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libération

  • Rue 89

    becb2f8fa2715dce52f137d01dc9a95e.gifA dire vrai, je n'avais pas été séduit lors du lancement... Pas d'aspérités, un peu foutraque, un peu désordonné... Et puis je suis devenu accro. Rue89, le site lancé par Pascal Riché et Pierre Haski, deux anciens de Libération qui réveillent le style insolent et décalé qui a fait la légende de Libé. Des angles d'attaque originaux... Allez voir cet article consacré au gouvernement Fillon 2... Très emblématique du ton Rue89... A partir de l'analyse de la photo de famille sur les marches de l'Elysée... Truffé d'infos originales! Jeunes et vieux, blogeurs et non-blogueurs, énarques ou juristes, etc...
    A suivre, pour ceux qui apprécient un regard différent sur l'actualité.
     
    Enjoy!
     
     
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  • Des nouvelles de l'e-paper...

    medium_PlasticLogicOffice_thumb.jpgL'avenir de la presse dans une feuille plastique?

    On en parlait beaucoup en mars dernier, suite à l'annonce des Echos. Puis plus rien. Les seules nouvelles sur le front de la presse: baisses de diffusion (un peu partout), échecs relatifs (Jasmin), fermeture de titres non-rentables (Lagardère, Bayard, ad lib...), licenciements (Mondadori)...

    La presse est morte, vive la presse? Pas si simple.

    Avec le web, la presse a déjà fait sa révolution... Ou du moins le processus rouleau compresseur est en route. Rapprochement des rédactions web-papier (Le Monde), débat sur le clivage journalistes profesionnels et amateurs (Jean-Pierre Elkabach dans Le Monde, Sylvain Attal sur son blog et dans Le Monde). Une chose est certaine, il faut parler de complémentarité entre web et papier, entre professionnels et amateurs. Les journaux qui se comportent en marques-media, considérant le papier comme un canal de diffusion comme un autre ont trouvé la voie (et comme disait Lao Tseu, faudra-t-il couper des têtes? ;-) ).

    Et l'e-paper, dans tout ça? Libération a publié un article plutôt bien documenté sur l'ouverture d'une usine à l'est de l'Europe destinée à produire ledit papier électronique. Ce que l'article laisse entendre, c'est que l'invention si elle est géniale et représente un vrai avenir pour la presse, n'est pas encore au point. Hors de question de se balader avec un "device" de plus, qui encombrera nos poches déjà surchargées de téléphones, appareils  photos, lecteurs mp3, clés USB, GPS et autres gadgets numériques devenus indispensables (cf un article de La Tribune consacré à la cyberdépendance), mais qui petit à petit fusionnent en "un tout en un", une sorte de couteau suisse hitech (qui fait tout mais ne coupe pas). Affaire à suivre, le suspense continue. La presse tiendra-t-elle jusque là? Sûrement, tant que les recettes publicitaires générées par le papier seront supérieures à celles générées par le online. Tant qu'il faudra 20 visiteurs en ligne pour remplacer un lecteur papier perdu (source déjà moultes fois citées: The Economist - août 2006). Méfiance, quand même... Car arrive sur le marché une génération de consommateurs élevés sans presse ou presque... Or c'est connu, sans audience, point de pub... Moins de pub, donc fragilisation d'une économie déjà malade... et accélération du déclin.

    R.I.P. 


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  • Wahington Post, Libé, plumes et souris...

    Libé l'annonce dans son édition de ce matin, deux plumes  du Washington Post, John Harris et Jim Vandehei, quittent le titre pour se lancer dans une aventure alliant web et print. Quelle est la portée réelle de cette info? Je ne connais pas les deux journalistes cités. L'un, affirme selon Libé vouloir "utiliser le web pour réduire la distance entre les lecteurs et les medium_wpcom_logo_feb.gifjournalistes". C'est louable et souligne peut-être la lenteur d'adaptation des grosses machines éditoriales à une évolution technologique frénétique et rapide. Toutefois, l'article souligne que les deux compères poursuivront leurs apparitions dans les médias traditionnels. Comme quoi, si la montée en puissance du web est une évidence et qu'elle pousse les médias traditionnels à s'adapter à une nouvelle donne qui bouleverse les habitudes de consommation, se lancer sans biscuits dans la jungle de l'Internet n'est pas envisageable! Harris et VandeHei ont construit leur réputation sous la marque ombrelle du Washington Post. Tout en contribuant par leurs écrits à renforcer la marque-média Washington Post. Il ya interdépendance entre la marque et ceux qui produisent son contenu. En quittant la marque, ils apportent pourtant sa crédibilité rétro-active à leur nouveau support. Pour ne pas disparaître dans la jungle du web et des contenus produits par les utilisateurs, ils devront s'appuyer sur de nouvelles marques, on parle de CBS. Qui agira comme filtre de recommandation (cf Chris Anderson - The Long Tail)...  Much ado about nothing? comme disait ce bon vieux Will S.

     
     
     
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  • La Dolce Vita...

    Ca se passe en Italie, et c'est relaté dans Libération ce matin. L'archétype du fait divers estival. Mais j'adore. Moi qui suis un adepte invétéré du deux-roues motorisé dans Paris.

    medium_Libe_20_juillet_2006.jpg

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