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  • Le nouveau clip des Bewitched Hands

    "Thank you, Goodbye, it's over", un nouveau morceau des Bewitched Hands, réjouissant, enthousiasmant, pop comme il faut pour attaquer une rentrée sous le soleil!

    A déguster comme une confiserie!

    The Bewitched Hands - Thank You, Goodbye, It's... par BewitchedHands-Official

    Enjoy!

    Catégories : Musiques Lien permanent
  • Du vent dans mes mollets, le film à voir

    carine tardieu, agnes jaoui, denis podalydèsSpontanément, je ne me serais pas laisser embarquer. Surtout quand sort Expandables 2, l'archétype du film burné sorti directement des cerveaux cramés par les stéroides des musclors testostéronés qui ont dominé le ciné de grande conso des années 80... J'irai voir la franchise Expandables, j'ai eu 16 ans dans ces années-là...

    Mais quitte à revisiter les années 80, il FAUT (impératif catégorique) aller voir le beau film de Carine Tardieu, "Du vent dans mes mollets", et pas uniquement pour son casting impeccable et juste. D'abord, il y a Agnès Jaoui. Contre-emploi total, la Jaoui mordante et sophistiquée s'est transformée en mère juive étouffante, empâtée, négligée, cheveu gras... Ophtalmo et ménagère. La femme qu'on ne remarque plus. Isabelle Carré, jeune divorcée avec enfants, sorte de pré-bobo chez qui on dit des gros mots en se gavant de Nutella devant la télé. Denis Podalydès, le père, installateur de cuisines, discret et amoureux. Judith Magre, la grand-mère un peu aphasique. Il y a surtout deux petites filles à la présence sur l'écran incroyable, deux personnages qui portent le film, Rachel et Valérie, deux copines de classe qui découvrent le monde avec leurs yeux d'enfants. L'école, la vie, les gens, le sexe. Une psy, Isabella Rossellini, qui recueille les confidences d'enfants et d'adultes un peu largués.

    La bande-son est juste, chaque morceau est amoureusement choisi et donne du sens aux images. On y entend Kare Bush, Richard Sanderson. Chapeau au décorateur qui a su reconstituer la France de 1981. On entend le candidat Mitterrand parler à la télévision. On revoit quelques pubs d'époque. On voit une sublime R16 jaune. On est en immersion totale. On replonge dans une part d'enfance. Mais qu'on ne s'y trompe pas. "Du vent dans mes mollets" n'est pas une reconstitution sociologique minutieuse des années 80. On y trouve ce qui faisait le charme du "Skylab" de Julie Delpy, la chronique familiale, l'humour. On y trouve aussi beaucoup de profondeur et de gravité. Le regard de l'enfant sur le monde des adultes est parfois cruel, toujours décomplexé. Le film est une sorte de psychothérapie accélérée avec une légèreté enthousiasmante, sans pathos. Un vrai regard d'enfant.

    Le film sort demain, 22 août! Courez-y!

    Enjoy!

     

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  • Constat terrible

    Quand tu te rends compte dans un bal, vers 3h30 que tout le monde connais par coeur les paroles des Lacs du Connemarra... Même toi!

    Enjoy!

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  • Pluie

    Qu'est-ce que tu fais dans une île un jour de pluie?
    Tu regardes un film. Sur ordi. Un bon divx, tranquille. Le Discours d'un roi, par exemple. L'humidité ajoute une touche britannique à l'ambiance.
    Tu écoutes Iggy chanter La Javanaise.
    Tu lis Donald Westlake, le bien nommé "Dégats des eaux".
    Tu bois des cafés, car il est, pour l'apéro, trop tôt.
    Tu te couches tôt. Mais tu ne trouves pas le sommeil, parce que tu n'as rien fait de physique en extérieur...
    Voila, quoi.

    Enjoy!

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