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  • Dans mon iPod ce weekend... Judas Priest

    Quintessence du heavy metal bien bourrin et très burné des années 80, grosses guitares, imagerie à base de cuirs et clous vaguement S&M. Judas Priest. Dire que j'écoute ça tous les jours serait exagéré. Je suis retombé un peu par hasard sur cet album qui trainait dans les tréfonds de la mémoire de mon iPod... 

    Mettre le son à fond, sauter sur place en agitant la tête d'arrière en avant. Ca muscle les cervicales, pas le cerveau, on ne peut pas gagner à tous les coups.

    Judas Priest: Living after midnight

    Enjoy!

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  • Bloc-note express N°186

    Après promesse de reprise, puis non reprise, le Bloc-Note express s'en revient. Pour de vrai.

    Sachant que l'orientation de Dubuc's Blog aujourd'hui est résolument musicale. Pas envie de gloser sur le pourquoi du comment des nouveaux usages de l'Internet, ça me rappelle le bureau... Et les cours que je donne à propos des usages précédemment mentionnés. Respiration. Bref, nous parlerons zik, un peu ciné, parfois même littérature. Et choses vues, impressions glanées au hasard des rencontres ou des flaneries... Il va falloir que je réappprenne à flaner. Plus personne ne flane à Paris, hormis les touristes américains bobos. Mes flaneries matutinales sont sur la ligne 4 et sur la 10. L'éclate. En plus j'aime pas les gens. Enfin, ça ce sont mes enfants qui le disent, depuis que je leur ai dit que quelqu'un me l'avait dit dans un contexte professionnel improbable que je ne vous raconterai pas icitte.

    En fait, la question n'est pas de ne pas aimer les gens. En fait je n'aime pas TOUS les gens. La nuance est de taille. Comme le chantait Souchon au siècle dernier: On peut pas aimer tous les gens, on peut pas être gentil tout l'temps. J'adhère. Je ne me vois pas en Bon Pasteur, je connais mes brebis et mes brebis me connaissent. Quoique... Chassez le boy scout et il revient au grand galop, comme le naturel.

    Bref, côté littérature, j'ai décidé de relire Le Camp des Saints de Jean Raspail. Parait que c'est d'actualité, et que ça sent un peu le souffre. Raison de plus. J'ai tenté Scott Fitzgerald, un épais recueil de nouvelles. Raté, ce n'est manifestement pas une lecture faite pour le métro. J'ai lu la bio de Diane Arbus écrite par Violaine Binet. Remarquable! Surtout après avoir vu l'expo, et avoir bénéficié d'une mini-conférence de l'auteur permettant de décrypter plus aisémment l'univers de la photographe.

    Côté ciné, j'ai vu Intouchables. Et j'ai aimé. Tant pis pour les bobos qui font la fine bouche. Autant on pouvait s'interroger sur la signification profonde du succès de Bienvenue chez les Ch'tis, buddy movie ultra classique dans la forme et dans le fond, et finalement sans grand intérêt; autant le sujet d'Intouchables était potentiellement casse-gueule. Le critique des Inrocks s'est fourré le doigt dans l'oeil jusqu'au coude dans sa relecture sociale du film qu'il accuse entre les lignes de Sarkozysme rampant. Intouchables est réjouissant, le public sort de la salle avec la banane. C'est l'essentiel. Et des thèmes puissants ont été évoqués.

    Côté zik, j'oscille entre Francis et ses Peintres, Metalica et Lou Reed, et les Cowboys Fringants... Eclectisme total!

    Coté actu, ça y'est, la deuxième épreuve des Miscellanés d'Internet est relue et corrigée. Le plan de promo se prépare, le communiqué de presse est prêt, la date des signatures des ouvrages destinés à la presse est fixée. Sortie le 12 janvier, Mr Dubuc et son comparse Nico Prat sont dans les starting blocks!!



    Enjoy!

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  • Dans mon iPod ce weekend... Katerine, Francis et ses Peintres

    Avec Katerine, les plaisanteries les plus courtes devraient parfois être les moins longues. J'avoue avoir décroché pendant la première écoute de son dernier album, où hormis le coup de génie de la Banane (non mais laissez moi manger ma banane tout nu sur la plaaaaageuh), les textes sont assez pauvres et dégagent une nette impression de foutage de gueule... Mais le gars est sympathique, et les barges sympas, il convient de les encourager à poursuivre leur joyeuse entreprise de démolition des standards du bon goût musical mainstream.
    Katerine s'est associé à Francis et ses Peintres pour sortir un album hallicinant et halluciné dont l'écoute déclenche la stupeur dans mon entourage proche. Bref, y'a que moi et ma fille N°3 (12 ans) qui trouvons la chose drôle. De quoi s'agit-il? D'un triple album de reprises de standards de la variété, de la pop, de la chanson "à la manière de Katerine", à savoir voix ingénue et arrangements minimalistes... Déconstruction et déconnade pure à la clé. Pur concept qui voit se cohabiter Quand t'es dans le désert avec Il est vraiment phénoménal, Elle est d'ailleurs, Ne partons pas fâchés, Le Cimetière des éléphants ou Maman a tort. Mélange improbable de Bézu, Mylène Farmer, Pierre Vassiliu, Ottawan, Lio, Sacha Distel... Pas d'attentat notoire avec flingage de grands maîtres genre Brel ou Brassens... A noter une version parfaitement géniale de Dans ma Benz de NTM. Grand moment qui permet d'apprécier le texte. Il y a dans l'album un mélange de déconnade pure et de respect pour certains artistes. Katerine se fout du monde et le fait bien! Classieux, enfin presque.



    Enjoy!

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  • Les Cowboys Fringants s'en reviennent

    Je suis fan des Cowboys Fringants. Hyper fan. D'ailleurs, j'achète les albums des Cowboys Fringants. Pour les textes, pour la joie de vivre, pour l'envie d'aller au Québec qu'ils suscitent, pour leur fromidable présence scénique. Parce que j'aime le Québec, bien que n'y ayant passé qu'un séjour trop bref il y a déjà longtemps.

    Les Cowboys Fringants viennent de sortir un nouvel album, "Que du Vent" plein de nouvelles tounes. Un bon album plein de québecismes, de guitares grondantes et d'énergie. Les cowboys qu'on aime et qui gardent leur fraîcheur sans jamais tomber ni dans le procédé ni dans la facilité. Chroniques sociales, choses vues, fun. Moins de mordant peut-être que dans leurs tous premiers albums, mais une maturité réjouissante. Le Québec nous a donné Arcade Fire, Karkwa et les Cowboys Fringants. Que du bonheur, jeunes gens. Et surtout pour les deux derniers la démonstration de la vivacité de la langue française accommodée au gros son. Pas de vidéo en ligne actuellement, mais une double interview de deux des membres du groupe, 100% québécois de souche.

     

    Enjoy!

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