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En fouillant ma discothèque, je suis tombé sur ce morceau de Philippe Katerine résumant ma pensée politique du jour, et ma mauvaise humeur du matin... Le message s'adresse donc à droite comme à gauche. La campagne est terminée, enfin. ENFIN. Pas trop tôt! La perspective d'avoir un pays enfin gouverné. La perspective d'une activité économique qui reprend, enfin... Parce que franchement entre vacances de Printemps, RTT, ponts, élections... les investissements publicitaires dans les médias en général et dans la presse en particulier ont été mous du genou, comme on dit familièrement.
La quarantaine sonnée, je vous adresse, chers candidats, un message chanté! Vous ne m'avez séduits ni l'un, ni l'autre. J'irai quand même voter dimanche. Comme en 2002. Résigné. Parce que l'abstention n'est pas une option.
De vraies lignes de fracture. Deux visions du pays irréconciliables. Un débat de faible niveau qui donne envie de revoir en rediffusion les débats du passé, un peu comme on regarde de vieux matches de foot "vintage"...
Bref, le syrah était bon, les amis chaleureux, l'ennui latent, le vocabulaire pauvre, les formules maladroites, l'expression laborieuse. La prochaine fois, je regarde la Nouvelle Star.