
La presse écrite est en crise, on le sait, on l'a lu partout. Le passage au numérique, les mutations profondes des modes de consommation de l'information, la mobilité, sont autant de facteurs qui fragilisent les titres de presse. Mais cette évolution de l'environnement est inéluctable. Dans ce
grand "Marche ou Crève", il serait dommage que l'option 2 soit choisie.

Autant s'adapter, même si prix à payer est élevé.
A moins d'avoir fait le choix du suicide, qui même rock'n'roll, dans la grande tradition Libé tendance Pacadis, laisserait comme un goût amer de jusqu'au-boutisme idéologique et de déni des réalités de l'économie de marché.