
La presse écrite est en crise, on le sait, on l'a lu partout. Le passage au numérique, les mutations profondes des modes de consommation de l'information, la mobilité, sont autant de facteurs qui fragilisent les titres de presse. Mais cette évolution de l'environnement est inéluctable. Dans ce
grand "Marche ou Crève", il serait dommage que l'option 2 soit choisie.

Autant s'adapter, même si prix à payer est élevé.
A moins d'avoir fait le choix du suicide, qui même rock'n'roll, dans la grande tradition Libé tendance Pacadis, laisserait comme un goût amer de jusqu'au-boutisme idéologique et de déni des réalités de l'économie de marché.
Commentaires
je dois avouer que je ne comprends pas trop après avoir validé le plan Joffrin se mettre en grêve en disant non il y a finalement trop de licenciements......
A lire un papier très passionné de Schneidermann dans Libé ce matin.
Beau texte, il faut l'admettre, même si je ne suis pas fan de ses écrits!
Et appel à faire renaître l'esprit Libé.
Je suis comme bartle, fort étonné de la réaction des employés de Libérations. Il faut s'adapter effectivement et ton post sur Google et la presse montre que nous avons encore des choses a apprendre provenant de l'autre côté de l'Atlantique.