Les geeks se sont jetés sur Chrome, le navigateur by Google. Impressions une semaine après installation et utilisation...
Premier contact après téléchargement et installation... Oooops, comment ça marche ce truc? Installation faite en milieu de journée, en pleine reprise des activités... Pas la lucidité pour se pencher sur une nouveauté. La nuit portera conseil...
Lendemain matin, ouverture de la chose... Un peu comme au matin de Noël. On déballe les cadeaux, l'esprit ouvert et frais, réceptif à la nouveauté et aux surprises... Premier pas, le paramétrage. Importation des signets et mots de passe stockés sur Firefox. Fingers in the nose!!!
On tape une url dans la barre de navigation. Classique. Puis on tape un mot, sans le sempiternel www... Et là révélation. Saint Paul sur le chemin de Damas, la chute de cheval en moins... Le truc fait à la fois barre de navigation ET fenêtre de recherche... Plus besoin d'aller sur Google, ou bien d'installer la Google Toolbar. Wow! Le double effet Kisscool!
Prise en main facile. Ouverture d'un nouvel onglet. L'historique de navigation apparait sur icelui. Avec des visuels. Façon Exalead. Pas mal. Ca meuble l'espace, en plus. La nature ayant horreur du vide.
Quelques bugs, tout de même. Certains liens ne s'ouvrent pas, sur Facebook, par exemple.
Globalement, impression très positive. Chrome est un outil fluide, efficace, à l'ergonomie bien pensée.
Téléchargement icitte.
Enjoy!
Dernière semaine avant changement d'activité... Derniers pas dans le média presse en tant qu'acteur de son écosystème. Lundi prochain, je ne serai plus qu'un simple lecteur.
un marché publicitaire en pleine recomposition. Les marques sont à la recherche de solutions de communication innovantes, impactantes, efficaces... Affaire à suivre... D'autant plus que les consoles sont aujourd'hui reliées à internet... Le bénéfice-utilisateur est évident. Jouer en réseau, en mode multi-joueurs. A partir du moment, où la console est connectée... Il est possible de délivrer des messages publicitaires intégrés au coeur même du jeu. Au sein des univers... Vous voyez le topo?
Changer de métier, ou du moins donner une orientation différente à son parcours professionnel implique des changements... L'un d'eux, et non des moindres est le voyage. Depuis un peu plus d'une dizaine d'années, je suis allé une quinzaine de fois au Japon. Avec chaque fois autant de plaisir, tout en sachant que ma quête de compréhension d'un pays qui combine hyper-modernité et traditions séculaires, serait forcément limitée par ma non-connaissance de la langue (ce n'est pas faute d'avoir essayé!!!)... Professionnellement parlant, mon métier m'a donné la chance de combiner pratique professionnelle et plaisir de la découverte de lieux et de cultures différentes. Mais pour un tour d'Asie par an (Tokyo-Seoul-Taipei-Hong Kong-Singapour-Kuala Lumpur), ou un tour des Etats-Unis (San Francisco-Seattle-Chicago-New York, avec en option LA ou Boston), combien de Paris-Genève, Bruxelles ou Milan... Entre le vol long courrier, où le voyage garde son sens, son mystère, son excitation entre odeur du kérozène et bulles de champagne, et le moyen courrier, aussi excitant qu'un Alesia-Chatelet sur la ligne 4... quel contraste! Disons, pour faire court qu'on se lasse plus de la récurrence des réveils à 4h45, du taxi à 5h30 pour arriver à Roissy 2F à 6h15, et embarquer sur le vol de 6h55... Sans parler de l'accroissement des mesures de sécurité, contrôles, palpations, scans... sans oublier l'inévitable surbooking... Il ya encore 3 ans, le simple fait de risque de perdre mon statut Fréquence Plus Rouge (devenu Flying Blue Gold), plongeait le voyageur d'affaires dans une grosse déprime!!! Aujourd'hui, restrictions budgétaires obligent, le billet d'avion est une denrée chère, faute d'être rare, et la business class n'est plus une évidence dans les entreprises... Vient le temps de l'indifférence...