D'abord une bonne nouvelle, The Rhythm reprend du service. Le Geek s'adonnant aujourd'hui aux jeux vidéo, le DJ relance la machine, le nez sur les platines, les commandes dans chaque main, la tête dans le cyberespace, à la recherche du son... Le site est accessible icitte. Nouveaux mixes, nouvelles playlists à venir!!!
Semaine Led Zeppelin avec la lecture de l'opus de François Bon, Rock'n'Roll, un portrait de Led Zep. Bon, littérature et rock'n'roll n'ont jamais fait bon ménage. François Bon n'a pas l'écriture rock. N'est pas Hunter Thompson ou Nick Kent qui veut. L'écriture coup de poing n'est pas la spécialité de celui qui a déjà commis la bio des Stones et celle de Bob Dylan. Un peu lourdingue et démonstratif par endroit. Relecture approximative du manuscript à d'autres (Glyn Jones ou Glyn Johns, hein? Faudrait savoir!...). Traductions improbables de textes et verbatims en anglais (Et oui, cher François - que je ne connais pas personnellement - cardboard box ne veut pas dire chateau de cartes mais boîte en carton... Ce qui en termes de comparaison est plus approprié pur définir un son de batterie... Livre riche et intéressant malgré ses défauts. Livre de fan, en tous cas.
Londres pendant trois jours... Réunions au siège européen de ma nouvelle boîte. Une entreprise d'origine américaine qui s'est doté d'un mode de fonctionnement d'entreprise globale. Excitant. Trois jours de training afin de bien appréhender les tenants et aboutissants du marché de la publicité in-game. Un seul mot d'ordre, la pub in-game c'est efficace, chaque impression délivrée dans les jeux en ligne a une valeur optimale car on s'adresse réellement à un utilisateur unique. Un joueur impliqué, engagé. Focalisé sur son jeu. Et considérant que la publicité, les marques intégrées dans l'univers 3D du jeu, sous formes de panneaux publicitaires, ou logos disséminés ça et là, contribuent au réalisme du jeu.
Et la crise financière? Le marché du divertissement reste solide malgré la tourmente. Panem et circenses. Du pain et des jeux. les sages Romains l'avaient compris il y a des siècles! L'entertainment est un solide palliatif!
Puisqu'on parle de Londres, séjour à l'hôtel Zetter... Et cette image, capturée sur un peignoir, ça vous évoque quoi? No comment! lol
Réécoute de Led Zeppelin, pour les raisons susmentionnées. Mais aussi, plongée (blague de mauvais goût... les initiés comprendront...) dans Leucocyte, dernier opus d'E.S.T. Quand le jazz le plus épuré rencontre l'électro. Déroutant et sublime.
Crise boursière... La bonne blague qui circule... Le financier qui confie à un commensal: "La crise financière actuelle, c'est pire que le divorce! j'ai perdu la moitié de ma fortune et j'ai toujours ma femme!" No comment!
A propos de la couverture de The Economist... Oh Fuck! C'est un hoax. Bien fait certes. Mais hoax quand même. Pas le style de la vénérable maison britannique, à l'humour dévastateur et si british!!! Je suis abonné à The Economist... Non pas que je le lise de A à Z toutes les semaines... Ce type de cover est assez improbable... Le F... word étant rarement utilisé aussi ouvertement ailleurs que dans les films de Scorsese...
Enjoy!
3ème semaine dans l'univers du jeu vidéo. Les progrès de l'imagerie 3D sont stupéfiants. On penserait presque à
Pour l'heure, travailler dans un secteur porteur, permet de se concentrer sur sa mission, sans se poser la question cruciale de l'avenir dudit secteur. Ca repose. Après 20 années de presse. Et quelques périodes de récession publicitaire, réparties au fil des ans... Et la montée en puissance du numérique depuis presque dix ans. Cela étant, la presse, pour la génération des quadra-quinqua, reste LE média noble. Riche. Sensuel. L'odeur de l'encre, du papier. La douceur du papier. Un éveil des sens que les pixels et bits ne remplaceront jamais. L'ordinateur, le smartphone, le e-reader sont des monstres froids de plastique et métal.
