On a pu y croire. On a pu rêver d'idéaux révolutionnaires. On a pu avoir une vision romantique de la révolution, de la guerilla. Sur fond de photos d'Alberto Korda. On a pu avoir envie de tenter d'y croire encore. Malgré tout. On est revenu de tout. Restent quelques souvenirs, dont l'hymne de Carlos Puebla, Hasta Siempre. Buena Vista Social Club.