Oui, choisir est un acte responsable, dont chacun répond.

Au 1er tour il faut choisir entre la peste, le choléra, la variole, le tétanos, la rage et toutes les autres maladies qui chagrinent les hommes. Au 2nd tour, il reste à choisir une maladie à l'évolution réversible et qui n'entraîne pas de séquelles durables. Les traitements de cheval devraient être acceptés avec la volonté affirmée de guérir. Tout est question de volonté. Grand chef à plumes a parlé derrière la fumée de son calumet de la paix (il était assis devant son teepee, à l'extérieur).
Sitting Bull
PS. Trève de plaisanterie ; qu'est-ce que vont nous présenter les candidats comme programme ? Il n'y en a pas un qui a annoncé que ce serait dur et qu'il faudrait faire des sacrifices (déjà entendu ça) et accepter des réformes contraignantes. Pour sûr, ça ne donne pas des voix...

Bonsoir Antoine et merci pour nous avoir fait vivre ton e-travel californien.

Je t'avais préparé une note vers 19H - bizarrement bloquée par un pb hautetfort. Moi aussi j'avais voté Bayrou - comme en 2002, je suis un récidiviste - convaincu qu'il faut d'abord parler des problèmes actuels de la France, au lieu de proposer des remèdes rigides ou stéréotypés, empruntés au siècle dernier.
Mon futur vote ? J'attends la confrontation de l'entre-tour et du débat de fond auquel nous n'avons pas vraiment eu droit de la part des 2 candidats qui ont géré leur avance.

Pour l'anecdote, j'ai pratiqué sans problème le vote électronique avec la même joie que l'ouverture d'une bouteille de vin avec bouchon à vis : expérience à lire sur la note du jour de mon ludi-vini-blog.
A bientôt dans un vrai bistrot parigot : pour discuter Californie d'aujourd'hui et France de demain.

Charles.