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patti smith

  • Eté de festivals (épisode 2): Route du Rock 2018

    route du rock,saint malo,phoenix,etienne daho,protomartyr,charlotte gainsbourg,serge gainsbourg,limiñanas,patti smith,them,anton newcombe,black angels,josh t pearson,laurent voulzy,ariel pink,shame,nils frahmQuelques semaines plus tard (cf. épisode précédent) on remet ça avec la Route du Rock, 5ème édition consécutive, on ne s’en lasse pas. Le Fort Saint-Père, le combo galette-saucisse, le cidre. Et la chenille que malgré mes efforts désespérés, je n’ai jamais faite, ayant toujours fini par décrocher au moment où l’electro prend le contrôle du site.

    Premier soir, soleil, contrôles anti-drogue à l’entrée, la maréchaussée, dotée d’un chien-renifleur de weed, traque les stupéfiants dans la bonne humeur. Le temps de la pose du bracelet-sésame, de la vérification du Cashless et du contenu des sacs, arrivée devant la scène du Fort pour le concert des excellents Limiñanas. Ça envoie, Marie et Lionel en grande forme, 7 personnes sur scène, reprise musclée du G.L.O.R.I.A. de Them, et Anton Newcombe en cerise sur le gâteau. Rien à dire sur Grizzly Bear, pop plutôt ennuyeuse. Shame séduisants, c’est punk, c’est pêchu. Parfait accompagné d’une bière après une bonne dose de ribs/frites. La nuit tombe, le frais aussi.

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  • Bloc-note express N°163

    fukushima, japon, apocalypse, libye, patti smith, bloc note expressIl est des semaines où regarder la télévision devient calvaire. L'attente de l'apocalypse nucléaire s'est avérée assez plombante pour le moral. Caméras braquées sur les réacteurs de Fukushima. Liste des tentatives avortées de refroidissement des coeurs. Experts expliquant les scénarii les plus extrêmes. Dieu merci, il faisait doux en début de semaine, l'apocalypse promise est plus agréable à envisager quand il fait beau. Estocade finale donnée par les newsmagazines qui se sont rués sur la même photo de couverture, cette jeune fille terrifiée au milieu des ruines, enroulée dans sa couverture beige. Le truc empathique. Loin de l'image traditionnelle du Japon triomphant. Elle est belle l'apocalypse, surtout chez les autres...

    Réchauffement en fin de semaine, avec le début des opérations en Libye. Taxi pour Tobrouk, le retour. On en oublie le Japon, l'armaggedon nucléaire attendra. Et puis, un bon petit placement de produits de la maison Dassault dans les reportages, c'est bon pour le business... Et un benchmark en direct permettra peut être de décider les Brésiliens! Tudo Bom! Cela étant, Mouammar avait poussé le bouchon un peu loin, non? 

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    A part ça, la semaine passée fut une semaine de rush. Clients, prospects, étudiants. Pitch, préz, cours. Du Nord au Sud, d'Est en Ouest. Mr Dubuc pacours la région parisienne sur son destrier. Sarcelles, Villepinte, très banlieue nord, ces temps-ci. 

    Lectures en cours: Just Kids, de Patti Smith. Plus qu'une simple autobiographie, un vrai livre. Dame Patti a un vrai talent d'écriture. Et son récit est sensible et touchant.

    Lecture à venir pour vous, écriture pour moi et mon comparse Nico Prat: nous nous sommes réparti le taf', plan de travail prêt. Contrat signé. Hey Ho, let's Go! 

    Enjoy!

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  • Hier soir... Patti Smith

     

    Hier soir, Fondation Cartier. L'expo Patti Smith... Attendue, survendue par les médias. Depuis plusieurs jours, le microcosme intello parisien bruisse. Patti Smith is back in town. L'adoratrice d'Arthur Rimbaud, poétesse, égérie, icône. L'Artiste avec un grand A. Ayant récité des poèmes avec Allen Ginsberg, frayé avec Robert Mapplethorpe. Adulée, respectée. Intégrité, sobriété.
     
     
    Hier soir, Cartier. Au sous-sol. Dans une semi-pénombre. Des alignements de photos polaroïds en noir & blanc. Des dessins, abstraits. Quelques objets du culte. Arthur Rimbaud, Jean Genet. Livres jaunis. Quelques cartes postales. Une enveloppe témoignant que Patti a résidé rue Cmpagne-Première dans le 14ème arrondissement de Paris, à deux pas du lieu où s'est installée la Fondation Cartier. Une note d'hôtel, souvenir d'un séjour à Charleville-Mézières, sur les traces de Rimbaud. Des cahiers aux pages noircies de poèmes.
     
    Les photos sont sobres. Gros plans. Natures mortes, statues, monuments. Minérales. Peu de personnages. Une photo de Flea, bassiste des Red Hot Chili Pepper.
     
    Comme souvent chez Cartier, la scénographie de l'exposition est déroutante. Au rez de chaussée, deux créations monumentales et métalliques d'Andrea Branzi, plasticien. Travail quasi-architectural. L'ambiance sonore: des psalmodies de Patti Smith. Voix grave. Envoutante. Comme souvent chez Cartier, l'impression de vide prédomine. Les volumes sont vastes. Les créations presques modestes. Pas d'exubérance.
     
    A part ça... J'ai parlé à Patti Smith. Et en pur fan, j'ai tendu mon programme, un stylo.
     

     

    Enjoy!

     

     
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  • Ce soir... Patti Smith

    Aujourd'hui, rien. Ce soir, vernissage de l'expo que la Fondation Cartier consacre à Patti Smith, icône rock absolue. En attendant les images... le son. Ghost Dance. Envoutante mélopée.
     
     



    Enjoy!

     

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