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L'Amérique de la Grande Dépression. Woody Guthrie. Et sa guitare portant la mention "this machine kills fascists"... This Land Is Your Land. L'Amérique hobo, blue collar s'affirme. On n'est pas chez Norman Rockwell et ses sages chromos. On est dans la baston et les réglements de compte à la batte de baseball.
Double dose de Cowboys Fringants... Un trip au Québec... C'est l'été, on en profite, y'a pas d'neige. L'orignal a le pelage luisant, la truffe humide et l'oeil vif... Une pt'ite toune d'automne... et des étoiles filantes... Versant calme des Cowboys...
Enjoy!
On a pu y croire. On a pu rêver d'idéaux révolutionnaires. On a pu avoir une vision romantique de la révolution, de la guerilla. Sur fond de photos d'Alberto Korda. On a pu avoir envie de tenter d'y croire encore. Malgré tout. On est revenu de tout. Restent quelques souvenirs, dont l'hymne de Carlos Puebla, Hasta Siempre. Buena Vista Social Club.
Une gente dame m'a laissé entendre il y a peu que je n'avais pas été gentil avec la mémoire de Michael Jackson... Elle évoquait, hilare, ses 12 ans et la première écoute concomitante de Thriller. Dont acte. Je comprends. Mais persiste et signe. D'autant plus qu'à la minute où j'écris ces lignes, j'écoute un Best of d'Isaac Hayes... Enorme. Gros son, basses moelleuses, cordes, cuivres et voix grave caressante... Raaaah! Extase.
Expédions les dossiers un à un...