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Ciné - Page 3

  • Concours! Des places à gagner pour "La Vie en Grand"

    Qu'on se le dise, le film "feel good" du moment, c'est La Vie en Grand. Les cités vues sans misérabilisme. Le sujet de société traité avec un humour léger, à la façon d'une comédie américaine (une comédie, pas un film de Michael Bay), sans démagogie trop visible, sans grosses ficelles. Juste le portrait de deux gamins sympas qui se lancent dans un business peu recommandable. A l'opposé de Dheepan, le film trouve le ton juste, par petites touches, savant dosage, sans tomber dans la caricature outrancière, sans niaisierie. Sans Omar Sy ni Reda Kateb, sans flics à la Olivier Marchal. 

    A voir.

    Et pour le plaisir, il y a ici même 3 places (pour deux personnes, soit 6 places au total quoi) à gagner. Premier arrivé, premier servi. Les 3 premiers qui postent un commentaire ont gagné. Un commentaire répondant à cette simple question: "Et vous, votre vie en grand, c'est quoi?".


     

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  • Ze Connasse wants to pécho Harry of England

    J'avoue, j'avais un peu peur... Etirer les séquences de la Connasse de Canal sur 1h30 de film... ça sentait clairement la mauvaise idée. Et puis j'ai vu le film. Et j'ai ri. Egérie? Oui. Camille Cottin, la fille mal élevée qui fait ce qu'on rêve de faire, comme tirer rapidement la nappe d'une table dressée pour voir si la vaisselle reste dessus, mettre ses doigts dans le nez en public, de préférence dans un contexte improbable et gênant. Bref, c'est un peu punk. Enfin, gentiment punk. Et ça se déguste sur le pouce. Et vite, avant qu'elle soit tellement connue que la caméra cachée lui soit impossible. Le film est imparfait, il y a ça et là quelques baisses de rythme (qu'on oublie vite grâce à une salve de séquences appelées à devenir culte). Impossible de révéler quoi que ce soit sans spoiler. Camille Cottin, et les deux réalisatrices, Elodie Lang et Noémie Saglio, ont fait un ovni. 

    A part ça, trois billets (pour 2 personnes) à gagner... Premier arrivé, premier servi! Il suffit de poster un commentaires sur le blog, sur le mode "pour gagner une place pour le film de la connasse, je suis prêt à...". Faites moi rire! 

    [EDIT 20h20] : Places gagnées, mais comme on est cool sur Dubuc's Blog, encore 2 billets pour 2 personnes à gagner!  Même principe, postez vos commentaires!

    Pas de réponses sur Facebook ou Twitter!


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  • Bloc-note aléatoire

    Bientôt dix années de blogging... Aors, je fais ce que je veux. Tiens, le bloc-notre express dont la dernière publication date de... euh, je ne sais même plus. Enfin, si, je me suis replongé dans les archives. Le dernier dte du 21 décembre. J'arrête la numérotation. J'ai la flemme. Tu vois. La bonne grosse FLEMME. Je le passe en mode aléatoire.

    Ca c'est dit...

    Côté choses vues. Papa ou Maman. Marina Foïs vs Laurent Laffite (de la Comédie Française. Faut préciser, comme ça on ne le confond pas avec une version jeune de Michel Leeb). Le film où tpus les effets comiques sont concentrés dans la bande-annonce et qui distille un ennui plutôt profond. Manque de rythme. Mou du genou. Et pas vraiment méchant.

    Dans le genre méchant et cruel, Les Nouveaux sauvages, jubilatoire successions de sketches, de situation dopées à l'humour noir réjouissant! A voir!!

    Et dans le genre biopic bien foutu, même si j'ai pu lire ça et là quelques réactions peu enthousiastes de geeks intransigeants, Imitation Game. Bel hommage à Alan Turing, l'un des pères de l'informatique. Il décrypta le système de codage allemand, inventa une machine infernale, un genre de proto-calculateur, à l'origine de tous nos maux modernes (second degré)... De l'ordinateur aux Internets. De Charybde en Scylla. De la Roche Tarpéienne au Capitole. Du tenon à la mortaise. Superbe interprétation de Benedict Cumberbatch et de la délicieuse Keira Knightley.

