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  • Histoires de la Mafia, le nouveau livre de mon pote David Brunat

    Connaissez-vous un seul type capable de donner un cours en école de commerce intitulé "La Mafia, modèle de management?".

    David Brunat est CE type. Brillant esprit. Il s'est penché sur le cas de la Mafia, ses mythes, ses codes, ses histoires. Il en a fait un livre, que je vais dévorer. La Mafia, mythifiée au cinéma, que ce soit dans Scarface (celui de Hawks), dans l'immense saga du Parrain. Des histoires de fric, de flingues, de dope, de tête de cheval, de capo, de consigliere, de pasta...

    Un livre à lire d'urgence!! (Histoires de la Mafia, David Brunat, Fetjaine, 2012)

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  • Bloc-note express N°188

    Le 13 janvier, c'était baby-blues. Le coup de mou post-partum. Les Miscellanées sont en librairie. Le bébé est lancé. Etonnante sensation. Puis vient la promo, après le Midi2, le jour de la sortie, 25 minutes avec Philippe Dana sur le Mouv', viennent les chroniques sur les blogs, dans la presse. On les guette avec avidité. Tout n'est que premières fois.
    Fête au Motel, jeudi dernier, les amis, le cercle proche. C'est bon, ça. Quelques bières. Des dédicaces au coin du bar. Sympa.
    Passages aléatoires dans les Fnac de proximité, histoire de voir la mise en place et jouir de ces instants de fierté: voir son livre positionné sur les présentoirs, en pile. Belle sensation.
    Samedi, découverte de l'article dans Libé, une colonne avec photo de la couv. Libé, le canard qui m'accompagne depuis mes 18 ans. Gros kif, comme on dit.
    Ca et là quelques piques dans les divers articles. L'accueil des médias est globalement favorable. Le principe des Miscellanées surprend. Oui, ce livre est fouillis et foutraque. A l'image d'Internet. Ni plus ni moins. Oui, certains passages sont écrits dans un langage cru. Mais Internet est ainsi, le soft cohabite avec le hard, le lumineux avec le glauque absolu. Le mauvais goût avec la bien-pensance. Oui, l'écriture vient du blog. Mais à 50% seulement, l'un des auteurs étant journaliste.

    A part ça, life goes on. Missions, cours, rencontres.

    A part ça, J. Edgar est un bon Eastwood, certes didactique mais passionnant par son côté "je vais vous raconter la face cachée du personnage le plus tordu de l'histoire américaine". Et Leonardo Di Caprio magistral.
    En revanche, Millenium, Fincher ou pas, n'est que l'inutile remake de la première adaptation suédoise du roman de Stieg Larsson. Certes, il y a de beaux mouvements de caméra. Mais le film est long, se perd en route, et semble sur la fin vouloir se conclure rapidement, le réalisateur s'étant rendu compte de son égarement. Bref, décevant. Rien à voir avec le glauque Seven.

    A part ça, l'album de Skip the Use berce mes trajets en métro.

    Enjoy!

    Catégories : Bloc-note Lien permanent
  • Les Miscellanées du tennis: Brunat monte au filet

    miscellanées du tennis, david brunatC'est étonnant chez les normaliens, ce besoin de faire des phrases. Et de belles phrase. Les Miscellanées du Tennis sortent concomitamment à l'ouverture officielle du tournoi de Roland Garros. David Brunat, l'auteur, est un gars que j'aime bien et que je n'affronterait ni sur le terrain de la pure rhétorique, ni sur un court de tennis.

    Il a de multiples talents. Dont celui de rendre passionnant un sport qui provoque chez le spectateur un mouvement de tête de droite à gauche et vice-versa pour peu qu'il soit sis sur le bord latéral du terrain. Le tout ponctué du bruit de l'impact de la balle jaune sur le cordage des raquettes, et de cris des joueurs s'apparentant au râle du mâle fornicateur au momenr de l'éjaculation. Wow, c'est chic, ça, comme image. Les enfants, quittez la pièce. Oh yes, oh yes, oh... raaaaaaaaah! Avantage service!

    Puisqu'on parle d'émois érotiques, laissez moi vous conter, jeunes gens, ma propre miscellanée. 15 ans en 79. Brave puceau, pur produit de l'enseignement privé confessionnel de la banlieue ouest de Paname. Je regardais Rolland Garros. Les Borg, McEnroe, Connors, Wilander, gaulés comme des ablettes. Des héros. Mais mon regard se portait ailleurs. Sur les héroïnes. Chris Evert, Gabriella Sabatini. La blonde américaine au regard clair. La brune sud-américaine pulpeuse. Roooh. gabriela sabatini, tennisCinq cent millions de petites tenniswomen, émois, émois, émois... Etait-ce la jupette? La petite culotte blanche? La jambe effilée? En plus, malédiction! C'était la moche qui gagnait. Navratilova. La méchante. La Madame Olson des courts de tennis. Venant de derrière le rideau de fer. Tout pour plaire! Et on murmurait qu'elle n'aimait pas les garçons. Diantre! La totale incarnation de l'Antéchrist! Le temps passa. La moche resta au top. Jusqu'à être défaite par la génération montante. Des cogneuses méchantes, poussant, elles aussi, comme les mâles, de gênants cris orgasmiques au moment du service. Monica Seles, l'enfer. Ce petit cri, que l'écriture ne peut restituer. Le tue l'amour parfait. Qui fait applaudir des quatre pattes la sage décision des instance de ne pas laisser les matches féminins durer plus de deux heures d'affilées. Han! Han! Game, Seles!

    Après j'ai décroché. Malgré Sharapova. J'avais grandi. Et entre temps, j'ai fanstasmé sur les rockeuses... Et sur les stilettos, fort peu pratiques sur les courts...

    Bref, Les Miscellanées du Tennis de David Brunat (Editions Fetjaine), dans les bonnes librairies à partir du 5 mai.

     

    Enjoy!

    (Teaser: Et pendant ce temps, les sieurs Prat et Dubuc travaillent eux aussi à la rédaction de leurs Miscellanées, dans la même maison, avec le même directeur de collection, Mr Gilles Verlant, himself... Bientôt dans les bacs, mais pas tout de suite quand même...)

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