chaîne dans le journal du Baron Haussmann, Louis XIV dans celui de Mansard... L'Histoire ne mentionnera même pas un simple exercice de propagande démagogique...

    iPad, je veux. Ca n'a pas l'air parfait. Apparemment, à peine plus qu'un gros iPhone. Mais on se fait à l'écran multipoint. Et la perspectiveipad.jpg de pouvoir accéder facilement à des contenus écrits, livres, journaux est séduisante. Comme par hasard, Amazon informait ses utilisateurs le lendemain, du fait que les contenus destinés au Kindle étaient aussi accessibles sur PC. L'iPad ringardise un peu le Kindle et son design peu sympathique. Et au passage les autres e-readers.

    intheair.jpgIn the Air, de Jason Reitman avec George Clooney. Un constat, la crise économique et les déboires de l'économie américaine inspirent les cinéastes. In the Air raconte une tranche de vie, celle d'un homme dont le job est d'annoncer les mauvaises nouvelles aux salariés des entreprises en difficulté. A la place des hiérarchies, très lâches tout à coup quand il s'agit de pratiquer le downsizing à la hache... Vous êtes viré mon vieux. Larmes, crises de rage, dépression. Clooney, impitoyable avec son sourire "What else?". Un film sur les voyageurs d'affaire, qui tueraient pour garder les privilèges des programmes de fidélité des compagnies aériennes. Pour y avoir goûté pendant quelques années, je comprend cette sensation. Etre accueilli comme un VIP, ne jamais être ralenti par une file d'attente. Voir le regard d'envie de ceux qui n'ont pas la carte dorée. Qui ont moins de miles. Les miles... Ryan Bingham/George Clooney, dans In the Air tente d'atteindre 10 millions de miles (notons au passage que le film offre un catalogue magnifique de placement de produits, Hertz, Hilton, American Airlines...). Son seul but dans la vie. Je me rappelle la sensation de nudité, le jour où voyageant moins j'ai été dégradé de Flying Blue Gold en Silver...

    R'n'B, Alicia Keys... En écoutant Jay Z, que j'apprécie depuis The Grey Album, le remix par Danger Mouse du Black Album du rappeur avec le White Album des Beatles, j'ai découvert Alicia Keys. Je ne suis pas fan de R'n'B, malgré les bombes atomiques des clips diffusés sur les chaînes musicales. Longues jambes fuselées, glamour à souhait. Les Rihanna, Beyonce, etc... alicia keys.jpgPas fan, donc. Et pourtant, je ne sais pourquoi, j'ai écouté de bout en bout le dernier album d'Alicia Keys, et j'ai eu le faiblesse d'y prendre un certain plaisir. Allez comprendre... L'Empire State of Mind, peut-être..

    Le Livre... Après le Dubuc's blog, le Dubuc's Book. Objectif N°1 de la semaine: finir la rédaction du premier jet. Ca cause de personal branding. L'éditeur attend la livraison du manuscrit pour la fin du mois de février. Affaire à suivre. Il faudra enrichir, réécrire, couper, rythmer, enrichir, modifier, encadrer... Bref, du taf' avant de voir sur les rayonnages de votre libraire préféré le produit fini avec sa couverture pelliculée...

    ROSE (Return On Social Experiment)... du gros client dans le pipeline... Affaire à suivre!!!

    jd salinger.jpgJD Salinger est mort. Et l'histoire d'Holden Caulfield ne m'a jamais vraiment ému ni touché. Non vraiment L'Attrape-Coeur (The Catcher in the Rye) m'a laissé froid. Histoire de contexte peut-être. Dans l'après-guerre, la découverte de la liberté par un adolescent pouvait apporter une bouffée d'air pur et d'aventure à ses pairs coincés par le système. So what? Salinger en s'effaçant du monde a gardé son innocence. C'est sa force. Il a créé son propre mythe. Que ce serait-il passé s'il avait pondu son bouquin annuel et fait la tournée des Barnes & Nobles pour des séquences de dédicaces? Chaque nouvel opus aurait été jugé à l'aune du précédent. L'Attrape-Coeur aurait peut-être disparu dans les tréfonds de la mémoire... Qui sait?

    Enjoy!

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