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Bloc-note - Page 4

  • Adios Amigos! (Bloc-note express N°210)

    adios, ramones, dubucHello jeunes gens, fidèles lecteurs amis virtuels et IRL. Dubuc's blog s'arrête. Du moins sous cette forme.

    L'aventure a commencé en mars 2006, elle s'achève en mars 2013. C'était cool. Ca l'est toujours. Mais en 7 ans le web a évolué. Il y a eu Facebook, Twitter, Pinterest, Instagram, plein de nouvelles occasions de publier des contenus, de poster des images, des sons, des vidéos. 

    En 2007, je parlais nouvelles technos, nouveaux usages numériques. J'ai publié des carnets de voyages, des impressions glanées ça et là. Japon, Corée, Californie, New York. Le blog a été le reflet de ma vie professionnelle, de mes centres d'intérêt. J'y livrai un peu de moi. J'ai même fini par le mentionner sur mon CV. 200% assumé. 

    J'ai rencontré des gens, on a échangé. Certains sont devenus de vrais amis avec qui on boit de vraies bières en dégustant de la vraie nourriture, pas uniquement des photos de hamburgers ou de cupcakes. Je me suis frotté brièvement à la politique, arborant fièrement pendant quelques mois un fanion orange... J'en ris encore.

    Aujourd'hui, j'arrête Dubuc's blog. Après quelques milliers de billets. Et deux livres. Le livre de papier a été paradoxalement, le prolongement du blog. Le goût de l'écriture, l'envie de raconter, la graphomanie compulsive.

    Dubuc se retire dans sa grotte. Mr Dubuc prend le relais, ailleurs, sur Tumblr.
    Désormais, ça se passera ici: http://MrDubuc.tumblr.com

    Merci pour votre fidélité.
    Bises.

    Enjoy! 

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  • Bloc-note express N°209

    Il y a longtemps que je n'ai pas posté de bloc-note d'impressions et de choses vues. Disons d'emblée que j'ai moins de temps pour bloguer. Enfin, moins de temps... Du temps pour tweeter. Du temps pour alimenter Facebook, Google+, Instagram. Moins de temps pour prendre le temps de prendre du recul et pondre quelque note définitive, pleine d'esprit, d'idées neuves (ou pas), de bruit et de fureur (ou pas).

    Peut-être me suis-je lassé du blog, du moins sous sa forme actuelle. Bloguer était un plaisir un peu compulsif. Ecrire. Ecrire vite sur un peu tout. Choses vues, geekeries, vie des médias, carnets de voyage, choses lues, compte-rendus de concerts, rencontres, partage d'émotions musicales. Côté écriture, j'ai été comblé. Dubuc's blog, ouvert fin mars 2006. Presque 7 ans...

    Et rien qu'en écrivant cette note, je m'interroge. Qu'ai-je encore à raconter sur le blog que je ne partage pas déjà sous une autre forme via d'autres canaux. Il y 7 ans, ce blog était presque purement consacré aux médias confrontés à une inexorable évolution technologique. Depuis quelques temps déjà, la musique a pris le dessus. Il est temps de réfléchir à une nouvelle forme. Laquelle? Je n'en sais rien. Fermer boutique? Peut-être. 7 ans c'est déjà bien, non?

    Voila. Etat des lieux. Affaire à suivre.
    En attendant, on se retrouve sur Twitter? Ou bien sur papier, dans Twittus Politicus, une autre aventure.

    Le blog m'a permis d'accéder au monde du livre. Un vieux rêve. Deux livres déjà, et l'envie de m'attaquer à un troisième. Thème à déterminer (quoique... Déjà quelques idées...)

    Bande-son: Republik, Palma Violet, Fauve, Joe Bonamassa et Bet Hart.

    Enjoy!

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  • Bloc-note express N°208

    Le temps passe inexorablement. Cliché suprême. Le temps file. Pas le temps de bloguer autrement que par moment sur des sujets musicaux. Point de bloc-note, juste des messages de 140 caractères publiés sur Twitter, des esquisses, point d'articles de fond pleins de considérations sur l'état et la raison des choses. Et pourtant la vie file. Joies, peines, drames, pleurs et rires. En vrac. La vie quoi. Rien de neuf. Depuis des millénaires. Bien avant l'accélération du temps numérique. Il y a ceux qui quittent le jeu, on ne sait pas pourquoi. Trop tôt. Il y a ceux qui s'éteignent, lentement. En vrac. Il y a ceux qui ronchonnent. Il y a ceux qui positivent. Il y a ceux qui se contentent de vivre, de s'accrocher, de fighter. Bref, le même bordel depuis des lustres.

    Côté musique, il y a de beaux moments. Que ce soit la pop joyeuse des Bewitched Hands sur la scène du Trianon. Que ce soit le professionnalisme impressionnant de Pink sur la scène de la Salle Wagram. Que ce soient les Pogues en concert, restitution vidéo d'un concert mémorable.

