What else?
LE VOLUME SUR 11 - Page 183
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Samedi matin
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Les voies du rock'n'roll sont impénétrables
Et oui, Petit Scarabée, la Voie des Maîtres tu dois suivre, et du droit chemin ne pas t'éloigner tu dois. Des délires avinés et enfumés de l'Occident décadent te détourner tu dois. La Fender Telecaster, l'ampli Marshall ne sont rien. Le pantalon moule-boules en lurex ne sied pas au cheminement vers la Sagesse. Les rockers tu convertiras par ton exemplarité.
Ainsi le Nirvana tu atteindras.
(Merci à M. Zarmu pour cette pépite)
Enjoy!
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Unstoppable vous fera préférer le train
Le pitch d'Unstoppable est classique, le scénario doit tenir sur un post-it: c'est un train fou chargé de produits chimiques. Un cheminot et son acolyte jouent aux héros pour éviter une catastrophe. Simple, le truc qui ne fait pas mal aux hémisphères cérébraux. Un zeste d'épaisseur psychologique quand même; le héros ne communique plus avec ses filles, l'acolyte est en pleine crise de couple.
A part ça, Tony Scott a un sens inné de l'image et du rythme. Unstoppable est filmé avec virtuosité. Une virtuosité qui va rendre passionnant un pur moment d'entertainment ferroviaire. Pas un flingue en vue, plutôt un retour aux fondamentaux du film catastrophe des années 70, la belle image et le montage clip en plus.
Ce qui différencie Tony Scott de Roland Emmerich, c'est de se focaliser uniquement sur le cheminement vers la catastrophe. Elle peut arriver, et les héros vont tout faire pour l'éviter. Chez Emmerich, elle la cata est inéluctable, elle arrive, le héros est en mode survie, mais son mode de vie sera définitivement modifié.
Unstoppable est une friandise agréable et digeste!
Enjoy!
Envoyé de mon iPhone (edit 17/11/2010) -
Il a plu...
...toute la journée. On est alors content de se réinstaller dans un wagon de TGV... Au sec. Mais ça a l'air sympa, le Doubs.