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the beatles

  • Dans mon iPod ce weekend... The Beatles en solo

    Je viens de finir la roborative lecture de la bio de John Lennon par Philip Normann, plus de 1000 pages, publiée en 2008 sans l'aval de Yoko Ono. Passionnant décryptage d'un personnage complexe. La semaine précédente j'avais fini le visionnage du documentaire de Martin Scorsese sur George Harrison, Living in the Material World, l'effacé George se révélant beaucoup plus profond que l'image que les Beatlemaniaques ont donné de lui. Rien lu sur Sir Paul récemment sinon la bio de Barry Miles assez hagiographique. Je n'ai pas écouté son dernier album, et reste sur la très belle impression du Live in New York City. Quant à Ringo... Euh... Ringo, quoi.

    4 Beatles, 4 carrières solo, 4 vidéos. Voila le pitch de la semaine.

    Enjoy!

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  • Bloc-note express N°137

    Hier matin, profitant du repos dominical, couverture de livres scolaires. En choeur avec les girls. Parangon de la modernité, les pochettes autocollantes. Vite fait, pas trop mal fait. Et hop, on bosse à la chaîne en regardant Let it be et un bout de Help. Et en chantonnant. En choeur aussi.

    Aveu N°1: Je n'avais jamais vu, à ce jour, Let it be, le documentaire crépusculaire sur l'enregistrement du dernier album des Beatles. Barbus, chevelus, ils sont loin de la légèreté du début des sixties. Yoko est là, ne quittant pas John d'une semelle. Heather, la fille de Linda McCartney, fait une apparition furtive, apportant une note enfantine dans un univers d'anciens potes rincés. Il y a le fameux concert sur le toit des studios Apple. La dernière performance live. Nous sommes en janvier 1969. Woodstock en août. Altamont en décembre.

    IMGP5590.JPGAveu N°2: Je suis totalement passé à côté de Eels. Novocaine for the soul, un des premiers succès du groupe est sorti en 1996. A l'époque je n'ai pas aimé. Je n'aime toujours pas le morceau. Don't judge a book by its cover, comme on dit. Le concert de Rock en Seine m'a laissé supposer que je m'étais peut-être trompé. Errare humanum est. Pour éviter le perseverare diabolicum, je suis passé à l'écoute, la réévaluation, la réhabilitation personnelle, pour atteindre le nirvana de la découverte.

    Bricolage à la con... Accumulation de décodeurs, lecteurs de dvd, consoles de jeux, branchements dans tous les sens jusqu'à la panne. Le moment fatidique où plus rien ne fonctionne, où l'on cherche une façon rationnelle de raccorder à l'écran tous les machins qui rendent notre vie connectée passionnante... Démontage, dépoussiérage, tests, échecs, re-tests, succès... Pour fêter ça, notre héros s'accorde une méga-partie de Guitar Hero 5, potards sur 11. Le chat Elvis n'a pas apprécié.

    C'est tout pour l'instant.

    Bonne semaine!

    Enjoy!

     

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  • #34 - Les Madeleines de Mr Dubuc: Eddie Vedder

    Eddie Vedder chanteur de Pearl Jam, un combo plutôt très électrique. Pearl Jam, pilier de la scène grunge de Seattle, qui accompagna Neil Young le temps d'un album (Mirrorball) et d'une tournée. Du lourd, très lourd. Eddie Vedder reprenant les Beatles sur la BO du film I am Sam, c'était improbable. Aussi improbable que Kurt Cobain chantant The Man Who Sold The World de Bowie lors du fameux MTV Unplugged de Nirvana. Et pourtant, le résultat est intense, fort. You Got To Hide Your Love Away.

     

     

    Enjoy!

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  • 4 août 1789...

    ... ca se passe encore dans la douceur... avant de guillotiner à tout va, de noyer, de fusiller, etc, etc... la fameuse Nuit du 4 août 1789... l'abolition des privilèges... Quand la fracture sociale s'accroît sur fond de crise économique, quand la combine, les réseaux, les lobbies, le mélange des genres, les liaisons dangereuses, les conflits d'intérêt, les copains et les coquins donnent le sentiment, qu'il y a quelque chose de pourri (au royaume de Danemark - c'est du Shakespeare, c'est du Hamlet... Que les choses soient claires, on ne parle pas du Danemark, icitte. Bref, quand certaines études tendent à montrer que dans les verbatims du consommateur excédé, il y a comme une sémantique des années 30... Quand des banquiers, pour l'instant américains, se distribuent quelques bonus, alors qu'un an auparavant, ils pleuraient misère après avoir mené le système dans le mur. Quand le Pôle Emploi ne gère pas. Quand il n'y a plus que Secret Story et le Juste Prix pour maintenir le peuple dans son hébétude... Une Nuit du 4 août 2.0 serait peut-être bienvenue, non? 220 ans après la première, un mélange de Woodstock, Burning Man et Mai 68... Un petit coup de semonce... Juste comme ça, histoire de donner la température de l'opinion...

     

    Enjoy!

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