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Bob Seger and the Silver Bullet Band... Against The Wind... Voix éraillée. Ballade en béton armé. Une sorte de sommet du rock calibré pour la FM. Qui me transporte quels années en arrière et que pourtant je réécoute avec le même plaisir. Un peu inavouable. Qui écoute, qui se souvient encore de Bob Seger?
Je sens que je vais encore me faire traiter de vieux baba par mes camarades ex-punks. J'assume à 100%. Ce n'est pas renier les Sex Pistols que trouver quelque grâce et légèreté à ce morceau d'Al Stewart:Year of the Cat. Ne serait-ce que pour cette intro au piano.
Série d'été. Yeeeee-ah! Après les madeleines du Sieur Proust, qu'il trempait dans sa tasse de tilleul, en frémissant de la moustache, place aux madeleines de Mr Dubuc! De préférence des madeleines longues, avec ce petit gout d'amande, ou de colle blanche, trempées dans la bière fraîche! ^^
Les Madeleines, ce sont les tounes préférées de Mr Dubuc, celles dont l'écoute provoque toujours la même réaction, le même dressage de poils. Je vous les distille par petites doses.
Et on commence aujourd'hui avec Joe Strummer et Johnny Cash, du lourd. Onc' Joe et le Man in Black reprenant, le classique de Bob Marley, Redemption Song. Old pirates, they rob I, sold I to the merchant ship...
Eyeless in Gaza. Longtemps j'ai cru que ce duo minimaliste des années 80 avait disparu. Mon pote Arnaud D, grand fan devant l'éternel - combien sont-ils réellement les fans vivants d'Eyeless in Gaza? - les suit régulièrement lors de leurs concerts ça et là en Europe. J'avais même avec quelques potes, dont Charles B et Laurent L organisé un concert de ce groupe mythique en 83 ou 84 à l'Exo7 à Rouen. Nous avions perdu de l'argent, d'ailleurs... Peter, Martin, si vous lisez cette note, la prochaine fois, venez avec votre ampli Fender Twin... Mais je m'égare... Quel intérêt à écouter un groupe obscur, plus de 25 ans après son éclosion discrète? Aucun. Sauf si on accepte de se laisser embarquer dans ces mélopées nappées de synthé minimaliste... Et dans la même veine, la semaine prochaine, je vous parle d'Anne Clark...