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guns'n'roses

  • Interview Express: Redshift

    Le rock, c'est la combinaison d'un son et d'une attitude. Le hard rock, c'est pareil, avec le volume sur 11. Redshift a le son, le look et l'attitude. Avec l'humour (cf. les réponses dans l'interview express ci-dessous) et une vénération pour les Guns, Aerosmith et Led Zeppelin. Le groupe prépare la sortie de son second album. Avec du très gros son, et un sens de la mélodie, comme on peut l'apprécier dans le premier single, Asteroids, sorti en janvier dernier. Du hard rock "à l'ancienne", le genre de musique qui sent la sueur, la bière, le moshpit. Puissant et pas bourrin. On attend la suite avec impatience!

    Interview!!

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  • Je me souviens du rock (30 ans d'addiction) - N°7

    Je me souviens avoir lu un article du Monde en 1999 à propos de Napster. Je me souviens avoir immédiatement été sur le site et avoir commencé, du bureau parce que je n'avais pas l'adsl chez moi, à télécharger des fichiers mp3, de façon compulsive en cherchant tout ce qui me passsait par la tête.

    Je me souviens avoir retrouvé très vite It's the end of the World de REM. Je me souviens m'être reconstitué un fond de discothèque en mp3 à base de fichiers récupérés sur Napster. je me souviens avoir téléchargé Mexican Radio de Wall of Voodoo...

    Je me souviens avoir cherché pendant plusieurs années l'unique album de Taxi Girl, Sepukku. Et l'avoir trouvé finalement avec Soulseek, en P2P. Je me souviens avoir vibré à nouveau sur Les Armées de la Nuit.

    Je me souviens de One in A Million des Guns'n'Roses et des ses paroles homophobes et racistes.

    Je me souviens des premières fois où je découvrais Megadeth sur une chaîne musicale. Je me souviens avoir eu du mal à comprendre ce type de speed metal aux paroles hurlées d'une voix sépulcrale.

    Je me souviens d'un clip de Craddle of Filth qui dégageait une atmosphère malsaine.

    Je me souviens des parodies de Weird Al Jankovic qui parodiait Michael Jackson (Eat it), Madonna (Like a Surgeon) ou reprenait Green Day façon polka... Je me souviens qu'il avait une tête de geek.

    Je me souviens de Jo Lemaire et Flouze.

    Je me souviens de Gogol 1er et La Horde qui chantaient de jolies choses délicates comme J'encule ou Adolf, mon Amour... Dans cette dernière chaanson, les choeurs psalmodiaient Sieg Heil sur fond d'obscénités... Très chic...

    Je me souviens des lecteurs des magazines de rock qui s'insultaient par courrier des lecteurs interposé pour des querelles de chapelles.

    Je me souviens d'Erudit Rock, la rubrique intello de Rock & Folk où Klaus Blasquiz (accessoirement membre de Magma) publiait des historiques exhaustifs de tous les groupes, y compris les plus obscurs. Je me souviens avoir compris que le rock pouvait AUSSI être un truc sérieux et encyclopédique. Je me souviens en avoir été rassuré!!!

    Je me souviens ne jamais avoir compris l'engouement pour Oasis dont les cd manquaient de vraies mélodies.

    Je me souviens que Chrissie Hynde des Pretenders avait vécu avec Ray Davies des Kinks avant de se marier avec Jim Kerr des Simple Minds.

    Je me souviens m'être abonné à Rolling Stone en 1985 au tarif étudiant de l'ofup. Je me souviens avoir dû être confronté à l'incompréhension de mon père pour qui le rock était une futilité.

    Je me souviens y avoir découvert Miami Vice et les rockstars qui jouaient dans les premières saisons de la série, Miles Davis par exemple.

    Je me souviens avoir été étonné de voir Frank Zappa et Dee Snyder (Twisted Sisters) en costar allant plaider devant le Sénat américain la cause du rock, alors que les associations parentales et bien pensantes étaient en croisade contre les messages véhiculés par la musique rock.

    Je me souviens que ladite croisade était menée par Tipper Gore, mère de famille et accessoirement épouse d'un jeune politicien américain plein d'avenir, Al Gore!!!

    Je me souviens des polémiques à propos de paroles d'Ozzy Osbourne incitant soit-disant au suicide.

    Je me souviens qu'Ozzy décapitait des chauves-souris avec ses dents, sur scène...

    Je me souviens avoir écouté une cassette d'un prêcheur canadien en croisade contre le rock et ses messages sataniques... Il y disait entre autres qu'AC/DC signifiait Anti Christ/Death to Christ... Il y était beaucoup question des disques qui si on les jouait à l'envers laissaient entendre clairement des messages du diable...

    Je me souviens des belles pochettes des labels Factory et 4AD...

    Je me souviens de Dead Can Dance, Cocteau Twins et This Mortal Coil...

    Je me souviens avoir pris une auto-stoppeuse sur le chemin de mon bureau et de l'avoir entendue dire que ce que j'écoutais (This Mortal Coil) ressemblait à Barclay James Harvest... Je me souviens avoir eu l'espace d'un instant l'envie de la débarquer manu-militari...

