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  • Devenez vous aussi beta-testeur Joost

    medium_joost_logo.jpgJoost vient de m'envoyer quelques tokens pour élargir la famille des beta-testeurs... Il m'en reste DEUX que j'offre aux premiers qui en feront la demande, sur ce blog.

    Rappelons aux nouveaux venus que Joost n'est rien moins pour ses utilisateurs qu'un nouveau mode de consommation de vidéo et de programmes de télévision en ligne. Les tokens envoyés aux beta-testeurs leur permettent d'inviter de nouveaux utilisateurs à les rejoindre pourt expérimenter le système, le commenter, contribuer à son amélioration avant le lancement officiel dans le courant du semestre.

    Premiers arrivés, premiers servis. Faites vos jeux, rien ne va plus... La demande doit être formulée courtoisement dans les commentaires ci-dessous!

    Good luck!!! 

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  • Voyages

    Je n'ai visité que 28 pays, soit 12% de l'offre. 

    "Peut mieux faire"...

     


    Et vous? Créez votre propre carte, ici.


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  • Pas cher!

     
    Avouons-le... 10 $ pour un an d'abonnement, ce n'est pas cher! 83% de réduction sur le prix facial. Le bonheur, non? Mais comment font ils pour s'en sortir? me demande mon camarade Guillaume, tapi dans son bureau au coeur du Financial District de San Francisco... Par la pub!!!
    Wired est un magazine de niche... De grosse niche... alliant geeks, über-geeks, geeks blindés de la Silicon Valley, geeks  de start-up en attente d'IPO... Bref, un magazine de centre d'intérêt, un magazine "lifestyle"... Le Vogue du passionné de technologie... Côté annonceurs, des voitures (Saab, BMW...), de la technologie (Apple, GeekSquad...), des boissons, des hôtels...
    Pour le magazine, se constituer une base d'abonnés solide, est le meilleur moyen de garantir à ses annonceurs une audience stable. L'abonné est acquis pour au moins un an. L'audience n'est pas tributaire des inévitables fluctuations de la vente en kiosque. Bien évidemment, une telle politique implique une maîtrise des coûts de production. D'un autre côté, sur un territoire aussi vaste que les Etats-Unis, la gestion des abonnements est plus simple que la gestion d'un circuit de vente au numéro. Elle permet d'ajuster la production et évite un trop fort taux d'invendus. Une présence minimale en kiosque impose un minimum d'exemplaires présents physiquement dans les rayonnages, sans garantie de trouver preneur. On pourra gloser sur la motivation de lecture de l'abonné. Sera-t-il aussi motivé par la lecture de son magazine selon qu'il l'aura reçu de façon mécanique dans sa boîte aux lettres ou qu'il aura fait la démarche volontaire d'aller au kiosque pour s'en porter acquéreur?
    Le kiosque est toutefois nécessaire aux primo-accédants... Ils trouveront dans le magazine les précieux coupons qui lui permettront de s'abonner à bas prix. La présence en kiosque étant finalement paradoxalement,presque incluse dans le coût de recrutement d'abonné...
    PS: Accessoirement, Wired appartient au groupe Condé Nast, qui possède entre autre Vogue, The New Yorker...
    Pour plus d'informations sur le lectorat et la diffusion du titre, voir ici. En gros: 620 000 exemplaires, dont 89% d'abonnés. Plus de 2 millions de lecteurs, soit un taux de circulation tout à fait raisonnable de 3,5 lecteurs par numéro.
     
     

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  • La "vérité vraie" sur Dan Brown...

    medium_forteresse_digitale_dan_brown.jpgLa réclame nous présente "Forteresse Digitale" comme le nouveau Dan Brown. A destination des malcomprenants, ou exilés volontaires sur une île déserte, précisions que le susnommé a commis "Da Vinci Code", best-seller intercontinental, écrit d'une plume de plomb, mêlant ésotérisme et rebondissements abracadabrantesques. Or, il s'avère ce bon Dan Brown n'a plus rien sorti depuis son thriller mystique et rémunérateur... "Anges et démons", "Forteresse Digitale" sont des fonds de tiroir sortis aux Etats-Unis depuis belle lurette, traduits en français depuis peu, histoire de capitaliser sur une valeur sûre d'un point de vue commercial.
    Question: comment se fait-il que les fins limiers de l'édition française soient passés à côté d'un tel auteur pendant toutes ces années? Serait-ce que la qualité d'écriture ou la solidité des intrigues n'aient pas été jugées suffisantes à l'époque, pour justifier traduction et publication? Soyons honnêtes, j'ai dévoré "Da Vinci Code". Pas de phrase compliquées. Quelques passages en force que même Enid Blyton dans les aventure du Club des Cinq n'aurait pas osé commettre. Ensemble plaisant. Allongé sur une plage. Avant ou après une bière fraîche."Anges et démons", sorte de brouillon de "Da Vinci Code", écrit avant, publié après sous nos latitudes était le type d'ouvrage qui inspire des commentaires du type: "on ne peut pas dire que c'est creux, tellement c'est plat"... L'écriture d'un auteur ne pouvant que s'améliorer dans la durée (encore que...), on peut légitimement conclure que remonter le temps ne fait rien à l'affaire. Quant à faire passer un opus de 1998 pour une nouveauté 2007, genre "le nouveau thriller de l'auteur du "Da Vinci Code", c'est faire preuve d'un cynisme et d'une détermination mercantile qui force le respect...
     
     

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