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mp3

  • Musique et vinyl

    medium_vinyl.jpgPendant que le CD meurt à petit feu, le vinyl, le disque noir délaissé par le grand public depuis 20 ans, connait une résurgence. Pas un produit de masse, mais un support pour mélomanes exigeants ou professionnels recherchant un usage spécifique. Pour les DJs, les collectionneurs, le vinyl, c'est le MUST absolu, avec les rayures et les crachements... Un article de USA Today, il y a dix jours, faisait le point sur l'état de l'industrie aux Etats-Unis. En étudiant le cas de United Records Pressing, entreprise basée à Nashville, Tennessee, depuis 1962. Qui continue à presser de 20 à 40 000 disques par jour. 
    La plupart des majors et de nombreux labels indépendants ont des contrats avec United records pour des ré-éditions et des nouveautés. 
     
    Un marché de niche: en 2006, 885 000 LP ont été vendus aux Etats Unis contre 553 millions de CD (chiffres Nielsen Soundscan). Mais certains artistes seraient tentés par la sortie de leurs opus sur support vinyl et version numérique en omettant volontairement le CD... Le grand écart technologique.
    L'utilisateur définit volontiers le son des disques noirs comme "plus chaud" voire ''plus rond". Les DJs l'utilisent plus facilement que le CD pour les mixes et les scratches... De ce fait la majorité des disques pressés sont des maxi singles destinés aux pros. Un outil marketing pour les labels, qui demandent en général 4 versions d'un même morceau (radio mix, club mix, version instrumentale et a capella)...medium_platine_usb.gif
     
    Et pour les collectionneurs de disques vinyl n'étant ni DJ ni équipés de la platine adhoc (ou l'ayant reléguée au fond d'une cave, ou larguée à vil prix lors d'une "foire à tout"...), il reste la possibilité de redécouvrir le son vinyl... et de s'empresser de le convertir en mp3 en débarrassant les pistes de tous sons parasites... Des platines vendues moins de 200 € permettent cette opération... Préamplifiées et directement connectables à un ordinateur via une prise USB... Un gros boulot de transfert et de nettoyage, mais qui permet de réécouter une version orginale de "Never Mind the Bollocks" avec toute la rondeur de la basse de Glen puis Sid... Mais je m'égare et sens que je ne m'adresse qu'aux plus de 40 ans...
     
    Faites votre choix!!! 
     
     

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  • Musiques

    medium_logo_fnacWithPub.gifLa FNAC innove. Une offre de téléchargement sans DRM, sur 150 000 morceaux. Et une plateforme d'écoute illimitée de l'ensemble de son catalogue sur 3 ordinateurs par utilisateur moyennant une contribution mensuelle de 9.99 Euro. Pas mal.
     
    Mais qui ne résoud pas l'équation fondamentale:
    Que choisir entre l'écoute illimitée et statique et la musique mobile...
     
    Pour l'utilisateur, être scotché à l'ordinateur pose problème. Quid de la convergence réelle entre son PC/Mac et son ampli? Combien de foyers sont équipés? Et dès qu'on sort de chez soi? Que fait-on en voiture, dans les transports en commun? L'offre d'écoute illimitée ne prendra son essor qu'à partir du moment où elle sera accessible aussi via les appareils mobiles, smartphones en particulier. Ce qui signifie une nécessité d'amélioration du débit  des réseau de télécommunications mobile, et une généralisation des accès data. Et dans ce cas, un partenariat avec les opérateurs de téléphonie, car on voit mal l'utilisateur, payer deux fois, et pour son accès data et pour son compte de musique en ligne.
    Pour ce qui est du téléchargement légal, l'offre de la FNAC en termes de fichiers utilisables sur n'importe quel lecteur mp3 est relativement faible... 150 000 fichiers téléchargeables vs plus d'un million en écoute illimitée. Autant dire, une parcelle du catalogue. Pas de quoi séduire l'amateur exigeant aux goûts très pointus.
     
