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  • Retour sur la Conférence Jeu Vidéo Marketing (CVJM) #gaming

    cjvm, IIM, snjv, gaming, advergame, gamification, social gaming

    Une journée passée à la Conférence Jeu Vidéo Marketing, vendredi dernier. Live tweet à retrouver avec le tag #CJVM (voir aussi le module ci-dessous). Je me suis replongé avec délectation dans l'univers du gaming et de l'advergaming. Deux ans après avoir quitté IGA Worldwide, je constate que si le marché s'est enrichi du social gaming, donnant au jeu l'audience critique et la flexibilité qui manquait aux offres basées sur les jeux de console, les réticences des annonceurs restent les mêmes.
    Le constat en fin de journée: il reste encore un gros travail d'évangélisation à faire pour convaincre les marques d'intégrer le jeu dans leurs stratégies de comunication.

    Quelques belles réussites à signaler dont celle de mes amis de Ouat Entertainment, et leur partenariat via Facebook avec La Redoute dans leur jeu social, Totally Spies Fashion Agents. Ouat lance dans quelques semaines Kompany, un jeu social sur le monde de l'entreprise, en partenariat avec l'Education Nationale. Prometteur, car moins segmentant que l'univers purement féminin des casual games. Et puis toute sensibilisation au monde de l'entreprise ne peut nuire! ;)

    A propos d'advergaming, de serious gaming ou de tout concept lié au jeu, l'une des conclusions de la conférence est qu'avant tout il faut qu'un jeu soit bon avant d'ambitionner d'en faire le support de messages à l'attention d'un public donné. Le gamer, qu'il soit hardcore ou occasionnel est devenu exigeant. Peu importe q'un jeu lui ait été offert par une marque, contienne des marques ou des objets sponsorisés, qu'il soit payant ou  non, ce qui compte est qu'il soit bon. On s'interrogera ur la notion de "bon jeu"... Mais la solution de l'équation est simple: c'est la combinaison d'un bon game design, d'un scénario qui tienne la route et d'un bon gameplay.

    Du côté des ARG (Alterned Reality Game), quelques beaux projets portés par Lexis Numérique, qui montrent  quel point la logique de gamification peut servir à accompagner soit la promotion d'une série, en l'occurence la nouvelle saison de Braquo, ou porter un projet ambitieux, Twelve, sur le même principe qu'In Memoriam, adapté aux réalités technologiques actuelles. Twelve, un projet qui va cumuler webgame + web série interactive et participative + appli mobile + série TV... Pour résumer, points forts des ARG: confusion réalité/fiction, immersion, dimension communautaire.

    Du côté des smartphones, les applis mobiles font l'unanimité. Elles ont un véritable levier au service de la notoriété des marques. Ludiques, s'appuyant sur la géolocalisation, permettant l'attribution de rewards, le shopping, elles sont porteuses des valeurs des marques. Attention toutefois à la qualité, à l'ergonomie, et si advergame il y a, à la qualité du design et au gameplay!

    Enjoy!

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  • Metallica + Lou Reed, premier extrait de Lulu, The View

    Premier morceau extrait de Lulu, la collaboration entre Lou Reed et Metallica... Plutôt talk over pour le vieux Lou. Enfin la voix de James Hetfield pour le refrain. Objet étrange auquel on a envie de goûter en s'imaginant que c'est peut être version nouvelle de Berlin? A voir.
    Premier extrait intéressant. Les haterz vont probablement se régaler aussi...


    Enjoy!

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  • Dans mon iPod ce weekend... Yuksek

    Comme une faiblesse avouée, j'aime bien Yuksek et son electro aux intonations pop. Sympathique, léger, la bande son idéale d'un weekend de début d'automne. Les mélodies sont accrocheuses, on se surprend à les fredonner à l'improviste. Yuksek réussit à surprendre là où Moby se contente de décliner une formule datant d'il y a dix ans. Il y a quelque chose de gentiment superficiel dans la musique de Yuksek. Le gars ne cherche pas à révolutionner le genre, sauver la planète ou que sais-je. Il fait son boulot, proprement. Living on the Edge of Time est un album attachant à consommer sans modération.


