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LE VOLUME SUR 11 - Page 202

  • Pourquoi j'ai bu du Monster Energy (billet non-sponsorisé)

    Parce que...

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    Comme quoi, meme dans le temple du rock'n'roll, Rock en Seine en l'occurence, on en revient toujours aux classiques: "Ah pour etre dévot, je n'en suis pas moins homme, et lorsqu'on vient à voir vos célestes appas, un coeur se laisse prendre et ne raisonne pas" (Tartuffe - Acte III, scène 3). Autrement formulé par Pierre Desproges, dans son Dictionnaire superflu à l'usage de l'élite et des bien nantis: Mens sana in corpore salo = En tout homme il y a un cochon qui sommeille...

    Enjoy!


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  • Laurent Mignon est Fort

    "Entre ici, Laurent, en ton funeste cortège". Transfert des cendres de Laurent Fignon au siège de l'Equipe. La foule est en larmes. 50 ans, le con. Ca colle des sueurs froides aux vieux quadragénaires, qui entendent le tic-tac de leur horloge biologique...

    C'est comme mon vieil ami et business partner, Mike. Il avait des lunettes, comme Fignon. Vu en septembre 2009. Pas en forme. Et ventilé façon puzzle en décembre de la meme année. Meme causes, memes effets.

    Qu'est-ce qu'il nous reste comme sportifs à lunettes, que la gent journalistique qualifiera d'intellectuels. Parce que le port de lorgnons est accompagné 1/ de la lecture de livres autres que Picsou Mag, Lui et France Futbol, 2/ de la restitution de connaissance avec des phrases construites. Des gars capables de dire autre chose que "Chuis content que j'ai gagné! Cé kool, coach!"

    N'y voyez aucun mépris, aucun snobisme. Juste un constat, au gré d'images collectées de plateaux télé en plateaux télé, quand on attend des infos géopolitiques au petit matin, et que le poste ne donne que les résultats de la Ligue 1. Dont je me moque, autant qu'un Taliban de sa première lapidation.

    Sportifs à lunette... Il reste Lilian Thuram. Fait gaffe Lilian. Pense à Fignon. Cela étant, avec ton patronyme, je pourrai faire une chroniquette avec un jeu de mot titre au moins aussi pourri que celui de ce jour.

    Enjoy!

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  • Rock en Seine, retour sur l'édition 2010

     

    IMGP5290.JPGD'abord une impression de brume au loin, en arrivant à quelques centaines de mètres du Pont de St Cloud. Brume qui s'avère plus qu'humide... Première averse et sortie de l'équipement de pluie. On continue, bravement, on gare le scooter dans le parc. Moins de nuages, pas d'averse. On cache nos yeux derrière des Wayfarer, façon Jake et Elwood Blues. On replie majeur et annulaire, index et auriculaires tendus! Rock'n'roll!

    Rock en Seine / Day 1 - Premier concert, All Time Low, gamins insolents, niveau pipicacaprout, pour punk-pop efficace. Le tout dans la bonne humeur... "J'aimeuh la chatta" hurle le chanteur, trop fier d'avoir ajouté une phrase en français à son vocabulaire... Les filles montrent leurs seins, le groupe hurle "boobs!", dans la bonne humeur générale.

     

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  • Bloc-note express N°136

    Rock en Seine marque la fin de l'été. Fin de vacances sur fond de rock'n'roll. Du gros, du lourd, du saignant. De l'humide aussi. J'y reviendra dès que j'aurai trouvé quelques précieuses minutes pour écrire un bilan du Festival. Apothéose avec les éléments qui ont eu raison d'Arcade Fire après une heure d'un concert intense. 

    C'est la rentrée, dis-je. Reprise des rubriques traditionnelles de ce blog. Merci pour vos commentaires post-Madeleines estivales. Les Madeleines reviendront, j'ai fouillé dans mes archives musicales et dans ma mémoire (celle qui est logée dans le truc mou que nous avons tous a priori dans le crâne), j'ai écouté vos suggestions. Affaire à suivre.

    En attendant, chaque fin de semaine, les nouveautés et découvertes, nichées dans mon iPod. Le bloc-note du lundi revient. Et pour le reste, toujours ce mélange de trucs de geeks, de choses vues, de films, de livres, et de rock'n'roll.

    Pas grand chose ce matin, peut-être quelques coups de gueule? Et encore, même pas envie. Après 3 semaines passées sans ouvrir - à de rares exceptions près - un journal, sans écouter la radio. 3 semaines un peu hors du monde, pour se couper des Woerth-Bettencourt-Sarkozy, etc. 3 semaines à refuser d'en entendre davantage sur le bordel ambiant. 3 semaines à tenter de goûter aux choses simples. Et encore, je me demande si ça, je ne l'ai pas déjà écrit.

    Mon inquiétude: le début du démarrage du commencement de la campagne de la Présidentielle 2012, et la saturation médiatique y afférant. Ca va puer. Attendons nous à chausses-trappes, anathèmes, démagogie à tous les étages, tirs tendus, snipers... Bref, de quoi donner envie de quitter les lieux, de déserter la Doulce France. L'herbe n'est guère plus verte ailleurs, quoique... Il suffit de lire deux phrasettes de quelque ministre ou porte-parole de parti politique au pouvoir pour se dire que les nouvelles du front de la connerie ne sont pas bonnes. Pour ne point être accusé d'angélisme de gôche, je suis au regret de constater que j'ai du mal à croire que tout changera par quelque action magique... 

    Bref, je commence à ronchonner!!! Ronchon Powa!!!

    Enjoy!

     

     

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