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fleet foxes

  • Playlist d'été de Mr Dubuc

    Enjoy!
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  • Bloc-note express N°180

    La première version de ce post était en cours de rédaction sur l'iPad, bien avancée, sur l'appli ad-hoc développée par Hautetfort. Tout va bien, nous sommes samedi matin, tôt, très tôt, trop tôt. L'inspiration est au rendez-vous. Comme un samedi matin. Après un vendredi après-midi passé à écrire des Miscellanées avec le camarade Nico Prat.

    Et l'iPad plante. Ou bien l'appli. Ou bien je ne sais quoi. Il n'y a pas eu de sauvegarde. Fail total.

    Nous sommes dimanche soir. Comment réécrire un billet, initialement venu spontanément? Pas de réécriture. Rien ne vient. Il faut reprendre à zéro. Raconter les hauts faits de la semaine passée, les rencontres marquantes, les réunions stratégiques, les choix, les envies. Mouais. Pourquoi pas. Revenir sur les choses lues, les films vus. Jouable. Simple. Parler de Google+. Pourquoi pas. Parler de Dukan qui repointe son nez. Tiens, voila un début...

    Donc Dukan. Protéines à donf'. Pour retrouver une ligne d'ascète, voire d'athlète. Ca commence par l'achat de la version 2011 de l'opus du bon Docteur. Ledit opus a grossi, lui. Gag! Achat de denrées diverses, toutes plus tentantes les unes que les autres à condition qu'elles ne contiennent ni lipides, ni glucides. Gargl. Ni sucres, ni graisses. Ni vin,  ni fromage, ni foie gras, ni pâte à tartiner au speculoos... Arrêt des trucs bons, pour faire court.

    Google+... Bon, résumons. Compte ouvert, exploration des fonctionnalités en cours, développement du réseau de contacts en cours. Il y a du monde, on ne comprend pas tout du premier coup, ça n'a pas l'air totalement finalisé. Affaire à suivre.

    Il y a eu le 14 juillet. J'ai assisté au défilé, sur les Champs Elysées. En tribune, pas loin de la Place de la Concorde. Bien installé. Au soleil. Le militaire à deux rangs devant moi n'a pas cessé de se lever pour saluer chaque drapeau qui passait. Et des drapeaux, on a vu passer... Je ne suis pas fana mili, mais la symbolique de l'événement est importante, n'en déplaise à certains. Qui plus est quand des types de moins de 30 ans se font trouer la peau au fin fond de l'Afghanistan. Pas de quoi partir en guerre contre l'anti-France ni décerner des certificats de "Bon Français" comme d'autres... Les chars, les hélicos, les avions, tagada tsoin tsoin. On n'est pas là pour se faire engueuler, on est là pour voir le défilé, comme chantait Boris Vian.

    Bande-son de la semaine: Fleet Foxes, Band of Horses, Easy All Stars, Bon Iver.

    Films vus: Harry Potter (on dirait du Star Wars, avec des baguettes de sorciers à la place des sabres laser), Switch (le films qui vous coupe toute vélléité d'échange d'appartement avec un inconnu)

    Choses lues: Le Grand Voyage de Jorge Semprun

    Enjoy!

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  • Fleet Foxes à Pleyel

    salle pleyel, fleet foxesIl faut un début à tout... Une première, une vraie: la première fois que j'entends le public d'un concert de musique de djeunz demander à ce que le son soit moins fort et fustiger en choeur l'ingénieur du son! Hallucinant. Est-ce le contexte un peu compassé de la Salle Pleyel? Belle salle s'il en est où je n'avais pas dû mettre les pieds depuis, euh, des années, j'y avas écouté à l'époque le Requiem de Verdi, c'est dire. L'acoustique est belle à Pleyel. On y est assis, comme dans les concerts classiques. Déjà qu'on ne fume plus dans les salles de concert, mais à Pleyel, on ose à peine boire une bière avant de pénétrer dans le temple du bon goût et de la musique classieuse...

    Pas de photos, pas de captations vidéos, on n'ose pas sortir son iPhone, sinon pour se géolocaliser sur Foursquare et Twitter, histoire d'annoncer à la terre entière que ce soir, c'est Fleet Foxes. Nous sommes le 4 juillet. Température extérieure proche de 30°.