A part ça, le nouveau Manset, "Manitoba ne répond plus" est un régal. Même si il y a chez lui une forme de froideur. Comme chez tous ces artisans perfectionnistes. Beau, léché, son parfait. Le même sentiment que lorsqu'on écoute un album de Donald Fagen, la moitié de Steely Dan. On sent que chaque note, chaque accord, chaque piste ont été travaillés, retravaillés, triturés jusqu'à la perfection. Jusqu'à la désincarnation. Ne boudons pas notre plaisir tout de même!
Très. Résultat: une semaine sans écrire une ligne. Une semaine pour s'imprégner de la culture d'une nouvelle entreprise. En intégrer les enjeux. En comprendre le fonctionnement. Et commencer par le plus basique... Ne serait-ce que l'acquisition de l'ordinateur, outil de travail indispensable... Un joli Sony Vaio, ultra-léger. 4Go de RAM. Puissant... Car quand on travaille dans un domaine connexe à celui des jeux vidéos... Il faut pouvoir tester les produits... Avec "l'ordi qui va bien"... Blackberry fourni par le siège Europe, à franciser... Les bases sont posées... La feuille de route pour les prochaines semaines est prête, elle aussi.
Dernière semaine avant changement d'activité... Derniers pas dans le média presse en tant qu'acteur de son écosystème. Lundi prochain, je ne serai plus qu'un simple lecteur.
un marché publicitaire en pleine recomposition. Les marques sont à la recherche de solutions de communication innovantes, impactantes, efficaces... Affaire à suivre... D'autant plus que les consoles sont aujourd'hui reliées à internet... Le bénéfice-utilisateur est évident. Jouer en réseau, en mode multi-joueurs. A partir du moment, où la console est connectée... Il est possible de délivrer des messages publicitaires intégrés au coeur même du jeu. Au sein des univers... Vous voyez le topo?
Changer de métier, ou du moins donner une orientation différente à son parcours professionnel implique des changements... L'un d'eux, et non des moindres est le voyage. Depuis un peu plus d'une dizaine d'années, je suis allé une quinzaine de fois au Japon. Avec chaque fois autant de plaisir, tout en sachant que ma quête de compréhension d'un pays qui combine hyper-modernité et traditions séculaires, serait forcément limitée par ma non-connaissance de la langue (ce n'est pas faute d'avoir essayé!!!)... Professionnellement parlant, mon métier m'a donné la chance de combiner pratique professionnelle et plaisir de la découverte de lieux et de cultures différentes. Mais pour un tour d'Asie par an (Tokyo-Seoul-Taipei-Hong Kong-Singapour-Kuala Lumpur), ou un tour des Etats-Unis (San Francisco-Seattle-Chicago-New York, avec en option LA ou Boston), combien de Paris-Genève, Bruxelles ou Milan... Entre le vol long courrier, où le voyage garde son sens, son mystère, son excitation entre odeur du kérozène et bulles de champagne, et le moyen courrier, aussi excitant qu'un Alesia-Chatelet sur la ligne 4... quel contraste! Disons, pour faire court qu'on se lasse plus de la récurrence des réveils à 4h45, du taxi à 5h30 pour arriver à Roissy 2F à 6h15, et embarquer sur le vol de 6h55... Sans parler de l'accroissement des mesures de sécurité, contrôles, palpations, scans... sans oublier l'inévitable surbooking... Il ya encore 3 ans, le simple fait de risque de perdre mon statut Fréquence Plus Rouge (devenu Flying Blue Gold), plongeait le voyageur d'affaires dans une grosse déprime!!! Aujourd'hui, restrictions budgétaires obligent, le billet d'avion est une denrée chère, faute d'être rare, et la business class n'est plus une évidence dans les entreprises... Vient le temps de l'indifférence...