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pete doherty

  • Dans mon iPod ce weekend... Marie-Flore

    Les filles qui chantent, c'est cool. Postulat de base. Quand la fille s'appelle Marie-Flore, on se dit que ça peut être cool. Mais on n'a pas écouté. On a juste vu la photo. Mais comme disait l'autre "Don't judge a book by the cover"... Donc, on va au-delà de la pochette du single. Certes, on a lu quelque part que la donzelle a trainé avec Pete Doherty. Gage de crédibilité? Personnellement, le Doherty avec sa guitare sèche qui se produit à Paris en permanence ne me séduit guère. Sauf quand il fait des reprises des Libertines. Mais revenons à Marie-Flore. Un single "By the dozen" en téléchargement ici et en écoute ci-dessous. C'est frais, sympa.  A suivre, en attendant plus!

    Enjoy!

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  • Bloc-note express N°184

    "Les Miscellanées d'Internet" sont en voie d'achèvement. Fusion des manuscrits rédigés chacun de notre côté, Nico Prat et moi, classement des miscellannées, liste des remerciements... De son côté, l'éditeur nous a soumis quelques projets de couvertures qui donnent tout à coup une dimension extêmement concrète au projet! Excitation!!!

    Finalisation d'un article pour une revue à paraître en décembre, sur le client 2.0. Existe-t-il d'ailleurs, hein? Affaire à suivre.

    Côté lectures, commencement du pavé de Jonathan Franzen, Freedom. J'avais adoré Les Corrections, parues il y a plusieurs années de cela, son premier bouquin. Un monument. Freedom, dont mon libraire, qui a parfois la dent dure, m'a dit le plus grand bien, est encensé par la critique. Méfiance, méfiance. Don't believe the Hype! est mon mantra. Le livre se lit facilement, on s'attache aux personnages, à cette famille américaine quelque peu dysfonctionnelle, les Berglund. Une version intello de Desperate Housewives, des tranches de vie suburbaine, de l'Americana. Un régal.

    Festival We Love Green, dimanche soir, pour les concerts de Metronomy et de Pete Doherty. C'est beau l'écologie et le développement durable et le green, et tout et tout. Mais, la caractéristique de l'éclairage basse consommation est qu'on ne voit pas grand chose. Je ne suis pas si green que ça... D'ailleurs, paradoxe, je m'étais rendu à Bagatelle en voiture... Pas en Hummer, certes... Et la musique? Metronomy, pas mal. Pete Doherty, seul avec sa guitare. Pas mal, même si son concert ne décolle que quand il chante ses tubes des Libertines et de Babyshambles... (personnellement son album solo m'a gonflé, mais cela n'engage que moi... Haterz, lâchez vous! ;) )

    Voila... A part ça, ouverture de la page Facebook de Dubuc's Blog. Pas par mégalomanie (quoique), mais juste histoire de, enfin, voila, quoi...

    Enjoy!

     

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  • Babyshambles... alive and well!

    3b9e52cb5d675b58b51f3b5f435cb986.jpgA franchement parler, j'y allais avec un enthousiasme pondéré d'une pointe de scepticisme. Babyshambles. Un groupe auréolé d'une légende sulfureuse, écrasé par l'aura vénéneuse de son leader disjoncté, Pete Doherty. Capable du pire, connu pour ses addictions, ses condamnations, sa liaison fatale avec Kate Moss... Pete à la Une des tabloïds, de la presse people, au même titre qu'une Lindsay Lohan, une Britney Spears, ou une Amy Winehouse. Côté déglingue, la Wino bat actuellement les records de dégradation physique, la Britney ceux des fusibles les plus cramés... On en oublierait les frasques passées de Doherty. Et pourtant, si le pékin se repait de la déchance des célébrités, en espérant toujours une vague réhabilitation, la combinaison artiste+jeunesse+auto-destruction fascine. L'attrait de l'abyme par procuration pour les uns, pas assez déjantés pour tenter l'expérience, trop conventionnels pour se mettre en danger... Ils peuvent alors fustiger l'affligeant spectacle d'une jeunesse occidentale à la dérive. Soyons zen, il ne s'agit que de sexe de drogue et de rock'n'roll. Le triptyque sacré chanté par Ian Dury... Sex and drugs and rock'n'roll are all my brain and body need... On en oublie parfois, dans l'hystérie people, qu'il y a parfois du talent et de réelles qualités de composition... Combien, dans la masse de ceux qui connaissent de nom Pete Doherty savent que derrière la façade de l'ex de Kate Moss se cache un songwriter doué? Un de ces surdoués qui certes s'est brûlé les ailes, mais en l'espace de 4 albums (deux sous l'étiquette Libertines, deux sous la marque Babyshambles) a fait la démonstration d'un style, d'une patte et d'une grande cohérence artistique.

