Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Dans mon iPod ce weekend...

    Attention prêtresse. Sortez le mascara, les fringues noires, les Doc Marteens, les accessoires S&M, la coupe de cheveux pétard-araignée... Travaillez votre voix en baissant le ton dans les graves, juste une question d'octave. Ayez la tête de celui ou celle qui est rongé de l'intérieur par le spleen. Juste une douleur adolescente, pas celle de l'employé de France Telecom, le spleen du dandy qui se regarde dans la glace et décèle au fond de son regard l'angoisse existentielle de celui qui sait que le pot de Nutella est vide et qui a la flemme de sortir dans le froid d'octobre pour le réassort... Une vraie détresse existentielle... Pour ressentir le spleen, j'écoutais Siouxsie and the Banshees. This Mortal Coil aussi, voire Eyeless in Gaza. Mais concentrons nous sur l'égérie punk ayant pris le virage de la new wave et enchanté nos années 80.

     

    Enjoy!

    Catégories : Musiques, Playlists Lien permanent
  • Berlin - Choses vues #3

    Deux photos à une soixantaine d'années d'intervalle. Potsdamer Platz, l'une des places les plus animées du Berlin d'avant-guerres (le pluriel est volontaire). Un no man's land pendant les années de Guerre Froide.

    La première photo a été prise en 1981, lors d'un voyage scolaire. La seconde est une carte postale des années 30. Le Berlin d'Alfred Döblin. Le Berlin d'avant le nazisme. Pendant les années du Mur, la ville-enclave, par provocation, avait voulu se montrer sous son jour le plus animé, le plus vivant, le plus coloré. Contraste avec la grisaille du Berlin-Est, et ses hommes nouveaux coincés entre Stasi et VoPos...

    Photo250.jpg

    Photo251.jpg

    Enjoy!

    Lien permanent
  • Bloc-note express N°102

    Bloc-note livré avec un jour de retard, vous m'en voyez contrit... La semaine passée fût riche... La semaine en cours riche elle aussi. Rencontres, rendez-vous, mission, planning de conférences, contacts. Pas un moment pour soufller.

    webdeux.jpgConclusion de la semaine avec une journée au Webdeux Connect. Présentation de start-ups, workshops thématiques, conférences. J'y reviendrai en détail dans la semaine. Les acteurs du web conversationnel se déchaînent. Bouillonnent d'idées. Viennent échanger, benchmarker. Rencontres, contacts. Une journée fructueuse à l'Usine, en plein 9-3. En face du Stade de France. La blogosphère a des talents. Des noms en vrac, Wipolo, Jamespot, Multiwizz... Des confrontations de concepts: êtes vous "Green IT" ou "IT for green"? Des cas pratiques sur le management de l'e-Reputation. Des insights sur l'utilisation optimale de Twitter et comme le faisait remarquer une participante... Peu de femmes. La Webdeuxsphère manque un peu de geekettes. Alors les filles, vous faites quoi?

    acer.jpgSans transition, la problématique (résolue) de la semaine dernière... Sachant qu'un Sony Vaio ultra-portable 13'3 coûte autour de 1 400€ à l'achat. Sachant que la casse de l'écran LED n'est pas couverte par la garantie. Sachant que Sony demande plus de 850€ pour réparer la chose. Sachant que des officines spécialisées dans la réparation de portables, qu'elles soient rue Montgallet, ou en banlieue demandent autour de 400€ pour remplacer ledit écran (pas en stock, à la commande uniquement - un écran LED 13'3 pour Sony Vaio, une denrée rarissime manifestement). Que va faire notre utilisateur? Claquer 400€ pour tenter, dans un délai indéterminé de sauver une machine d'à peine un an? Avec le risque que le prochain coup ce soit le disque dur, le lecteur-graveur de DVD qui trépasse... Non. Etude de marché rapide. Et achat d'un Acer 13'3, 1,5 kg pour 420€ chez GrosBill (70€ de moins qu'à la Fnac, by the way). [Disclaimer: Ceci n'est pas un billet sponsorisé. Juste un retour d'expérience. L'auteur de ces lignes n'étant lié à aucune des marques citées]

    Sortie du mercredi soir... Invité au Paradis Latin... Etonnant. Plumes et filles longilignes encadrées de quelques musclors dont la virilité n'est pas forcément une évidence absolue. Entre tradition du cabaret un peu kitsch et désuet) et modernité (atmosphère dancefloor/cours d'aerobic plus un zeste d'imagerie s&m)... Etonnant mélange dans la salle entre groupes de provinciaux du 3ème âge, et tourises étrangers venus vivre l'expérience du Paris des cartes postales... Excellent champagne en tous cas.

    Lecture en cours... Ubu Roi d'Alfred Jarry.

    Enjoy!

     

     

    Catégories : Bloc-note Lien permanent
  • Dans mon iPod ce weekend...

    Il est de passage à Paris mercredi soir (Café de la Danse). Je n'y serai pas. Autre programme. Néanmoins, si vous avez un moment, et si ce n'est pas sold out, Jonathan Richman est un phénomène à découvrir, redécouvrir, déguster comme une friandise. Le King absolu du minimalisme. Qui poursuit sa carrière, indifférent aux modes. Flashback sur l'un de ses premiers tubes (avec son groupe The Modern Lovers), un monument, qui donne une idée de l'état d'esprit potache et déconneur du bonhomme. Pablo Picasso (was never called an asshole)...

     

    Enjoy!

    Catégories : Musiques, Playlists Lien permanent