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j edgar

  • Bloc-note express N°188

    Le 13 janvier, c'était baby-blues. Le coup de mou post-partum. Les Miscellanées sont en librairie. Le bébé est lancé. Etonnante sensation. Puis vient la promo, après le Midi2, le jour de la sortie, 25 minutes avec Philippe Dana sur le Mouv', viennent les chroniques sur les blogs, dans la presse. On les guette avec avidité. Tout n'est que premières fois.
    Fête au Motel, jeudi dernier, les amis, le cercle proche. C'est bon, ça. Quelques bières. Des dédicaces au coin du bar. Sympa.
    Passages aléatoires dans les Fnac de proximité, histoire de voir la mise en place et jouir de ces instants de fierté: voir son livre positionné sur les présentoirs, en pile. Belle sensation.
    Samedi, découverte de l'article dans Libé, une colonne avec photo de la couv. Libé, le canard qui m'accompagne depuis mes 18 ans. Gros kif, comme on dit.
    Ca et là quelques piques dans les divers articles. L'accueil des médias est globalement favorable. Le principe des Miscellanées surprend. Oui, ce livre est fouillis et foutraque. A l'image d'Internet. Ni plus ni moins. Oui, certains passages sont écrits dans un langage cru. Mais Internet est ainsi, le soft cohabite avec le hard, le lumineux avec le glauque absolu. Le mauvais goût avec la bien-pensance. Oui, l'écriture vient du blog. Mais à 50% seulement, l'un des auteurs étant journaliste.

    A part ça, life goes on. Missions, cours, rencontres.

    A part ça, J. Edgar est un bon Eastwood, certes didactique mais passionnant par son côté "je vais vous raconter la face cachée du personnage le plus tordu de l'histoire américaine". Et Leonardo Di Caprio magistral.
    En revanche, Millenium, Fincher ou pas, n'est que l'inutile remake de la première adaptation suédoise du roman de Stieg Larsson. Certes, il y a de beaux mouvements de caméra. Mais le film est long, se perd en route, et semble sur la fin vouloir se conclure rapidement, le réalisateur s'étant rendu compte de son égarement. Bref, décevant. Rien à voir avec le glauque Seven.

    A part ça, l'album de Skip the Use berce mes trajets en métro.

    Enjoy!

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