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  • Rock en Seine, retour sur l'édition 2010

     

    IMGP5290.JPGD'abord une impression de brume au loin, en arrivant à quelques centaines de mètres du Pont de St Cloud. Brume qui s'avère plus qu'humide... Première averse et sortie de l'équipement de pluie. On continue, bravement, on gare le scooter dans le parc. Moins de nuages, pas d'averse. On cache nos yeux derrière des Wayfarer, façon Jake et Elwood Blues. On replie majeur et annulaire, index et auriculaires tendus! Rock'n'roll!

    Rock en Seine / Day 1 - Premier concert, All Time Low, gamins insolents, niveau pipicacaprout, pour punk-pop efficace. Le tout dans la bonne humeur... "J'aimeuh la chatta" hurle le chanteur, trop fier d'avoir ajouté une phrase en français à son vocabulaire... Les filles montrent leurs seins, le groupe hurle "boobs!", dans la bonne humeur générale.

     

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  • Bloc-note express N°136

    Rock en Seine marque la fin de l'été. Fin de vacances sur fond de rock'n'roll. Du gros, du lourd, du saignant. De l'humide aussi. J'y reviendra dès que j'aurai trouvé quelques précieuses minutes pour écrire un bilan du Festival. Apothéose avec les éléments qui ont eu raison d'Arcade Fire après une heure d'un concert intense. 

    C'est la rentrée, dis-je. Reprise des rubriques traditionnelles de ce blog. Merci pour vos commentaires post-Madeleines estivales. Les Madeleines reviendront, j'ai fouillé dans mes archives musicales et dans ma mémoire (celle qui est logée dans le truc mou que nous avons tous a priori dans le crâne), j'ai écouté vos suggestions. Affaire à suivre.

    En attendant, chaque fin de semaine, les nouveautés et découvertes, nichées dans mon iPod. Le bloc-note du lundi revient. Et pour le reste, toujours ce mélange de trucs de geeks, de choses vues, de films, de livres, et de rock'n'roll.

    Pas grand chose ce matin, peut-être quelques coups de gueule? Et encore, même pas envie. Après 3 semaines passées sans ouvrir - à de rares exceptions près - un journal, sans écouter la radio. 3 semaines un peu hors du monde, pour se couper des Woerth-Bettencourt-Sarkozy, etc. 3 semaines à refuser d'en entendre davantage sur le bordel ambiant. 3 semaines à tenter de goûter aux choses simples. Et encore, je me demande si ça, je ne l'ai pas déjà écrit.

    Mon inquiétude: le début du démarrage du commencement de la campagne de la Présidentielle 2012, et la saturation médiatique y afférant. Ca va puer. Attendons nous à chausses-trappes, anathèmes, démagogie à tous les étages, tirs tendus, snipers... Bref, de quoi donner envie de quitter les lieux, de déserter la Doulce France. L'herbe n'est guère plus verte ailleurs, quoique... Il suffit de lire deux phrasettes de quelque ministre ou porte-parole de parti politique au pouvoir pour se dire que les nouvelles du front de la connerie ne sont pas bonnes. Pour ne point être accusé d'angélisme de gôche, je suis au regret de constater que j'ai du mal à croire que tout changera par quelque action magique... 

    Bref, je commence à ronchonner!!! Ronchon Powa!!!

    Enjoy!

     

     

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  • Expandables, 100% crétin, 100% jubilatoire

    the_expendables_43.jpgPlus c'est con, plus c'est bon, serait-on tenté de dire... Avec The Expandables, on atteint une forme nouvelle d'orgasme béat, quelque chose qui, pour les anciens ados des années 80, rappelle cette phase ingrate avec acné, poils rares au menton et fantasmes improbables.

    Stallone nous a concocté un film de mecs. Tetostéroné à mort. Stéroïdé comme jamais. Botoxé ausi. car les héros du cinéma d'action des années Reagan, Stallone, Schwarzenegger, Lundgren, Roberts et Rourke ont pris un gros coup de vieux. Dieu merci, le Viagra et les collagènes ont réparé des ans ce qui était réparable dans l'irréparable outrage!

    Eut-il été filmé 30 ans plus tôt, The Expandables aurait eu l'image crade du film de série B. En 2010, la photo est soignée. Le son est mixé aux normes du Dolby surround THX machin. Ne manque que la 3D! Les moteurs vrombissent dans les graves, en harmonie avec les voix de basse des héros fatigués. Les coups de poing, de flingue vous chopent au plexus. Un film viril.

    Viril avec de l'hémoglobine, sans tomber dans le gore. Car le sang est versé par les nombreux soldats ennemis, chair à canon des dictatures et des scénaristes, abattus, égorgés, démembrés, explosés. Giclées généreuses. Presque pornographiques.

    Sensible. Car Stallone est un malin. Adrian était le Yang de Rocky. La touche féminine qui humanisait le cogneur de Philadelphie. Après avoir considéré que la situation puait grave (histoire de faire semblant de parler djeunz), Sly est prêt à renoncer à 5 millions de dollars de prime, juste rétribution de la mission cassage de gueule et flinguage de dictateur sud-américain appuyé par un ignoble ex-agent de la CIA. Il n'y retourne que pour la fille. Sacré Sly! Foule sentimentale, on a soif d'idéal, comme le chantait ce vieux Souchon.

    Côté pitch, les scénaristes ne se sont pas foulés: "Il y a un problème en Amérique du Sud. The Expendables sont la solution. Pif, paf, bang. Accolades viriles. Générique".

    Bon, la semaine prochaine, j'irai voir Salt. Le scénar est le même, mais le joli corps musclé d'Angélina vaut le détour parait-il.

    Au fait, j'ai vu Inception. J'ai adoré. Et quant à savoir si la toupie s'arrête ou non... Allez voir The Expandables, ça vous reposera le cerveau!

    Enjoy!

     

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  • #45 - Les Madeleines de Mr Dubuc: Alice Cooper

    La dernière madeleine de l'été, hymne à la jeunesse éternelle: I'm Eighteen. Alice Cooper!

     

     

    Merci pour votre fidélité estivale!

     

     

    Enjoy!

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