    Je me souviens avoir bloqué sur Cat Stevens quand son alter-ego, Yusuf Islam eût soutenu la fatwa contre Salman Rushdie. Je me souviens avoir revu mon jugement il y a peu de temps, lors de son retour.

    Enjoy!

     

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  • Bloc-note express N°50

    50ème Bloc-note express du lundi!!

    the rose.jpgPour commencer, retour sur Rock en Seine... Inutile de gloser sur la défection d'Amy Winehouse... Et si on revoyait The Rose, le film de Mark Rydell... La déchéance d'une rock star, alcolo-dépressive-junkie... La compassion du public pour la choucroutée-tatouée anglaise commence à se fissurer... Une question au passage... Amy Winehouse, on y va pour la musique ou pour le plaisir malsain de la voir se vautrer sur scène? L'exposition publique de la déchéance est probablement devenue l'une des pierres angulaires de la société du spectacle...

    raconteurs.jpgRock en Seine, encore... Prestation hénaurme des Raconteurs. Gros son. Grosses guitares streets.jpgsaturées à l'extrême. Coup de chapeau à The Streets, Mike Skinner et son groupe pour avoir sû conquérir un public venu pour Miss Crakhouse... Bain de foule final spectaculaire! Gros son! Hip hop à l'anglaise, mêlé à du R'N'B, pas ma tasse de thé en temps normal. Rythmique plombée, beats façon pluie d'enclumes... Du lourd! Pas de frustration!

    axlrose.jpgA part ça... parlons de Guns'n'Roses... Alors que la date de sortie de Chinese Democracy, la nouvel album d'un combo dont ne subsiste de la formation originale que le psychopathe-chanteur, Axl Rose est nimbée d'un flou total, quelques morceaux traînent sur le web... A la première écoute... bonne impression et morceaux pas inintéressant de la part d'une franchise dont on n'attend objectivement plus rien... Une question au passage: comment l'ensemble sera-t-il ficelé? Les pièces du puzzle sont hétérogènes. Axl chante toujours comme le goret qui vient de réaliser que l'égorgement est proche... Hard rock, grosses guitares, claviers, machines... Y'a un peu de tout...

    gomorra.jpgCôté lectures d'été, Gomorra, de Roberto Saviano (Gallimard), une plongée hallucinée et hallucinante dans la crade winterkill.jpgréalité d'une Italie gangrenée par la Camorra. Le Parfum d'Adam, de Jean-Christophe Rufin (Folio), thriller à l'écriture fluide, découverte des thèses disjonctée de l'écologie radicale... Flippant. Winterkill, Détonations rapprochées, Sanglants trophées, de CJ Box (Seuil), polar en plein coeur du Wyoming... Connelly nous a habitués au polar urbain. CJ Box nous fait visiter l'Amérique profonde, ses rednecks, ses milices d'extrême droite, ses porteurs de flingues et chasseurs de wapitis... Code 10, de Donald Harstad (Seuil), toujours du polar américain... en plein plouc-land. Prenant. Quelle Famille! de Tom Sharpe (10:18), la quintessence de l'humour anglais. Féroce!

    Côté consommation de médias... Bilan personnel morne pour la presse... Achat de Libé, deux fois en un mois. Achat de Voici, plus régulièrement... Lecture très régulière des sites du Monde, du Figaro, de Libé, de 20 Minutes, sur l'écran de l'iPhone. Chacun ayant travaillé son ergonomie de façon a être d'une utilisabilité maximale.

    Voila pour l'essentiel...

    Enjoy!

    Catégories : Bloc-note, Musiques, Pop culture Lien permanent
  • Dans mon iPod ce weekend...

    Comme quoi, les promesses sont faites pour ne pas être tenues... lol

    On se croirait en politique... Je me retire de la vie publique, tiens... Je file à à l'Ile de Ré, au Québec... Je serai le Président du pouvoir d'achat... lol

    J'arrête le blog, comme le dit l'excellent Maurice Chevalier Hervé Resse... J'arrête ma rubrique dans mon iPod... lol

    J'ai toujours mon iPod, et mon iPhone, et plein d'iTrucs à écouter. Et The Rhythm qui est au final une invitation à la découverte de nouveaux horizons musicaux... Alors arrêter... Enfin, au risque de la schizophrénie (tout de suite les grands mots...) dans mon iPod continue... plus rock, moins dance, moins funk, moins salsa, moins world... 

    Voila c'est dit. Passons au choses sérieuses. 

    Dans mon iPod ce weekend... Guns'N'Roses... La vraie escroquerie du rock'n'roll. Un combo qui avait tout pour réussir. Un chanteur psychopathe, des guitar heroes, alliant talent et attitude... La capacité à provoquer, produire des médlodies accrocheuses, passer du rock le plus brut à la ballade la plus improbable. Ego, poudre, alcool, fric, baston et top models... L'équation presque haituelle qui crame un combo en un temps record. G'N'R a rejoint le cimetière des illusions perdues. 

    Retour sur une controverse... One in a Million. Lyrics considérés comm un tantinet racistes et homophobes...  Premier degré ou complainte  d'un petit blanc white trash paumé? Pure provocation? Mystère du rock'n'roll...

     




    Enjoy!

     

     

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