Galouzeau de V. vs Nico S. Est-ce intéressant? Bof... L'Histoire jugera.
Pernaud de Téheffun et Nico S. Etait-ce intéressant? Bof... 32% de part d'audience... Imaginons Napoléon III s'exprimant sur la chaîne dans le journal du Baron Haussmann, Louis XIV dans celui de Mansard... L'Histoire ne mentionnera même pas un simple exercice de propagande démagogique...
iPad, je veux. Ca n'a pas l'air parfait. Apparemment, à peine plus qu'un gros iPhone. Mais on se fait à l'écran multipoint. Et la perspective de pouvoir accéder facilement à des contenus écrits, livres, journaux est séduisante. Comme par hasard, Amazon informait ses utilisateurs le lendemain, du fait que les contenus destinés au Kindle étaient aussi accessibles sur PC. L'iPad ringardise un peu le Kindle et son design peu sympathique. Et au passage les autres e-readers.
In the Air, de Jason Reitman avec George Clooney. Un constat, la crise économique et les déboires de l'économie américaine inspirent les cinéastes. In the Air raconte une tranche de vie, celle d'un homme dont le job est d'annoncer les mauvaises nouvelles aux salariés des entreprises en difficulté. A la place des hiérarchies, très lâches tout à coup quand il s'agit de pratiquer le downsizing à la hache... Vous êtes viré mon vieux. Larmes, crises de rage, dépression. Clooney, impitoyable avec son sourire "What else?". Un film sur les voyageurs d'affaire, qui tueraient pour garder les privilèges des programmes de fidélité des compagnies aériennes. Pour y avoir goûté pendant quelques années, je comprend cette sensation. Etre accueilli comme un VIP, ne jamais être ralenti par une file d'attente. Voir le regard d'envie de ceux qui n'ont pas la carte dorée. Qui ont moins de miles. Les miles... Ryan Bingham/George Clooney, dans In the Air tente d'atteindre 10 millions de miles (notons au passage que le film offre un catalogue magnifique de placement de produits, Hertz, Hilton, American Airlines...). Son seul but dans la vie. Je me rappelle la sensation de nudité, le jour où voyageant moins j'ai été dégradé de Flying Blue Gold en Silver...
R'n'B, Alicia Keys... En écoutant Jay Z, que j'apprécie depuis The Grey Album, le remix par Danger Mouse du Black Album du rappeur avec le White Album des Beatles, j'ai découvert Alicia Keys. Je ne suis pas fan de R'n'B, malgré les bombes atomiques des clips diffusés sur les chaînes musicales. Longues jambes fuselées, glamour à souhait. Les Rihanna, Beyonce, etc... Pas fan, donc. Et pourtant, je ne sais pourquoi, j'ai écouté de bout en bout le dernier album d'Alicia Keys, et j'ai eu le faiblesse d'y prendre un certain plaisir. Allez comprendre... L'Empire State of Mind, peut-être..
Le Livre... Après le Dubuc's blog, le Dubuc's Book. Objectif N°1 de la semaine: finir la rédaction du premier jet. Ca cause de personal branding. L'éditeur attend la livraison du manuscrit pour la fin du mois de février. Affaire à suivre. Il faudra enrichir, réécrire, couper, rythmer, enrichir, modifier, encadrer... Bref, du taf' avant de voir sur les rayonnages de votre libraire préféré le produit fini avec sa couverture pelliculée...
ROSE (Return On Social Experiment)... du gros client dans le pipeline... Affaire à suivre!!!
JD Salinger est mort. Et l'histoire d'Holden Caulfield ne m'a jamais vraiment ému ni touché. Non vraiment L'Attrape-Coeur (The Catcher in the Rye) m'a laissé froid. Histoire de contexte peut-être. Dans l'après-guerre, la découverte de la liberté par un adolescent pouvait apporter une bouffée d'air pur et d'aventure à ses pairs coincés par le système. So what? Salinger en s'effaçant du monde a gardé son innocence. C'est sa force. Il a créé son propre mythe. Que ce serait-il passé s'il avait pondu son bouquin annuel et fait la tournée des Barnes & Nobles pour des séquences de dédicaces? Chaque nouvel opus aurait été jugé à l'aune du précédent. L'Attrape-Coeur aurait peut-être disparu dans les tréfonds de la mémoire... Qui sait?
Enjoy!