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james chance

  • Renaissance du Marquis

    Marquis de Sade. Un retour flamboyant, une reformation inespérée après une trentaine d'années de silence. Une tournée qui permettait de constater que la flamme ranimée ne s'était pas éteinte. La perspective enthousiasmante d'un 3ème album. Et le choc brutal un sale jour de septembre 2019. Et l'interrogation : l'histoire allait-elle s'arrêter là? 

    Attente. 

    Et cette nouvelle qui tombe hier. Marquis de Sade n'est plus. Ne pouvait plus être, sans Philippe Pascal. 

    Marquis est né. 

    3 membres historiques, Frank Darcel, Eric Morinière, Thierry Alexandre. Et un petit nouveau, un jeune chanteur flamand, Simon Mahieu. Sans oublier un casting de choix et de haute volée pour bâtir un projet qui tienne la route, les Rennais, Christian Dargelos, Sergeï Papail, l'incontournable Daniel Paboeuf, Xavier Géronimi. Et les New Yorkais, James Chance, Ivan Julien, et Richard Lloyd. 

    Il ne reste plus qu'à attendre septembre pour le premier titre et janvier 2021pour l'album.

    Affaire à suivre! On en reparle dès que le financement du projet est lancé sur KissKissbankBank.

    Crédit photo ©️ Ray Flex

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  • Republik, Ich bin schmutzig

    Des guitares sombres, un texte en allemand, des notes de sax, dissonantes. Je fouille ma mémoire. Un groupe breton, une esthétique noir et blanc. Les jeunes gens modernes sont de retour... Et ils aiment toujours leurs mamans, ajouterait le lecteur d'Actuel. Le divin marquis rennais serait-il de retour? Ça serait trop simple et réducteur de ne vivre que sur la nostalgie des 80s. Republik est un groupe de son temps, totalement ancré dans le siècle.

    Mais quand Frank Darcel sur l'excellent album de Republik, Elements, fait appel par petites touches, à la fine fleur de la new wave newyorkaise, Tina Weymouth par-ci, James Chance par-là, on jubile. Les éternels jeunes gens modernes sont chics. 

    "Ich bin schmutzig" chante Republik. Darcel fronce le sourcil, l'air grave. L'époque est sinistre. Sale. Autant s'y faire. Le son du sax de James Chance transperce l'espace. Finie la mollesse, fini le confort sonore, la soupe émolliente qu'on nous sert en tous lieux. Il est temps de se réveiller.

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