Original Mirrors... Pas jeune tout ça. Estampillé 79 ou 80. Synthés malingres, boîtes à rythme, guitares fuzz et jolies coupes de cheveux... New wave gentille, et bon groove! Chains of Love!
Enjoy!
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Original Mirrors... Pas jeune tout ça. Estampillé 79 ou 80. Synthés malingres, boîtes à rythme, guitares fuzz et jolies coupes de cheveux... New wave gentille, et bon groove! Chains of Love!
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Meat Loaf, dans un album mythique, boursouflé, à la production digne de Phil Spector avec quasi wall of sound et orchestration grandiloquente. L'album: Bat out of hell. Le morceau: Paradise by the dashboard light. Rock'n'roll, disco, n'importe quoi et feulements érotiques. La totale!
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Sandinista! Triple album attendu comme le retour du Messie, 6 faces, pleines de punk rock, de jazz, de rockabilly, de funk, de dub... The Clash au top de sa forme. Police on my back, furieux, speedé, filmé ici en 1983. Topper Headon a été viré. Terry Chimes s'est réinstallé derrière les futs. Mick, Joe et Paul ont gardé la furia initiale. The Clash, la grande claque de ma sage adolescence.
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Entendue pour la première fois chez Bernard Lenoir, il y a des siècles, cette version du tube de la classieuse Françoise Hardy, une face B de 45T du début des années 80: Tous les garçons... par Eurythmics.
Pure merveille.
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Sacré Rod the Mod. Rod Stewart, le tombeur des années 70 finissantes. Increvable bête de scène à la crédibilité rock'n'roll ultra-limite, mais aux cordes vocales passées au papier de verre et affinées au whisky. Les Faces, le foot, Ron Wood le vieux pote, Jeff Beck... Le gars Rod a un pedigree d'enfer! I don't want to talk about it. LA ballade qui vous fait dresser les poils. Enfin, à vous, je ne sais pas, mais à moi, toujours!
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