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  • Blogueur mobile

    Il est des moments où l'on a envie de bloguer sur l'instant, sans avoir à mettre en route son pc. Parce qu'un pc, c'est lent au démarrage. Les adeptes du Mac le savent bien. Et se montrent parfois moqueurs.

    Ecrire un texte sur le pouce, au moment du premier café matinal, sur l'écran riquiqui de l'iPhone, nouveau plaisir. Envoyer un e-mail. Hop!
    Certes, la mise en forme est sommaire, pas de liens hypertexte, pas de tags, mais une véritable instantanéité. Du Twitter sans la limite des 140 caractères.

    Je teste. Affaire à suivre.
    Et vous, qu'en pensez-vous?

    Enjoy!

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  • J'aime bien les Inrocks...

    https://www.dubucsblog.com/media/00/02/824287396.JPGSurtout avec une couv' qui donne envie de s'intéresser de près au jeune cinéma français...


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  • L'homme qui voulait vivre sa vie

    Je ne me rappelais plus vraiment de l'intrigue du roman de Douglas Kennedy, lu il y a quelques années. Sinon que j'avais aimé cet auteur, dont j'avais découvert l'univers en parcourant Les Désarrois de Ned Allen. Une collègue m'en avait vendu le pitch (edit 09h13: Le pitch de Ned Allen, pas de celui de L'Homme qui, etc.) : "Tu vas voir, le héros est chef de pub". Peu de romanciers s'étaient intéressés jusque là aux vendeurs d'espace publicitaire. Ca fait moins rêver que médecin de nuit, ange-gardien ou femme d'honneur...
    Donc, Douglas Kennedy. L'homme qui voulait vivre sa vie. Après le livre, le film. Avec Romain Duris. Qui, se bonifiant avec le temps, et abordant la quarantaine, endosse des rôles de père de famille, après avoir été perpétuel jeune premier fringant.
    Le film est plaisant. La fin ouverte est un ratage total. Autant la toupie tournante clôturant Inception n'a déclenché chez moi aucun questionnement métaphysique sur la raison des choses, autant mon esprit rationnel attendait un final autre. Eric Lartigau, le réalisateur est passé à côté de son film. A film linéaire sans flashback, sans construction alambiquée, fin raisonnable, voire didactique. Un petit mot d'avant générique nous rassurant sur l'avenir du héros. Là, rien. Un Romain Duris disparaissant dans la foule. Vivant sa vie peut-être, mais perdant l'empathie du spectateur. On n'a pas envie d'en vouloir de cette vie. Dont on ne saura plus rien. Bâclage!
    Autre sujet d'agacement, ces gros plans sur le profil de Romain Duris, la lèvre tremblante du mec qui va pleurer mais reste digne parce que "boys don't cry"... Il intériorise sa souffrance le gars. Mais tellement de fois, de façon tellement récurrente et répétitive, qu'on a envie de lui en coller une, histoire qu'il se soulage une fois pour toutes.
    Dernière pique: Nils Arestrup... Journaliste alcoolique ou parrain corse, on ne sait plus bien... En roue libre, le gars...
    A part ça, pas une daube, mais pas un grand film non plus.

    Enjoy!

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  • RIP Charles de Gaulle

    Un simple dessin de Jacques Faizant (dont on put ne plus apprécier l'humour à partir de 1981), pour personnage hors normes qui va crouler sous les hommages, les rééditions, les images d'archives, les larmes de crocodile, un zeste de nostalgie, les révélations peut-être. 

    Pour mémoire, cet extrait joyeusement iconoclaste d'OSS117 - Rio ne répond plus:

    - Le Brésil, pas une dictature ? Mais comment appelez-vous un pays dirigé par un militaire, qui a les pleins pouvoirs, où les médias sont muselés et où la seule chaîne de télévision est celle de l’Etat ?
    - La France Madame ! La France du Général de Gaulle !

    Faizant_de_Gaulle.jpg

    Enjoy!

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