Manu Chao... La Radiolina...
Quand les médias sont unanimes, c'est suspect. On flaire la collusion, le travail minutieux d'attachées de presse expertes, le début de la fin pour l'artiste étouffé par l'avalanche de louanges... Et pourtant... Manu Chao... A la fois Tintin et Zorino, Manu a redécouvert l'électricité, le rythme, le riff... Manu retrouve l'énergie qui a fait le succès de la Mano Negra au siècle dernier. Manu, Mano, la boucle est bouclée. La Radiolina, c'est THE album qui fait oublier l'été pourri. Manu-Tintin débarque avec le Temple du Soleil! Pemière écoute, vous sautez sur place. Petit pogo dans le salon. Deuxième écoute, vous vous lancez dans une séance d'Air Guitar furieuse. Troisième écoute, vos voisins débarquent. Vous les entraînez dans une fiesta furieuse. Tequila y cerveza. Chili con carne. Coucouroucoucou!!!
Enjoy!
Sortie du nouvel album de Manu Chao qui revient manifestement aux sources musciales qui ont fait le succès de la Mano Negra au siècle précédent. A priori favorable à l'égard du bonhomme, maintenant que le mouvement alter est rentré dans le rang et qu'il est moins hype d'aller pique-niquer avec Bernard Cassen et Ignacio Ramonet dans le Chiapas, un passe-montagne sur la tête...
icitte et enfin sortie en librairie. Ruez-vous sur les deux tomes précédents si ce n'est déjà fait! (Millenium 1: "Les hommes qui n'aimaient pas les femmes" / Millenium 2: "La fille qui rêvait d'un bidon d'essence et d'une allumette" - Editions Actes Sud)
produire l'effet voulu. Pourquoi? Parce que l'individu ne voit en moyenne qu'une publicité sur neuf et qu'il a besoin de la voir au moins trois fois avant qu'elle ne fasse tilt". Etonnant, non? Etonnez-vous alors que les annonceurs commencent à y regarder à deux fois avant d'investir des fortunes en télévision ou dans la presse...