Un truc de fous. Je tombe sur une pub dans un cityguide distribué dans les taxis. L'accroche est surprenante... "
Redifining doggie style". Les anglophones apprécieront. Précisons aux fans de rap que Snoop Dog n'est pas concerné par cette affaire...
Donc, doggie style... Il s'agit en fait d'un hôtel pour chiens et chats qui va ouvrir à San Francisco. Malgré la réputation justifiée de tolérance de la ville, chiens et chats ne peuvent partager les mêmes chambres... (A quand une class action pour venir à bout de cette discimination manifeste?)
Une visite sur le site de la chaîne
Wag Hotels s'impose. Tout est fait pour permettre à nos amies (?) les bêtes de bénéficier des meilleurs conditions de confort. On peut venir avec ses croquettes, des jeux collectifs sont organisés... Pas de précision toutefois sur le
doggie style... Faut-il donner à Rex et Médor des contraceptif? Les parties de pattes en l'air sont-elles tolérées? Hétéro? Homo? Inter-races?
En tout cas la promesse est claire... Le meilleur (?) ami (?) de l'homme va remuer ("wag" en anglais) la queue... On est content pour lui.
San Francisco a connu la folie de la bulle internet au début du siècle. Puis la dépression. Aujourdhui, les affaires reprennent. La ville démontre une attractivité sans précédent pour les entreprise liées aux nouvelles technologies. D'après le San Francisco Chronicle, 1/4 des bureaux loués, l'ont été à des entreprises de technologie (seulement 14% en 2004!). Non seulement la ville attire les start-ups, mais aussi les ténors du secteur. On murmure que Google aurait signé une lettre d'intention pour s'installer en ville pour y installer 800 employés. Le siège, connu sous le nom de Googleplex restant à Mountain View. Yahoo vient de louer des bureaux dans le Financial District pour y installer des commerciaux et son service Flickr. Microsoft installerait des bureaux à Westfield. L'avantage du centre ville est d'offrir des conditions de travail optimale aux employés des entreprises de technologie en leur épargnant des heures de transport. Se rendre dans la Silicon Valley et en revenir pouvant prendre jusqu'à trois heures par jour.
