Entendue pour la première fois chez Bernard Lenoir, il y a des siècles, cette version du tube de la classieuse Françoise Hardy, une face B de 45T du début des années 80: Tous les garçons... par Eurythmics.

Pure merveille.

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Sacré Rod the Mod. Rod Stewart, le tombeur des années 70 finissantes. Increvable bête de scène à la crédibilité rock'n'roll ultra-limite, mais aux cordes vocales passées au papier de verre et affinées au whisky. Les Faces, le foot, Ron Wood le vieux pote, Jeff Beck... Le gars Rod a un pedigree d'enfer! I don't want to talk about it. LA ballade qui vous fait dresser les poils. Enfin, à vous, je ne sais pas, mais à moi, toujours!

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kd lang est inclassable. Pop? Folk? Un peu de country? Constant Craving une vraie madeleine des années 90. Rien à écrire de particulier. Juste vous proposer de l'écouter, en ce matin orageux. Un morceau d'autant plus surprenant qu'il est inattendu dans l'album dont il est extrait, un album languide aux mélodies lentes, parfois introspectives. Il vient en clôture du CD, de façon improbable, comme si kd lang avait cherché à le cacher. Et pourtant.

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Joe Jackson traine depuis des années une réputation de chieur. Le type qui venant du rock et de la pop, finit par se prendre pour un compositeur de musique sérieuse, pond des symphonies, ne vend plus rien et finit par revenir aux basiques histoire de remettre un peu de beurre dans ses épinards... Au rayon "chieurs absolus", il faut aussi compter Keith Jarett et Lou Reed, mais ceci n'a rien à voir avec le sujet du jour. Joe Jackson, riche discographie aux sommets créatifs atteints dès la moitié des années 80. Extrait de son album Night and day, Steppin' Out, une perle qui me rappelle des nuits de prépa HEC penché sur la préparation de colles de maths.

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