Le chroniqueur est épuisé. Les jambes tétanisées. Car s'il faut retenir une chose de trois jours de festival, c'est la marche à pieds. On marche pour arriver sur place. On marche dans l'enceinte du festival, entre les scènes. On marche pour rentrer chez soi, jusqu'aux arrêts de bus ou à la station de métro. Marcher. Des kilomètres. Dans la poussière.
Autre souvenir immédiat de l'édition 2009, la poussière, celle qui jonche le champs. Celle que soulèvent les milliers de fans qui pogotent pendant la performance d'Offspring... Poussière avalée par seaux entiers...