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  • Nos dessins animés 70-80

    Nos_dessins_animés_70_80.jpgC'est un grand livre coloré, comme un livre d'enfant. Un livre dont la ouverture est illustrée des héros de nos enfances, tous ces personnages sucrés qui ont le goût des mercredi après-midi, de la grenadine et du pain au chocolat. Le livre qui vous accroche l'oeil, que vous ouvrez et qui vous fait remonter le temps. Le temps de l'innocence. Le Manège Enchanté, Colargol, Kiri le Clown, pour les plus anciens, ceux qui avaient 5 ans dans la France de Pompidou, celle d'avant le choc pétrolier, du vomi sur le siège arrière de la DS, des départs en vacances vers Cabourg en Simca 1100.

    "Nos Dessins animés 70-80" de Florence Sandis. Nos héros d'enfance. Il y a Satanas et Diabolo, les Fous du Volant, tout ces dessins animés en 2D, à la technique et aux scénarios sommaires. Plus tard il y eut Goldorak, Candy... Mais là, j'avais décroché. Je n'ai pas connu - trop âgé - la période Club Dorothée, le déferlement des dessins animés japonais, à l'animation sommaire, à la violence dénoncée par les ligues de vertu, les joyeux censeurs. Il est vrai que les codes graphiques contrastaient avec l'univers feutré des productions Disney. Match impitoyable. L'oeil de Bambi se remplissant de larmes après que le chasseur eût... A non! C'est trop triste, même 40 ans après!!! L'oeil de Bambi, donc, vs un guttural AstéroHache! FulguroPoing! L'alpha et l'oméga.

    L'univers manga me sauta à la gorge, un soir de virée à Tokyo, il y a quelques années. Dans un de ces petits rades du côté d'Asakusa, où l'on pratique le karaoke et où mon représentant local avait ses habitudes vespérales et sa bouteille de Jack Daniel's. Après avoir massacré, bière et saké aidant, les grands classiques d'Yves Montand, en français, devant un maigre public assemblé autour du zinc, et récolté les applaudissements, je méditais mon prochain attentat musical. La mama-san, taulière du lieu, prit le micro et chanta un air qui me parut familier. Au payyyyyys de Candyyyyyyy... Candy-Candy... OMG! Le truc qui tue. Dix minutes plus tard j'exécutais au sens propre du terme Bohemian Rhapsody, et prenais mon vol Narita-Charles de Gaulle dans un état comateux.

    Enjoy!

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  • Bloc-note express N°146

    France5_01.jpgFort de son nouveau label "Vu à la télé", notre héros va essayer d'échapper aux paparazzi qui ne manqueront pas de se jeter sur ses traces. Il n'empêche que l'expérience fut intéressante. Le reportage, réalisé par Arnaud Muller et Martin Boudot, diffusé sur France 5, a été construit avec ce qu'il faut de recul pour ne pas tomber dans la posture indignée. "OMG, ils considèrent nos enfants comme des cibles! OMG, nos mômes, la chair de notre chair, sont des consommateurs". Le reportage propose un décryptage des mécanismes de l'influence et de la captation de l'attention! Les politiques, interviewés restent dans la posture incantatoire, et pensent législation. Ils devraient faire des stages en entreprise pour comprendre les arcanes de l'économie et du monde réel... A part ça, j'aurais tant aimé que 10% des investissement pub des marques le soient dans le jeu vidéo... 

    C'est étonnant d'ailleurs de se voir à la télévision. Au même titre qu'on n'aime pas entendre le son de sa voix.  Avec le temps on finit par s'accepter. Je me suis trouvé bien. Voila c'est dit.

    Etonnant d'ailleurs comme le jeu vidéo me colle à la peau. L'aventure IGA Worldwide aura été relativement brève, certes, mais l'idée d'utiliser le jeu comme vecteur de communication d'une marque reste forte et prometteuse. J'ai eu l'occasion d'intervenir au Celsa sur ce thème. J'en parlerai à mes étudiants de l'Iseg.

    A part ça, semaine passée intense. La semaine qui démarre est intense aussi. Peut-être même aurais-je des nouvelles de mon éditeur. Etonnant, le monde de l'édition, je n'en dirais pas plus, mais je ne pourrais pas recevoir le Goncourt cette année. Ca laisse une chance à Houellebecq. Je mise encore sur les cadeaux de fin d'année. Avec séance de dédicaces déguisé en Père Noël. Question personal branding, ça vous pose un homme! :)

    FB logo.jpgSemaine passée intense, avec deux journées consacrées à l'animation de formations. En petit comité. Un groupe de quatre personnes. Plus facile d'échanger à propos de l'utilisation des médias sociaux et de l'animation communautaire. L'occasion de constater que si Facebook est d'une immense intuitivité pour ce qui concerne ses fonctionnalités de base, le réglage fin des paramètres de confidentialité nécessite quelques aller et retour entre menus déroulants, un peu déroutants. Pas évident non plus de faire passer l'idée que tant qu'il faut décocher des cases pour ne plus être alerté par mail du moindre mouvement d'oreille de l'un de vos amis...

    A part ça... Loupé l'avant-première de Boardwalk Empire. Loupé le Festival des Inrocks, malgré l'affiche prometteuse de samedi soir, avec Local Natives et Warpaint. A la place, récupération de mon quota d'heures de sommeil en retard.

    Aujourd'hui, il fait gris, froid et humide. Un temps à ne pas sortir de chez soi, non?

    Enjoy!

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  • Dans mon iPod... Dire Straits

    Hier, je reçois un mail d'un vieux pote, perdu de vue depuis 25 ans au moins. Un mail sympa. Pas nostalgique, pas une invitation à rejoindre les associations d'anciens combattants, le trip copains d'avant... La mémoire fait le reste. Des bribes de souvenirs. Quelques images. des sons. parmi ces sons, quelque réminiscences de Dire Straits, de la guitare de Mark Knopfler. Et ce morceau, héroïque, s'il en est. Telegraph Road. Un extrait du dernier album écoutable de Dire Straits. Avant que le groupe de remplisse les stades, ne devienne un des piliers de l'industrie naissante du CD, et un fournisseur de contenu pour MTV.

    Enjoy!

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  • A day in the life

    Avec la complicité d'Harold's Planet. Une journée ordinaire. Quand tout roule et que tu n'as pas un Chinois en visite officielle pour te pourrir la fin de journée en te bloquant dans un inextricable chaos automobile.

    adayinthelife.jpg

    Enjoy!

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