    On peut saluer l'effort de la FNAC, mais considérer qu'il n'est qu'une réponse partielle à la problématique de la musique en ligne et qu'il ne résoudra pas la question épineuse des échanges P2P.
    Côté écoute illimitée, les webradios à la demande comme Pandora ou Last FM (avec toujours une préférence très personnelle pour Pandora) représentent toujours une offre séduisante du fait de leur gratuité, du fait de la richesse de leur inventaire et du fait de leur capacité à faire émerger des artistes inconnu ou méconnus. Certes, l'utilisateur ne maîtrise pas la programmation, mais il peut se porter acquéreur sur iTunes des titres ou artistes qu'il aura découvert via la webradio.
     
    A observer de près, en partant du principe qu'il doit s'agir d'une première étape en attendant mieux...
     

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  • Faut-il acheter ou louer la musique en ligne?

    C'est la question que pose un article paru dans le New York Times au mois de novembre.  Les distributeurs de musique en ligne s'entre-déchirent. Les standards diffèrent, à chacun sa plateforme et son lecteur sans interopérabilité. Pendant ce temps, les fichiers mp3 s'échangent en ligne, le P2P est en pleine forme et le CD meurt doucement dans l'indifférence générale. Combien vaut un fichier musical, qu'il soit WMA, ACC ou MP3? On nous le propose en général à 0.99 € ou $, c'est selon. L'album entier coûte 9.99 € ou $... Moins cher que la galette argentée dans sa jolie boîte plastique qui frôle les 18.00! Economiquement, le choix est rapide, même si d'aucuns préfèrent l'objet physique, voir la pochette, le livret et ses notes illisibles! (En termes de lisibilité, rien n'égalera jamais la pochette des 33T en vinyle noir des temps anciens, mais ne sombrons pas dans le passéisme... ;-) ). 
    Et si la solution pour réduire encore les coûts de la musique étaient la location de fichiers, comme le suggère un analyste? Location au forfait pour écoute illimitée? Location à l'acte pour durée limitée? Objectivement, qui dans 40 ans aura encore envie de posséder un album de Britney Spears ou Christina Aguilera?
     

     
     
     

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  • Chroniques Américaines - N°9 / NYC

    medium_zune.jpgDans la série... "j'ai testé pour vous"..., Ladies and Gentlemen: the Microsoft... ZUNE. Il ya une heure chez Best Buy, sur 5th Avenue. A première vue, le design n'est pas extraordinaire. Comme le fait remarquer le vendeur, avec une certaine candeur (?), "s'il est moche, c'est volontaire; c'est pour faire de l'Ipod un produit snob"... Un point de vue qui se discute... Il se rapproche par son format de la génération précédent l'Ipod vidéo. L'écran de 3" est en revanche à son avantage. Rétro-éclairé, fond écran modifiable. Côté navigation, beaucoup de fluidité, la taille de l'écran donne une grande visibilité au contenu. En revanche pour les habitués de l'Ipod, pas de molette tactile. Quatre fonctions principales, musique, photos, vidéo et radio FM. Un petit défaut concernant la vidéo, l'obligation manifestement de tenir l'appareil en position paysage, à la différence de l'Ipod vidéo. Pas pu tester la qualité du son, faute d'écouteurs... Un mauvais point à Best Buy!!!! Pas pu non plus tester la capacité d'échanger fichiers et playlists entre deux Zune, ce qui est pourtant un des arguments principaux développés par Microsoft dans la promotion du produit... Une fonctionnalité qui colle bien à la dimension communautaire très en vogue actuellement! J'aime, je partage. (N'ayant que peu de chance de rencontrer un possesseur de Zune à Paris, le lancement en Europe n'étant pas prévu avant la fin 2007, je me suis privé de l'acquisition de l'objet. Je garde mon Ipod... ;-)
    L'objet coûte 249,99 $, soit le même prix que l'Ipod vidéo 30Go. 
    Un détail,en passant, Zune a déjà sa rubrique dans Wikipedia... Wikipedia deviendrait-il à l'issue de son plein gré, comme on dit, et comme MySpace, un support promotionnel? Un peu de wiki dans les relations-presse... Voila un sujet de méditation pour un prochain post!!!!! 
     
     
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