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  • Musiques

    medium_logo_fnacWithPub.gifLa FNAC innove. Une offre de téléchargement sans DRM, sur 150 000 morceaux. Et une plateforme d'écoute illimitée de l'ensemble de son catalogue sur 3 ordinateurs par utilisateur moyennant une contribution mensuelle de 9.99 Euro. Pas mal.
     
    Mais qui ne résoud pas l'équation fondamentale:
    Que choisir entre l'écoute illimitée et statique et la musique mobile...
     
    Pour l'utilisateur, être scotché à l'ordinateur pose problème. Quid de la convergence réelle entre son PC/Mac et son ampli? Combien de foyers sont équipés? Et dès qu'on sort de chez soi? Que fait-on en voiture, dans les transports en commun? L'offre d'écoute illimitée ne prendra son essor qu'à partir du moment où elle sera accessible aussi via les appareils mobiles, smartphones en particulier. Ce qui signifie une nécessité d'amélioration du débit  des réseau de télécommunications mobile, et une généralisation des accès data. Et dans ce cas, un partenariat avec les opérateurs de téléphonie, car on voit mal l'utilisateur, payer deux fois, et pour son accès data et pour son compte de musique en ligne.
    Pour ce qui est du téléchargement légal, l'offre de la FNAC en termes de fichiers utilisables sur n'importe quel lecteur mp3 est relativement faible... 150 000 fichiers téléchargeables vs plus d'un million en écoute illimitée. Autant dire, une parcelle du catalogue. Pas de quoi séduire l'amateur exigeant aux goûts très pointus.
     
    On peut saluer l'effort de la FNAC, mais considérer qu'il n'est qu'une réponse partielle à la problématique de la musique en ligne et qu'il ne résoudra pas la question épineuse des échanges P2P.
    Côté écoute illimitée, les webradios à la demande comme Pandora ou Last FM (avec toujours une préférence très personnelle pour Pandora) représentent toujours une offre séduisante du fait de leur gratuité, du fait de la richesse de leur inventaire et du fait de leur capacité à faire émerger des artistes inconnu ou méconnus. Certes, l'utilisateur ne maîtrise pas la programmation, mais il peut se porter acquéreur sur iTunes des titres ou artistes qu'il aura découvert via la webradio.
     
    A observer de près, en partant du principe qu'il doit s'agir d'une première étape en attendant mieux...
     

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