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Musiques - Page 217

  • dans mon iPod ce weekend...

    Un ovni... Découvert il y a deux ans en première partie de Rammstein... Ricanements du public... Encore de la finesse mélodique... Encore un régal pour nos oreilles... Encore des chevelus qui secouent la tête brutalement, exaltant la testostérone, le machisme au front bas, les pantalons en lurex moule-b...

    Apocalyptica fut une surprise, le violoncelle étant généralement peu présent dans les circuits métalleux... Un quatuor finlandais. 3 violoncellistes, un batteur. Démonstration qu'en termes de musique amplifiée, on peut faire du bruit avec tout. Question de conviction. Mais trève de plaisanteries... Une reprise de Metallica, live, Enter Sandman, pour se convaincre de la puissance de ces scandinaves... Et un peu plus bas, grace au player Deezer, un album complet à écouter. Petit bonheur métallique du samedi matin...

    4199bd3f808b8a97aef7e4e99cc169b3.jpg

    free music

    Enjoy!

     

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  • Vous avez demandé la Police...

    3db1c46daed612450498c611fae4bbec.jpg29 septembre. RER B, station La Plaine/Stade de France. 18h30. Des hordes de quadras et quinquas se dirigent vers l'enceinte du Stade de France. Une bière et un sandwich merguez-frite à la main. Quelques djeunz... égarés ça et là. 19h00. Dans le stade. La pelouse, précieuse en ces temps rugbystiques est recouverte d'un revêtement protecteur. Gradins clairsemés. 19h45. Fictionplane, le groupe de Sting Junior ouvre le bal. Rien à dire, sinon, peut mieux faire. La voix rappelle celle de papounet. Quelques morceaux à consonnances reggae réveillent quelques souvenirs dans le cerveau reptilien du public. Ennui poli. Power pop assez standard mais entraînante. Ballades se passant de commentaire. 21h00. The Police. Message in a bottle. Un peu bâclé. Son sans aspérités. Ecrans éteints. Où l'on constate qu'en dessous d'1m80, il faut renoncer au concerts de stades... Les écrans s'animent. La voix de Sting est intacte. Andy Summers délivre 993d4f908c076337b9b9cbb6bb6089cb.jpgquelques soli incisifs. Stewart Copeland matraque les fûts. Impeccable. Froid. Efficace. Le groupe semble avoir retrouvé une forme de complicité. Le public suit. Un peu mollement. Sting sourit. Copeland bastonne. Summers torture les 6 cordes de sa Stratocaster rouge. 1h30 passent. Et la grâce... L'essence punk de Police suinte enfin. Can't stand losing you. Roooooooooxane. So lonely. Enchaînés. Le public bouge enfin. Et si Police devait être résumé à son seul premier album, Outlandos d'Amour? Le plus simple, le plus énergétique, le plus séminal. Every breath you take. Fin du concert. rappel ultime. Et la bonne surprise. Un dernier morceau. 4 musicos sur scène. Sting, Copeland et Summers rejoints par Henri Padovani. Le corse. Le tout premier guitariste du combo. Le père fondateur. Energie punk du quatuor pour l'ultime moment d'extase de ce concert. 22h45. Finito. RER B, bondé.

     

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  • dans mon iPod ce weekend...

    abac43d8c7784225911888fad4a594be.jpgAvez-vous visité l'expo que consacre la Fondation Cartier aux origines du rock'n'roll? Si ce n'est pas le cas, foncez!!! Les origines du rock, 1939-1959. Du désespoir électrique des bluesmen de Chicago au crash de Buddy Holly et Richie Valens, the day the music died (Don Mc Lean). A voir, à écouter. Une peinture sans concessions de l'Amérique ségrégationniste des années 50. De l'impact du rock sur le rapprochement des communautés, sur ce mouvement de rébellion de la jeunesse contre une société fortement marquée par le puritanisme.

    Dans mon iPod, ce weekend... Sam Cooke. Voix de velours. Flingué bêtement dans un motel en 1965, pour une sombre histoire de mari jaloux... 

    Un morceau à écouter en boucle, porteur de tant de messages d'espoir: "A change is gonna come".  

    Enjoy!

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  • J'ai écouté le nouveau Springsteen

    Il flotte. L'automne nous tombe dessus. Ca dégouline. L'adepte du scooter se renfrogne. What else? me dit George, en me6db6b9ff61e37a9aa7773b7eea063af7.jpg filant une tasse de Nespresso (un Roma, capsule gris foncé)... Les filles sont indifférentes, le nez dans leur Livanto (capsule dorée)... Loose.
     
    Et Bruce dans tout ça. The Boss is back. Avec le E Street Band.
    d65a477c81b964ba352d457f7e806f64.jpgEt Magic, le nouvel opus? Premier morceau, Radio Nowhere, très rock. Musclé. Mélodie accrocheuse. Guitares. On pense à du REM sous stéroïdes. You'll be coming down... Springsteenien. Le sax de Clarence Clemmons au tiers du morceau. Le clavier du professeur Bittan. On retrouve un univers balisé. Gros son. Living in the future. Ouverture au sax. Springsteenien en diable. Classique. Your worst ennemy. Plus soft. La voix du boss est maîtrisée. Moins éraillée. Gypsy Biker. Harmonica en intro façon The River. Sur fond de guitares. Gros son ici aussi et sax puissant. Girls in their summer clothes. La voix est en retrait. Le Boss apaisé, regarde passer les filles dans leurs robes d'été dans son bled de la Côte Est. I'll work for your love. Intro au piano, le Boss attaque, voix très en avant. Du Springsteen de la grand époque. Magic. Calme. Le Bruce de Nebraska et du Ghost of Tom Joad. Moins brut de fonderie, plus travaillé. Last to die. Intro héroïque, pour un rock musclé. Long walk home. Encore un morceau Springsteenien type... Introduction apaisée, Bruce, presque seul. Montée en puissance. Et le E Street Band sonne la charge. Devil's arcade. Ballade introspective. Entre douceur mélodique et intensité. Terry's song. Final. Ballade nostalgique. Voix nue. Clavier et harmonica. Choeurs discrets. c310b355e7a16343a812e5d640f778d2.jpg
     
    George est scotché. On reprend une tasse.
    What else?
    Bercy le 17 décembre, pour la vérification live. (Merci Môssieur Resse d'avoir pallié mon inconséquence en te précipitant sur les places dès leur mise en vente et pas quelques jours trop tard... 
     
     
     
     
     

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