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  • Axel Ganz, à propos de la presse

    Interviewé - gentiment - par Isabelle Giordano sur Arte, Axel Ganz s'explique. Il est toujours amusant de constater que depuis plus de vingt ans, les questions qui lui sont posées sont toujours les mêmes, avec une véritable obsession concernant Voici. La position de Ganz sur le sujet n'a jamais dévié. Pour avoir moi-même travaillé chez Prisma Presse pendant 7 ans, et avoir appris à apprécier cette conception décomplexée d'une presse économiquement viable, j'adore les postures un peu outragées de quelques journalistes, qui manifestement n'ont pas envie de comprendre que pour faire des journaux, il faut s'appuyer sur un modèle économique viable et que gagner de l'argent n'est pas forcément un gros mot.

     

     

     

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  • France Soir, daube de saison

     

    Logo_France_Soir.jpgJe me suis résolu à acheter France Soir, il y a deux semaines. Histoire de voir. Passons sur le relancement financé par un fils d'oligarque russe. On n'entend rien, à part Marianne. Que n'aurait-on pas ouï si, je ne sais, tiens, Rupert Murdoch par exemple, avait racheté ledit canard boiteux... Mais le Rupert est plus malin que ça, il vit avec son temps, lui. Il a un pied dans le web. Un grand pied.

    L'histoire récente de France Soir me fait penser à cette phrase de Marshall McLuhan: "We drive into the future using our rear view mirror. The past went that-a-way. When faced with a totally new situation, we tend always to attach ourselves to the objects, to the flavor of the most recent past. We look at the present through a rear view mirror. We march backwards into the future." Le relancement de France Soir est la parfaite illustration de cette nostalgie castratrice d'un temps où ça allait mieux. Les Trente Glorieuses. L'avant premier choc pétrolier. Une ère idéalisée. Le choix des contributeurs au titre n'est pas innocent. Gérard Carreyrou (né en 1942), Patrick Poivre d'Arvor (né en 1947), Bernard Debré (né en 1944), Laurent Cabrol (né en 1947), Guy Savoy (né en 1953) De bons vieux baby-boomers.

     

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  • Bloc-note express N°51

    presse.jpgDernière semaine avant changement d'activité... Derniers pas dans le média presse en tant qu'acteur de son écosystème. Lundi prochain, je ne serai plus qu'un simple lecteur.

    En revanche, premiers pas dans l'univers du jeu vidéo. Le jeu vidéo en tant que média. Les chiffres sont éloquents. Dans l'univers du divertissement, de l'entertainment, un jeu vidéo peut aujourd'hui générer plus de revenus qu'un blockbuster... Grosse audience donc. Le paradigme est simple: grosses audiences, donc cibles potentielles pourgrid.jpg un marché publicitaire en pleine recomposition. Les marques sont à la recherche de solutions de communication innovantes, impactantes, efficaces...  Affaire à suivre...  D'autant plus que les consoles sont aujourd'hui reliées à internet... Le bénéfice-utilisateur est évident. Jouer en réseau, en mode multi-joueurs. A partir du moment, où la console est connectée... Il est possible de délivrer des messages publicitaires intégrés au coeur même du jeu. Au sein des univers... Vous voyez le topo?

    Aurai-je le temps de bloguer? Bonne question... Le mantra "Dubuc's blog" de l'année 2007: Re-invent your life! Le cru 2008: Move Forward! Le move est fait. Le blog m'a permis d'explorer les médias numériques, d'assouvir mes passions... Je reste en mode veille (technologique et médiatique). Peut-être la pérodicité des posts sera-t-elle plus aléatoire... Démarrer une nouvelle activité, quasiment from scratch est, pour manier l'euphémisme, assez, voire très prenant... Nous verrons. 

    avion.jpgChanger de métier, ou du moins donner une orientation différente à son parcours professionnel implique des changements... L'un d'eux, et non des moindres est le voyage. Depuis un peu plus d'une dizaine d'années, je suis allé une quinzaine de fois au Japon. Avec chaque fois autant de plaisir, tout en sachant que ma quête de compréhension d'un pays qui combine hyper-modernité et traditions séculaires, serait forcément limitée par ma non-connaissance de la langue (ce n'est pas faute d'avoir essayé!!!)... Professionnellement parlant, mon métier m'a donné la chance de combiner pratique professionnelle et plaisir de la découverte de lieux et de cultures différentes. Mais pour un tour d'Asie par an (Tokyo-Seoul-Taipei-Hong Kong-Singapour-Kuala Lumpur), ou un tour des Etats-Unis (San Francisco-Seattle-Chicago-New York, avec en option LA ou Boston), combien de Paris-Genève, Bruxelles ou Milan... Entre le vol long courrier, où le voyage garde son sens, son mystère, son excitation entre odeur du kérozène et bulles de champagne, et le moyen courrier, aussi excitant qu'un Alesia-Chatelet sur la ligne 4... quel contraste! Disons, pour faire court qu'on se lasse plus de la récurrence des réveils à 4h45, du taxi à 5h30 pour arriver à Roissy 2F à 6h15, et embarquer sur le vol de 6h55... Sans parler de l'accroissement des mesures de sécurité, contrôles, palpations, scans... sans oublier l'inévitable surbooking... Il ya encore 3 ans, le simple fait de risque de perdre mon statut Fréquence Plus Rouge (devenu Flying Blue Gold), plongeait le voyageur d'affaires dans une grosse déprime!!! Aujourd'hui, restrictions budgétaires obligent, le billet d'avion est une denrée chère, faute d'être rare, et la business class n'est plus une évidence dans les entreprises... Vient le temps de l'indifférence...

    Et l'envie de faire autre chose.

    Et c'est chose faite.

    Ce blog gardera sa curiosité, ses divagations éditoriales, entre médias, nouvelles technologies et musique.

    Enjoy!

     

    Catégories : Bloc-note Lien permanent