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  • Dans mon iPod ce weekend... Donald Fagen

    Peut-on ne pas aimer Donald Fagen? 50% de Steely Dan, une production qui ferait même passer JJ Cale pour un forcené... Pensez donc, 4 albums en 30 ans sous son nom. L'homme est un perfectionniste. Gros cliché... C'est clair qu'avec un album tous les 7-8 ans, on a le temps de peaufiner... 

    Il n'empêche qu'à chaque livraison, le plaisir est le même. Le même que le soir où, pour les plus anciens, nous découvrimes le Sieur Fagen dans Feedback, l'émission de Bernard Lenoir sur France Inter, avec son album The Nightfly. Donald Fagen, c'est de la pop teintée de jazz, une production plus qu'impeccable, du Steely Dan, quoi... A se demander vraiment qu'est-ce qui fait la différence entre un album de Fagen en solo, avec ou sans Walter Brecker, son alter ego et complice dans le crime... Steely Dan, Fagen, c'est très France Inter, côté confort d'écoute.

    Mais c'est trop bon! L'album s'appelle Sunken Condos

    Enjoy!

    Catégories : Musiques, Playlists Lien permanent
  • Autrefois, Val fut, lui aussi, un humoriste...

    Guillon n'était pas toujours drôle, c'est un fait. De là à en faire un martyr, victime de la sarko-berlusconisation des médias, faut pas pousser le bouchon trop loin, non plus.  Le cas Philippe Val est plus dérangeant... Val est un peut-être aujourd'hui ce que Guillon sera dans quelques années. Imprécateur décapant, dans sa folle jeunesse.  Fouquier-Tinville, une fois son assise sociale établie. Garder le pouvoir, asseoir son autorité en faisant tomber les têtes...

     

    On appréciera la rebellitude du Val des années 70-80...

     

     

     

    Enjoy!

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  • Le coup du "grand-père" chinois

    Je ne ferai aucun commentaire d'ordre politique sur l'opportunité ou non d'alpaguer les sans-papiers à proximité des écoles. En revanche, je m'attacherai à la dimension sémantique de l'affaire. Les radios répètent à l'envi depuis l'incident qu'un "grand-père chinois" été interpelé. Grand-père chinois... Comme le faisait remarquer Guy Carlier dans sa chronique medium_tintin_bluelotus_extract.jpgmatinale d'hier sur France Inter, "grand-père chinois" ça évoque inconsciemment un vieillard chenu, avec quasiment une grande natte blanchie par les ans, une jolie veste brodée, une silhouette voutée et frêle... Bref, le grand-père de Tchang Jong-Jen. Tchang, le pote de Tintin. Le pote du chic-type par excellence, chic-type lui-même par capillarité. Le grand-père du chic-type, pote du plus chic des chic-types, ne peut-être qu'un chic-type lui-aussi. On arrête là. Le grand-père en question a 57 ans. Une fois encore, je ne me prononce pas sur le fond, mais sur l'interprétation qui nous est servie en boucle, en ranimant des clichés inappropriés. Et je le regrette. On ne s'adresse à nous que sur une interprétation émotionnelle d'un fait de société. Le grand-père chinois, sera-t-il pour Nicolas Sarkozy ce que Papy Voise a été pour Lionel Jospin en 2002?
     
     

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