    En première partie, Villagers, poulains du label Bella Union. Pop moelleuse, élégante. On craint un peu le pire quand le chanteur attaque seul en acoustique, avec sa seule guitare. Ca sent le folk chiant. N'ayons pas peur des mots. Folk chiant. Mais que nenni. Le groupe s'installe, les climats pop, à la Midlake, les mélodies, l'envoutement, on en redemande. Un set parfait, confortable. Une idée simple d'un bonheur mélodique.

    Fleet Foxes, en scène après un entr'acte de 20 minutes. Robin Peckhold et son gang de barbus en chemises de bucheron entrent en scène. On est près de Woodstock, dans les bois, avec Dylan et The Band. Nous sommes dans les années 70. Je déconne... Mais pas tant que ça. En réécoutant CSNY, Manassas, on entend les racines musicales de Fleet Foxes. Des harmonies vocales qui atteignent le sublime. Carrément. Sauf que... A Pleyel, le son est TROP FORT! Fleet Foxes, c'est la subtilité, la finesse. L'ingénieur du son a dû confondre les réglages avec ceux de Slayer... Le public brame. Il a raison. Réglages, mise à niveau, Robin Peckhold s'en excusera en fin de concert.

    Les deux albums sont mixés, le groupe démontre qu'il n'est pas qu'une créature de studio, que cette alchimie de voix est reproductible en live, sublimée, cosmique. Helplessness Blues, White Winter Hymnal, tout un répertoire en finesse. Grand moment. On en redemande!

    Enjoy!

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  • Bloc-note express N°178

    J'avais commencé à écrire une note intitulée "Post accidentum, animal triste". Parce que sous le choc, choc sournois post accident de scooter. Chair un peu meurtrie, mais surtout certitudes sur mon invulnérabilité bousculées de façon brutale. L'animal n'est finalement pas si triste, une fois les blessures superficielles cicatrisées, et l'activité redémarrée. Seule nouveauté, une nouvelle perception du temps. Le déplacement en deux roues, c'était la perspective d'être toujours à l'heure, de se défaire des contingences de l'embouteillage, du stationnement. De pouvoir arpenter les rues de Paname et de la banlieue, de rendez-vous en rendez-vous. Planning chargé au maximum.

    Revenir aux transports en commun, c'est s'adapter à une forme de dépendance. Horaires, impondérables, calcul d'itinéraires, optimisation... Et découverte que le chemin le plus simple d'un point à un autre n'est ni la ligne droite, ni le plus court...
    Je n'ai pas écrit cette note. Je choisis la bande-son de mon trajet. La semaine dernière, j'oscillais entre Easy All Stars, et leur incroyable version dub de Dark Side of the Moon (intitulée Dub Side of the Moon), Bon Iver et Gregg Allman. Dub, pop, blues.

    Que dire de la semaine passée, sinon qu'elle fut intense. Mais que dire sinon exprimer une forme de sérénité quand ma fille #2 est admise dans le lycée de son choix pour sa future entrée en 2nde, et que la #1 valide sa 1ère année de Droit. Cool, non? Fierté.

    Semaine intense, avec obtention, grâce à Mamzelle Cha, d'une invit' à rejoindre Google+. Beta test immédiatement lancé! A ce jour, je n'ai pas encore tout capté. La chose demande un peu de temps d'appropriation! Une affaire à suivre!

    Semaine avec de bonnes nouvelles côté business. Nouveaux clients, nouvelles missions. Ca fait du bien avant le break estival!

    Côté blog, la série estivale, après le Kitsch et les Madeleines, sera plus light cette année, mais néanmoins riche en révélations fondamentales. Ca se passera le jeudi. Uniquement le jeudi.

    Côté musique, semaine démarrant en subtilité avec le concert de Fleet Foxes ce soir à Pleyel. Et demain soir, John Mellencamp à l'Olympia. Des harmonies pop au rock tendance Americana.

    Brève de comptoir pour finir, ou café du commerce (équitable)... Un constat purement subjectif: quand je vois et j'entends Eva Joly, toutes mes tentations écologistes s'évanouissent. Je me sens l'envie de rouler en Hummer et de faire péter le score de mon bilan carbone. Les Khmers Verts sont effrayants! On se voit déjà envoyé dans les rizières bio pour déviationnisme, achevé, un sac bio dégradable sur le chef... Flippant!

    Enjoy!


    Envoyé de mon iPad

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