Weekend estival et redécouverte des Beatles... Pas d'une grande audace ce choix, m'objecterez-vous... 
Certes, mais mis en lecture aléatoire, l'Ipod réserve des surprises... Les trésors cachés du White Album ou de Let it Be naked!
Enjoy!
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Il faut sauver l'Ami Ricoré!
La nouvelle est tombée, sans préavis: l'Ami Ricoré n'est plus!
Nouvelle stratégie de communication, et disparition de l'ami du petit déjeuner, qui vient toujours au bon moment avec on pain et ses croissants... Bref l'ami idéal de la famille idéale. Il faisait toujours beau chez les potes de l'Ami Ricoré. Les enfants ne renversaient jamais leur bol de céréales imbibées de lait, leur mère était toujours bien coiffée et le père ne ressemblait pas à un zombie décoiffé et mal rasé... Bref, ce n'était que bonheur, agrémenté d'un breuvage vaguement caféiné ... Bref, c'était le temps des rires et des chants!!!
Jetons un oeil légèrement humide sur le site de Ricoré, qui revient sur sa saga publicitaire avc un brin de nostalgie...
Pour finir sur une note sérieuse, j'en pense qu'il est encore temps de sauver l'Ami Ricoré, afin qu'il ne disparaisse pas totalement de nos mémoires!
Groquick, à l'aide! Fais quelque chose!!!
PS: Dans un registre qui n'a rien à voir, une recherche sur Google m'a fait découvrir un mode de recyclage fort intéressant des boîtes vides de Ricoré.. en antennes wifi!!!
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The Long Tail
Revenons sur The Long Tail, le modèle économique décrit et analysé par Chris Anderson, rédacteur en chef de Wired. Lecture estivale roborative et très excitante ne serait ce que par rapport aux multiples perspectives qu'offre le web! Le postulat de départ, validé par l'analyse entre autres du fonctionnement de sites de e-commerce comme Amazon ou Rhapsody, est que le modèle économique traditionnel défini par Pareto a vécu. Exit la loi des 80/20, place à la Longue Traîne, pour reprendre l'appellation québécoise...
La Long Tail, c'est la possibilité pour un produit ou un contenu de trouver son marché, même sur une longue période de temps et sur des petits volumes. L'essentiel est la multiplication des références disponibles, liée d'une part à l'abondance de la production de contenu, mais aussi à une demande toujours plus segmentée. Une chance pour tous les producteurs de contenus de trouver leur public et de monétiser leurs créations. Une chance pour les sites de e-commerce de ne plus dépendre uniquement de peu de produits best-sellers, mais de l'aggrégation de petites transactions. Comme le dit Anderson: to sell less of more. De moins gros volumes mais un plus grand nombre de références.Plus le produit est dématérialisé, moins son coût de stockage est élevé, jusqu'à être quasi-inexistant, en particulier la musique ou la vidéo.Pour faire émerger une référence, tout un sytème de filtres, de recommandations, sur le modèle visible chez Amazon: les acheteurs de tel produit ont aussi acheté tel autre, etc, etc...Et au final la possibilité de gagner de l'argent avec des produits rares, difficiles à trouver dans les réseaux de distribution classiques, mais référencés sur le web.The Long Tail, c'est la possibilité pour la presse en ligne de commercialiser ses archives, en tablant sur le cumul de micro-transactions. C'est pour le marché des petites annonces, la possibilité de proposer tout, sans limite de temps, sans la contrainte de l'espace physique disponible dans un support papier.Une thèse très séduisante qui donne l'envie d'entreprendre et de se lancer dans le e-commerce! Quoi de plus excitant que de produire du contenu, de créer des produits et de savoir que l'on dispose d'un canal de distribution qui vous permet de toucher potentiellement le monde entier!Qu'en pensez-vous? -
Bilan média de l'été
A vos GPS! Avec un peu de retard, je vous livre la position exacte de mon lieu de vacances:
48° 52.502 N
01° 49.665 O
Pour les amateurs, une petite incursion dans Google Earth, ne donnera pas grand chose, l'endroit ayant été manifestement oublié par les satellites...
Quoi qu'il en soit, un constat: je n'ai pas pris en main le moindre quotidien, qu'il soit national ou régional pendant plus de trois semaines. sans en éprouver le moindre manque... J'ai guetté les symptômes attentivement. Rien à signaler. je n'ai pas ouvert de magazine non plus. Bien que la presse soit disponible. Pas blogué non plus, certes, mais pour des raisons techniques... Un débit de 50 kb maximum ne permet pas de faire des prouesses... Pas écouté la radio, pour déconnecter de l'actualité. En revanche, mon mobile s'est avéré un fidèle compagnon, tant pour consulter mes e-mails (en aparté, je constate que les spammers n'ont pas chômé cet été...), que pour m'informer un minimum...
Je ne tirerai aucune conclusion générale de cette expérience estivale, si ce n'est que le mobile est finalement le seul accesssoire indispensable pour communiquer ou accéder aux divers contenus informatifs.
PS: Très déçu par les tentatives de blogging par e-mail ou sms malgré les promesses de ma plateforme... Manifestement y'a eu comme un bug...