    Yuksek - On a Train


    Enjoy!

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  • Bloc-note express N°185

    Les Miscellanées d'Internet... Sensation du travail accompli, même s'il reste encore du travail de réécriture, des corrections, des vérifications, de la relecture. Les projets de couverture se succèdent, on y est presque. Déjà, voir son nom sur une couverture de livre, même non définitive, procure une certaine excitation... Début d'orgasme, presque. Enfin, n'exagérons pas non plus... Quoique... Pour le moment, Nico Prat, co-auteur des Miscellanées attaque sa saison de chroniques sur le Mouv'. Et Gilles Verlant, ci-devant directeur de collection chez Fetjaine se plonge dans la relecture du manuscrit des Miscellanées d'Internet. Affaire à suivre!

    Je ne parlerai pas de DSK, rien à dire. Le show était parfait, l'amende honorable. On passe à autre chose, maintenant. Il est temps, non?
    Je ne parlerai pas de Tsonga vs Nadal. Trop de Kinder Bueno tue le Jo.
    Je ne parlerai pas de basket. Je n'aime pas le basket.
    Je parlerai un peu de rugby, et rejoindrai mon ami Mossieur Resse qui fustige les commentateurs sportifs qui emploient à tout va le mot "compliqué" pour donner une impression de profondeur à leurs pseudo analyses. A chaque époque son mot-valise.
    Je ne parlerai pas de la crise financière, ni de Sarkoland. C'est compliqué... D'autant plus que le seul argument qu'ont à opposer mes amis sarkozystes (ben ouais, je ne suis pas sectaire, on évite juste les sujets qui fâchent) qui voient encore leur héros paré de toutes les vertus: "Mais qu'est-ce qu'elle aurait fait Ségolène, hein?" Certes... Pas des miracles, peut-être même quelques gaffes monumentales, peut-être même déclaré des guerres, qui sait... Sauf que... Sauf que, amis, ça serait bien d'ouvrir les yeux quand même... Et puis, j'avais dit que je parlerai pas de politique.
    Je ne parlerai même pas de l'université d'été du Modem, ni de Bayrou. J'ai déjà donné il y a des années. On ne m'y reprendra plus.
    Je ne parlerai pas du débat télévisé des prétendants à la candidature de la primaire du PS. Baillements.
    Je ne parlerai même pas des rodomontades fatiguantes des philosophes de salon qui se prennent pour Malraux, mais font faire le boulot par l'OTAN sur le théâtre des opérations libyen... Pourtant, chemise ouverte et kalashnikov en sautoir ça aurait de la gueule. Autres temps autres moeurs. Posture et imposture.
    Je ne parlerai pas de ceux qui vont chercher les acclamations de la foule à Benghazi faute de les recueillir spontanément sur le territoire national.

    Je resterai dans le futile et le léger, pourtant essentiel.

    Tiens, le livre de Jonathan Franzen, un pavé de 700 pages, dévoré en une semaine. Vie de familles, désossage de l'American Way of Life. Le couple, les relations parents-enfant, tranches de vies. Walter et Patty Berglund, pivots du roman. Un couple parfait. Deux enfants. Une grande maison. Un bonheur parfait. 700 pages de psychanalyse, chacun des protagonistes dépouillé de ses secrets intimes, la construction des uns, la déconstruction des autres. La famille comme un microcosme où chacun se nourrit de l'autre, se dévore, se vampirise. Un livre profond et léger à la fois. L'écriture de Franzen est belle. Freedom, c'est la parabole "Made in Land of the Free". Chacun est libre de son destin, et découvre qu'il se croit libre, mais que tous dépendent les uns des autres, Patty, Walter, Connie, Joey, Jessica, Joyce, Ray...

    Voila. Bonne semaine.

    Enjoy!

    Envoyé de mon iPad

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