    Côté choses lues, Ma Vie, l'autobiographie de Simone Veil. Parfois un peu trop didactique, souvent émouvant, toujours intéressant. Une vision nuancée de l'histoire et de la politique, qui apporte un beau contrepoint à nos certitudes manichéennes. 

    Rien d'autre à ajouter, sinon l'affirmation, une fois de plus qu'il faut que je me lance dans l'écriture d'une fiction. Quelques pages déjà rédigées. Le temps à trouver pour poursuivre.

    A part ça... je vous raconterais bien mon passage d'iOS à Android. Quand le gars qui a écrit un bouquin sur Steve Jobs, acheté un Mac, des tablettes, des iPhones et toute la panoplie, décide de faire acte d'apostasie et de faire l'acquisition d'un smartphone, One Plus. Bienvenue en terre inconnue... Android est un truc de geeks. Y'a du bon, et du moins bon. On peut tout customiser. Mais quelle absence d'intuitivité! A moins que Steve J. ce sournois ne nous ait simplement lobotomisés à force de simplification... Affaire à suivre...

    Enjoy!

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  • Peut-on dire du bien de la Famille Belier?

    la famille bélier, damiens, viard, elmosninoJ'ai essayé, je le jure! Oui, je le jure sur la tête de Michel Sardou. Je suis allé voir le film que Télérama avait... OK, je sais, vous me voyez venir... Télérama + ma tronche de parisien, ça sent le snobisme bobo à plein nez. Je vous l'accorde... Oublions Télérama. J'ai joué la carte Intouchables. La carte Nakache-Toledano, plus la carte je-suis-en-vacances-je-n'ai-pas-envie-de-me-prendre-la-tête, esprit ouvert, détendu, avec la vraie envie de me faire plaisir. Et puis j'aime bien Sardou. Et Metallica. Et Baxter Dury. Sardou, je sais, c'est inavouable, comme Mike Brant. Mais ça se brame, en voiture, sous la douche. On connait par coeur. Le plus dur est de se l'avouer et de l'avouer. J'aime (et je préfère) Ferrat. Mais ça me regarde. Sardou, c'est comme une sucrerie, comme une tartine de Nutella. Bref, je suis conscient qu'en faisant cet aveu... Cela dit, j'en connais, des princes du bon goût musical, qui sont fans de Goldman... Yark, yark. Non, je ne balancerai pas de nom... Donc Sardou.

    Damiens, Viard, Elmosnino... un sans faute côté casting sur le papier. Sérieusement. Même si au final c'est Elmosnino qui s'en sort le mieux. Mais son personnage de prof de musique frustré d'être confiné en zone rurale et obsédé par la variété française et Michel Sardou mériterait presque un film entier, un film comique. Viard et Damiens en couple de sourds mériteraient eux aussi un film entier. Le genre de film qui permet de décrocher un César catégorie meilleure interprétation d'un handicap (le type de performance dont raffolent Dustin Hoffman ou Daniel Day-Lewis)... Et l'histoire de la gamine qui vit à la campagne mais qui a une voix d'or mériterait à elle seule un film entier. En fait la famille bélier, c'est comme les poupées russes. Il y a plusieurs histoires dans dans l'histoire. Plusieurs films dans le film. Et un scénariste qui ne s'est pas foulé pour raccorder ces histoires les unes aux autres. Du coup, l'ennui gagne, il ne se passe pas grand chose. Bien sûr on rit. Bien sûr il y a de l'émotion au détour de quelques séquences plutôt bien pensées, mais qui tombent un peu comme un cheveu sur la soupe... Séquences un peu putassières sur le mode, vous voulez de l'émotion, en voici une truelle. 

    La Famille bélier, c'est du cinéma populaire qui se fout un peu du peuple. Du cinéma paresseux qui ne fonctionne que par accumulation de situations sans souci de style ni de vraisemblance, qui aurait pu être bien foutu, ambitieux. Qui est juste malin et presque cynique. Evidemment, à l'aune du succès de Qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu ou de Rien à déclarer... on se dit qu'au moins on a vu un film populaire sans Christian Clavier ni Dany Boon. Ca rassure. Ca console. Et on se dit que c'est déjà ça de gagné...

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