    Côté voyages, il y a ces quatre jours à New York, parenthèse enchantée. NYC et ses lumières, son froid glacial, ses pubs irlandais, son skyline revu et corrigé vu depuis le Staten Island Ferry un jour de belle lumière. NYC, toujours magique, une thérapie à suivre de temps à autres histoire d'avoir la patate.
    Côté impatience, il y a la sortie prochaine, le 3 janvier de Twittus Politicus, nouvelle production réalisée avec le camarade Nico Prat. Impatience d'avoir les premiers exemplaires entre les mains pour cet instant magique, celui où le projet mitonné pendant des mois devient réalité.

    Voila, c'est tout. Une simple, brève note. Il y aurait tant à dire, qui ne peut s'écrire. Par pudeur, par discrétion.

    Enjoy!

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  • Bloc-note express N°207

    Froid. Un mot pour résumer un weekend de changement d'heure. Le petit frimas matinal qui te glace sur ton scooter. D'aucuns me suggéreraient de prendre les transports en commun, où chaleur humaine et expérience olfactive et sonore se mêlent allègrement. Bah, non. Scooter un jour, scooter toujours. Live to ride, comme disent les bikers. Biker... Ah, ah! se gausse le mec qui fièrement chevauche son Swing 125, faute de permis moto idoine...

    Un samedi soir à regarder On n'est pas couchés. Que les choses soient claires, Ruquier n'est pas drôle. Enfin. Les mecs qui lui écrivent ses vannes en ouverture d'émission devraient penser à faire autre chose. Rien à voir avec les esprits aiguisés qui pondent les blagues de Jay Leno, David Letterman ou Conan O'Brien... L'ouverture d'ONPC est poussive. Désolé Laurent. Par la suite, le contenu est bon quand le panel d'invités est bon. Même quand il n'est pas excitant. Tenez, la semaine dernière, on annonce Jean-François Copé. Je tweete immédiatement mon intention d'éteindre la télé. Bah, finalement, je découvre un Copé apaisé, presque sympathique voire touchant. Il avait du prendre de la Ritaline, je devais être très fatigué... Je réitère l'expérience une semaine plus tard. L'expérience ONPC, pas l'expérience Copé. Nicolas Bedos, plume acérée et brillante, dans un jeu de séduction étonnant avec une Natacha Polony étonnamment agréable, Mazarine Pingeot, de plus en plus attachante dans le rôle de la fille cachée du Commandeur qui s'émancipe du Père tout s'en revendiquant. Bons chroniqueurs, bon contenu. Geluck. Esprit vif et caustique. Reste Charles Beigbeder, dans le rôle du capitaliste marmoréen insupportable. Désolé Charles, je n'aime pas ton frère, mais lui, au moins présente des aspérités. A choisir... Bref... J'ai éteint la télé vers 2h45, Charles m'a tuer.

    Relecture en cours du premier jeu d'épreuves de Twittus Politicus, mon second livre co-écrit avec Nico Prat. C'est la phase excitante: recevoir le livre dans sa mise en page quasi-définitive, chercher les coquilles, préciser des détails. Un vrai travail d'orfèvre, avec la crainte toujours de ne pas voir la scorie qui sautera aux yeux depu lecteur, mais que, à force d'être immergé dans le texte on ne décèlera pas... Il y en avait une ou deux dans la version définitive et publiée des Miscellanées d'Internet... Satisfaction de voir que le livre est déjà référencé sur toutes les librairies en ligne. Sortie le 3 janvier. Encore deux mois. Excitation, même si celle-ci est moindre que celle ressentie pour le premier livre. Les premières fois ne se reproduisent jamais, c'est une évidence. Un deuxième livre, c'est un nouveau pari, c'est la perspective de la promo, c'est l'envie de le voir sur les tables et présentoirs des libraires, et kif absolu, de le voir entre les mains de lecteurs inconnus.

    James Bond. Skyfall est probablement le meilleur film de la franchise depuis des années. Plus dense, plus dur, plus sombre, plus réaliste. Finis les gadgets qui a force de surenchère débilisaient l'univers de l'espion britannique. Sam Mendes + Daniel Craig + Javier Bardem + Judy Dench, un cocktail parfait. Pas de James Bond girl superfétatoire. Des fractures, des personnages moins schématiques, moins de destinations touristiques inutiles. Bref, un pur régal, qui réjouira les amateurs de cinéma, et décevra tous ceux qui s'accrochaient déséspérément aux voitures invisibles, stylos-missiles et physiciennes nucléaires en mini-short et 90 C.

    neil youngDu rock... Neil Young sort un album. Un de plus direz vous. Certes. Mais à 66 ans, le Loner démontre sa longévité, sans se caricaturer. Alors oui, je vais me jeter sur ce n-ième opus d'un type qui ne cherche pas à emballer la jeunette en se trémoussant sur scène dans ses jeans slim. Et qui, avec son fidèle Crazy Horse, continue à jouer à fond, à faire beaucoup de bruit. Comme ça, pour le plaisir. A part ça, je n'ai pas fait la queue devant le Virgin Megastore pour aller voir les Stones. Pas assez fan pour ça. J'en connais un qui l'a fait, avec succès. Mais qui a fait le déplacement à Bruxelles en 1973 aussi. Donc, respect aux anciens!

    Voila, jeunes gens. C'est tout pour l'instant.

    Enjoy!

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