Il n'est pas réellement dans mon iPod. Je l'ai découvert un peu par hasard sur Youtube en cherchant des covers destroy de Dylan pour agacer l'ami Resse... Chocho. Un japonais dont le péché mignon est d'enregistrer des covers en japonais de standards pop, des Beatles, de Dylan, des Carpenters. Vidéos fort bien faites avec sous-titres façon karaoke. Le bougre s'en sort avec beaucoup d'aplomb. Idéal pour bien commencer un weekend pas vraiment printanier en oubliant les derniers délires de la Sarkozie vascillante. Une bonne bouffée d'exotisme, alors qu'ouvre à la Fondation Cartier l'exposition consacrée à l'immense "Beat" Takeshi Kitano. L'occasion pour moi de ressentir une pointe de nostalgie très fugace pour le temps où j'avais la chance d'aller au Japon une fois par an. And now, Ladies and Gentlemen, Chochotakamuneek! Banzaaaaaaaaaaai!
Subarashi desu!

Lu ce weekend allongé sur une pelouse, l'iPod, fidèle compagnon diffusant en mode aléatoire un medley d'incontournables de la pop et du rock, un petit bouquin remarquable par son écriture: Boys in the Band, de David Brun-Lambert. Une version romanesque de l'épopée brève et cahotique des Libertines. Ecrite du point de vue de Carl Barat, la description émouvante d'une relation d'amitié et de création pourrie par la drogue. Never trust a junkie. Deux albums seulement, mais un créateur hors pair, Pete Doherty. La catalyseur de la relance du rock britannique, sans effets spéciaux, séminal et essentiel. Guitare, basse batterie, chant. La formule la plus simple réinitiée par les Libertines, lointains héritiers de Clash, voire des Smiths.
Wii Fit... installée, paramétrée. Première analyse de l'IMC... No comment! Ma fille aînée s'est mise au step, au jogging, et au yoga sur Wii Fit... Un détail , le step à 00h30, c'est bruyant!