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inrocks

  • Dans mon iPod ce weekend... The Vaccines

    Festival des Inrocks hier soir... La Cigale. Quelques groupes sans trop d'intérêt, ou du moins sans suffisamment d'innovations ou de surprises dans le son pour susciter l'enthousiasme. Le public a l'air d'apprécier. Le bar est ouvert. La bière est fraîche. Rock'n'roll attitude quoi. Puis arrivent sur scène, après un soundcheck tonitruant laissant supposer que la tonalité de la soirée va changer, The Vaccines. Guitares, basse, batterie. Pas de machines. Et très gros son. Pas de quartier, pas de chichis, du bon vieux gros punk rock. On est du côté des Ramones. Potards sur 11. Le public pogote presque timidement. Les oreilles saignent. Le chanteur a la coupe cheveux de Johnny Ramone, les yeux de Johnny Rotten, et ressemble un peu à une version mince de Jack Black. LE concert qui réveille les Inrocks. Energie pure. C'est bon. J'ai la tête dans les enceintes. Comme disait Ted Nugent: "If it's too loud, you're too old". (Merci @HeleneTweets pour la citation).

    Merci The Vaccines, grâce à vous, j'ai eu ma cure de jouvence!

    Enjoy!

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  • Un soir au Festival des Inrocks... Anna Calvi

    Bien sûr il y a eu Dum Dum Girls et leur power pop  pleine de fuzz et de fureur. Bien sûr il y a eu l'intéressante Prince Miiaou. Bien sûr il y avait a quelques encablures de l'Olympia, le concert blindé de la prometteuse Lana del Rey. Mais les Inrocks cloturaient le festival 2011 par Anna Calvi.

    Belle, intense, hypnotique, magique, guitariste douée, chant puissant contrastant avec sa parole discrète, presque timide. Un grand show, l'album, une reprise d'Elvis presley (It's Now or Never, tempo ralenti au maximum). Vivement le second album!

    Preuve vidéo, les deux derniers morceaux du set, en rappel: The Devil et Jezebel.

    Enjoy!

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  • Un soir au Festival des Inrocks

    Petit plaisir annuel, le Festival des Inrocks. J'ai loupé James Blake, sans trop de regrets, quoique. Agnes Obel aussi. Séance de rattrapage en vue. Ce soir, je me déplace pour Foster the People, dont je ne connais qu'un morceau, et surtout Miles Kane, déjà vu à Rock en Seine et dont l'album éponyme est une tuerie.
    Il fait 40° à la Cigale, la bière est fraiche, les bobos sont beaux, les hipsters barbus, les filles court vêtues. La vie est belle.

    Passons sur Morning Parade, des gars sympas qui balancent une musique déjà entendue ailleurs, en un peu moins bien. On pense à un Joy Division cheap et joyeux, un New Order désincarné... Bref, pas particulièrement intéressant, même si un quasi-quinqua barbu, grisonnant et déplumé se déchaîne dans la fosse au milieu des djeunz. On leur pardonne, on oublie.

    Break. Bar. Bière. Potes.

    Foster the People sur scène. Charisme du chanteur, scène encombrée de synthés et de Macbooks. La température passe à 45° au moins. C'est énorme. Preuve vidéo:



    Break. Bar. Bière. Potes.

    Miles Kane. Le gars a le bon goût d'annoncer son arriver sur scène en diffusant à donf' One of these days de Pink Floyd. Histoire de chauffer la salle. Le lad débarque sur scène, tout en longueur, futal slim, pompes pointues, gourmette et coupe de cheveux mod. Bonne tête de branleur. Mais Miles sur scène ne se limite pas à la pose. Guitar hero, manipulateur de foules, il paie de sa personne. La température passe à 50° au moins. Un nouveau morceau, non moins pêchu que ceux de son premier album. Preuve vidéo en bonus, Rearrange.



    Break. En attendant Friendly Fires, un groupe dont j'ignore à peu près tout. Curiosité. Et qui monte sur scène avec une énergie dévastatrice. Un chanteur déchaîné, une section de cuivres, un guitariste fou. Ed MacFarlane se jette dans le public, traverse une foule en transe. Le thermomètre explose. Le groove est monstrueux. Il y a l'énergie des Happy Mondays, la joie, la fête, le bordel total. On en redemande. C'est énorme.
    La preuve vidéo a du mal a restituer l'atmosphère.



    Enjoy!

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