    Doherty fait parfois penser à Shane MacGowan, leader des Pogues. En mieux, physiquement parlant. De MacGowan, on ne retenait que l'alcolo pitoyable parfois incapable de tenir debout sur scène, en oubliant ses fines compositions, son écriture qui donna un vrai bain de jouvence à la musique traditionnelle irlandaise, dopée à l'énergie punk la plus brute!

    91d862f201d6bf1f7ef394d477b785aa.jpg21h15, lundi soir. Zenith plongé dans le noir total. Eclate une Marseillaise tonitruante bramée par la sarkophile Mireille Matthieu. Lumière. Pete a troqué son galurin pour le haut de forme. Il est ceint d'une écharpe tricolore. Clope au bec. Dans une salle devenue non-fumeur... Législation et "politiquement correct" exigent. La rébellion en 2008, c'est d'allumer une clope... A quoi bon se fracasser au crack? Doherty jette sa clope, entame le set. Pour une heure et quart de pur bonheur. Pas un temps mort. Il accorde sa guitare entre chaque morceaux, un peu obessionnel. Il allume une clope de plus. Boit un coup. Energie pure. Ballades. Un concert un peu foutraque, une pop très mélodique. On pense aux Clash, aux Kinks, à cette grande tradition créatrice que seule la perfide Albion, par on ne sait quel mystère, a pu laisser éclore... Des groupes d'exception, un tous les dix-quinze ans. Des excentriques, surdoués. Doherty, grand escogriffe, devenu l'inspirateur d'une vraie génération de groupes. Ecoutez les BB Brunes. Un décalque français. Copier/coller. Doherty s'arrête. Entame un dialogue avec le public. Fort accent. On ne comprend pas grand chose. On s'en fout. Il s'en fout. Un fan lui jette une banderole. Il la déplie. Pete Forever. Un gros coeur rouge. Il se marre et stocke l'étoffe à côté de la batterie... Plus tard, il plonge dans la foule. Est remonté sur scène, par les roadies qui veillent. A perdu ses bretelles? Le bassiste lui tend une ceinture... Pete ne perdra ni sa dignité, ni son froc... Enfin, le slim... ça ne tombe pas... lol Un fan saute sur la scène, l'enlace, tente de lui prendre son couvre-chef. La sécurité l'évacue, fermement. Pete ne se démonte pas.  Toujours ce rock mélodique, cette guitare accordée très haut. La fosse est animée de vagues. Les téléphones, tenus à bout de bras, ont remplacé les briquets pendant les ballades. Le public est conquis à 300%. Un dernier Fuck Forever, un hymne. Fin du concert. Il est 22h30.

    En coulisse, des jeunots, The Dodoz, ayant  assuré la première partie, assistent, frénétiques  à tout le set des Babyshambles. The Dodoz. Des toulousains talentueux et créatifs! Vocalement, une influence notable, Siouxsie. On a connu pire! Même  type de voix, mêmes psalmodies. Une énergie alliant guitares saturées et sons volontairement discordants.  Sur fond de rythmique plombée. Une recherche du son nouveau, d'un ton, d'une personnalité. Pas un simple clone de groupe anglo-saxon. Une énergie très punk. Un premier album très attendu. Un groupe à découvrir, icitte.

    En cadeau, trouvé sur Dailymotion, l'ouverture du concert!!!!

    Enjoy!

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  • Babyshambles... Live!!!

    C'était hier soir au Zénith... The Babyshambles. Couché trop tard... Compte-rendu critique pour plus tard... En attendant, une petite vidéo.... Un apéritif, addictif comme une pipe de crack. Filmé à Glastonbury en 2005... et dégoté sur Youtube...

    Enjoy!

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