Le premier livre avait été presque simple à écrire. L'avantage du principe des Miscellanées était l'anarchie. Pas de structure, pas de hiérarchie d'information, pas de trame dramatique, pas de progression. Juste quelques centaines d'entrées à écrire, et à mélanger allègrement en alternant le court et le long, le sérieux et le LOL, le futile et l'essentiel. Ecrire un livre sur la communication politique demande plus d'effort, même écrit à quatre mains. Il y a les interviews, la transcription des interviews, le plan détaillé, la logique dudit plan. Il faut s'y mettre, se documenter, fouiller, valider. Mais les choses avancent. Dire que nous sommes en avance serait exagéré. Dire que nous sommes en retard aussi. Quoique...
En milieu de semaine, départ pour Londres pour la cérémonie d'ouverture des Jeux Paralympiques, et séjour de deux jours sur place pour assister aux épreuves. Etonnant. On dit que la Reine sera présente. Y aura-t-il un spectacle, un truc barré comme ce que Danny Boyle a proposé pour les Jeux Olympiques? Y aura-t-il des stars du rock? Je suis curieux. Et comment ça se passe les Jeux? A suivre sur ce blog, sur Facebook et sur Twitter.
Rentrée des classes bientôt. Affaire à suivre.
A part ça, je me suis laissé tenter par Total Recall, la nouvelles adaptation du livre de Philip K Dick, réalisée par Len Wiseman. Bien sûr j'avais aimé la version de Paul Verhoeven, malgré quelques passages en force et quelques effets spéciaux cheap. Mais c'était il y a longtemps. Dans la version 2012, l'action est relocalisée sur une Terre dévastée. On retrouve par moment l'atmosphère du Blade Runner de Ridley Scott, avec cette ville crade, humide, sombre, où se mêlent toutes les cultures. Un film à voir. Blockbuster certes, mais contenant la parcelle d'intelligence qui manquait à Expendables 2...
Côté rock'n'roll, rien de tel qu'une soirée sur Arte pour avoir envie de se replonger dans quelque vieillerie... Un documentaire sur John Lennon à New York de 1971 à 1980 et l'occasion de voir le making off de ses albums. Dont le beau Walls and Bridges, que je n'avais jamais écouté en entier. L'occasion aussi de revoir Jimi Hendrix. Et de réécouter.
Voila...
Enjoy!